Monolithes et stations spatiales secrètes
Article extrait de " Notiziario UFO " décembre 98
De Richard Boylan
" Dans un précédent article, j’avais écrit qu’en 1969, les astronautes d’Apollo 10, Stattford, Cernan et Young avaient filmé un signal extraterrestre (le soi-disant monolithe) et maintenant, suite à d’autres sources, je peux dire qu’ils ne furent pas les premiers à découvrir cet appareil alien. Il fut vu la première fois par Yuri Gagarin en 1961, et également par L’Américain Alan Shephard. Selon mon informateur (une source de la NSA) divers monolithes flottent en orbite. Le Dr. Michael Wolf les définit " des cartes postales venues d’ailleurs ". Ils émettent soit des lumières soit des signaux sonores dans un langage mathématique
Cela concernerait cinq races d’extraterrestres. Les USA ont transféré un monolithe dans un laboratoire secret dans lequel furent menées différentes expériences dans un milieu aquatique (à cause du danger représenté par l'objet – l’exposition prolongée à ces émissions énergétiques provoquerait le cancer. (N.D.L.R.). Il est aussi probable que la Russie en ait un. Les derniers communiqués de presse publiés par la NASA affirment que bientôt l’Amérique disposera de la première station spatiale avec équipage humain mais cela n’est pas exact car la NSA m’a informé qu’il existait une " Deep Space Platform ", avec équipage humain, qui tourne autour de la Terre depuis 30 ans. Depuis 1968, elle est occupée par trois équipes, américaines et russes et depuis 1973, la station aurait été équipée d’une technologie nouvelle et elle est en plein essor. Elle est reliée par des vaisseaux spatiaux secrets dont, depuis 1988, par des appareils comme le Nautilus, en forme de Delta arrondi (en fait un UFO rectangulaire, NDLR) construits en collaboration avec le secteur spécial de l’industrie Airbus et par la Boing Corporation américaine. Ces appareils, stationnés dans l’Utah, ont un système de propulsion à impulses magnétiques et effectuent des voyages aller/retour entre la station et la Terre deux fois par semaine.
Un " chip anti " enlèvements "
Par Adriano Forgione
S’il est maintenant prouvé qu’il existe des micro-implants dans le corps des divers "prélevés", la réalisation et la commercialisation de technologies similaires est déjà une réalité. Le " Matin de Naples " du 3 octobre 98 fait référence à un groupe de recherche israélien qui a perfectionné un chip sous-cutané, qui permet de suivre à distance une personne qui, par exemple, a été enlevée, où qu’elle soit.
Le chip, une fois inséré, contient un révélateur de position produisant un signal radio qui, capté par un satellite, repère la personne. Ses dimensions sont minimales et il peut être inséré sans douleur. Il n’a pas besoin de batteries car il s’alimente sur les milliampères produits par le système neurophysiologique du sujet. Ce chip est déjà en vente en Italie. Etant donné tout ce qui est dit sur les micro-implants extraterrestres, cette nouvelle technologie terrestre a de quoi nous inquiéter.
Implant oculaire comme chez les EBE
Un autre type d’implant a été réalisé par une équipe de l’Optobionics de Wheaton, Illinois (" Popular science ", octobre 1998). De dimensions extrêmement réduites, le chip est inséré dans le globe oculaire et remplace les fonctions d’une rétine endommagée. Il envoie des signaux photorécepteurs au cerveau et ainsi permet de recouvrer la vue. Déjà expérimenté sur les animaux, il va l’être prochainement sur l’homme. Le colonel Corso a révélé que les EBE de Roswell avaient un microchip, inséré dans un oeil dont la fonction était de les relier en continuité avec leurs "créateurs" afin que ces derniers puissent voir avec les yeux de leurs robots biologiques.
Machine et mental
Corso a expliqué l’étroite connexion des extraterrestres existant entre la machine et le mental. C’est aujourd’hui une réalité de notre technologie, bien qu’à un stade initial. Les deux plus importantes revues scientifiques italiennes ont publié en novembre des articles très détaillés sur ce sujet. Elles ont présenté le système BCI (Brain Interface Computer) et le Wetware qui, lisant les ondes cérébrales, les convertit en impulses électriques puis en signaux digitaux pour le computer. Le professeur Kévin Warwick de l’Université de Edimbourg, s’est fait insérer un microchip dans le bras, afin d’interagir avec le computer et divers autres appareils électroniques grâce à des commandes uniquement cérébrales. Selon Warwick, très bientôt, des microprocesseurs insérés dans le corps activeront une série infinie de fonctions afin que l’individu puisse interagir mentalement avec l’environnement. Une application de cette technologie, déjà diffusée et commercialisée est le Mindrive qui, dans le passé, avait été utilisé à des fins guerrières, dans les postes de pilotage des avions de chasse pour envoyer des missiles. Actuellement il est utilisé dans divers secteurs de la médecine (mesure de la température, des battements cardiaques, de la pressions sanguine, etc.… et dans le secteur des vidéo-jeux, à des prix très accessibles. Etrange coïncidence… Corso écrit dans son livre " Le jour après Roswell " : " … ces instruments (les censeurs à faisceau insérés dans la tête des EBE, NDLR) étaient des mécanismes très sophistiqués qui traduisaient les impulses électriques du cerveau en commandes spécifiques (…) C’est seulement quand fut déclenché le projet de recherche sur les ondes cérébrales à longue distance, à la fin de mon contrat au Pentagone, que je compris ce qu’ils étaient.....(…). Il fallut attendre 50 ans pour recueillir les fruits de cette technologie mais il sont devenus aujourd’hui une composante importante des systèmes de navigation et de contrôle des hélicoptères les plus sophistiqués de l’armée. La version commerciale sera bientôt disponible dans l’informatique de consommation sous forme d’interface de commande pour les jeux vidéo.
Les faisceaux frontaux
Coïncidence ? Non, si on pense que le principe de fonctionnement du Mindrive semble être le même que celui utilisé par les EBE pour donner des ordres à l’appareil à partir de panneaux dotés de censeurs capables d’enregistrer leurs ondes mentales. Selon Corso, ce que les EBE avaient en plus, c’était un faisceau pour la tête et un microchip inséré dans un des 4 globes cérébraux.
Le 16 octobre, dans l’émission Galilée, sur la Rai3, il fut révélé qu’une équipe de chercheurs Américains avait perfectionné un microchip insérable dans le cerveau pour potentialiser la connexion entre l’homme et le computer.
Entre-temps, le faisceau cérébral a été réalisé sous le nom de IBVA (Interactive Brainwaves Visual Analize) et est produit par la IBVA Technologies. Il est déjà utilisé dans l’Ohio pour les simulations de vol.
Interfaces biologiques
A l’Emory Université de Atlanta, l’équipe du neuroscientifique Roy Bakay, a mis au point un système constitué de minuscules ventouses en verre grandes comme la pointe d’un stylo et recouvertes d’un métal conducteur, à implanter en contact avec le cortex cérébral. Elles sont remplies d’une substance qui amplifie la croissance des fibres neuroniques, lesquelles se développeront en relation étroite avec le métal. Il se crée ainsi une connexion directe entre le système nerveux et le micro-implant. Cela ressemble étrangement aux micro-implants extraterrestres qui ont été extraits par les chirurgiens Leir et Sims (Dossier Alien n° 15), implants formés d’un noyau métallique entouré de tissu conjonctif. C’est sans doute ce système qui détermine dans la tête des "prélevés" ces très désagréables ondes radio.
Ces technologies ne fonctionnent pas dans un seul sens, cerveau/machine. On peut agir de l’extérieur sur les implants et le cerveau comme dans le cas des chips pour "prélevés" lesquels semblent subir des interférences venant d’autres environnements, d’autres dimensions sans la possibilité de régler eux-mêmes ces nanotechnologies.
Ces nouvelles découvertes nous aident à mieux comprendre le fonctionnement des chips extraterrestres.
Sous hypnose, une grande partie des "prélevés" a déclaré avoir été " entraînée " sur des systèmes de commandes d’UFO extraterrestres qui, nous le savons, sont basées sur des impulses cérébraux.
A lire absolument le livre de Freeman Dyson, " Mondes possibles ", édité par McGraw-Hill. L’auteur affirme, " avant la fin de ce siècle se fera une révolution industrielle basée sur la symbiose entre le métal, la silice, les muscles et les nerfs. Pour comprendre la technologie telle qu’elle existe en dehors de l’élite technologique, je suis arrivé à la conclusion que la " science-fiction " est plus illuminante que la science ".