Dossier satellites

par Corrado Malanga–Professeur à l’Université de Pise-Italie

(Extrait de Notiziario Ufo n° 22-novembre)

_____________________________

 

Les militaires américains seraient en possession d’une technologie capable d’abattre certains Ufo orbitant autour de la Terre, grâce à des systèmes de défense satellitaire SDI à rayons laser.

 

 

Les chiffres publiés par la NASA, CIA et NSA ne laissent aucun doute sur le contrôle électronique exercé par ces associations qui violent ainsi les lois de la " privacity ".

 

Qui nous épie ?

Deux sources principales coupables d’intrusions dans nos systèmes électroniques (les calculatrices, les téléphones, etc) et les biologiques (nous-mêmes). La première, classique, est constituée par des services plus ou moins secrets activement concentrés sur le problème Ufo : la CIA et surtout la NSA, organisme qui s’occupe de tous les systèmes électroniques mondiaux de contrôle terre-eau, à but non uniquement militaire. La seconde est constituée par les forces aliens à la planète Terre. Nous nous reférons en particulier au " monitorage " des " enlevés ", qui peuvent être repérés en permanence grâce à de petits " trasponder " électroniques.

Il est certain que la NASA gère tous les satellites lancés par les USA et que la NSA contrôle les données satellitaires, et les diffuse sur demande à moins qu’elles ne soient " top secret ".

 

Le système de surveillance White Cloud

Les programmes militaires américains prévoient un usage massif de satellites de " photo-reconnaissance ", auxquels ont peut ajouter les satellites militaires de moindre importance qui utilisent des appareils de liaison informatique tels que les deux Cosmos/SL7 et SL8, le Tsyklon/SL14 et le Zénith/SL-16. Il y a aussi les satellites océaniques de type RORS et ELINT, les satellites anti-satellites de la série Polyot et ASAT et les satellites de première alarme de la série OKO et Prognoz. Tous ces satellites font partie du White Cloud Surveillance System. Citons également les satellites ELINT, les Vostok/SL-3. Ils sont basés sur le SIGINT (Signal Inelligence) qui comprend le système COMINT (Communication System) qui analise toutes les communications de trafic normal, ELINT (Electronic Intelligence) qui s’occupe du trafic computérisé, TELINT (Télétype Intelligence) qui s’occupe des téléscripteurs, et RADINT (Radar Intelligence) qui s’occupe des transmissions radar.

La NSA opère à Pine Gap, Alice Springs en Australie, à Menwith Hill et Harrogate en Angleterre et à Forth Meade dans le Maryland. En ce qui concerne la marine militaire américaine, le système NOSS (Naval Ocean Surveillance System) a des satellites en orbite qui vont de 1 000 à 1 100 km avec des inclinaisons de 63,40. Les premiers satellites de ce type furent lancés en 76 depuis la base militaire de Vandenberg. Chaque satellite comprenait une série de 3 sub-satellites lancés sur quatre plans orbitaux différents et doivent rester synchronisés en transmission avec le satellite-mère car c’est seulement ainsi qu’on peut positionner sur le globe terrestre l’objet à monitorer avec une grande précision grâce aux techniques " time difference of arrival ". Ils communiquent grâce à des rayons laser virtuellement non interceptables. La distance entre eux est de 50-240 km. Un satellite-mère pèse environ 600 kg, un sub-satellite environ 200 kg. Il est prévu de lancer d’ici l’an 2 000, 800 tonnes de satellites dont l’orbite de certains sera à seulement 180 km du sol.

Il existe cinq générations de satellites (voir fig.1) dont la dernière comprend les systèmes de contrôle SB-WASS et le fameux Intruder de sinistre renommée. Non seulement cela concernerait le " monitorage " des " enlevés " mais les militaires pourraient ainsi contrôler n’importe quelle approche alien entrant dans l’atmosphère terrestre et s’il est vrai qu’il existe, comme le soutient le Colonnel Corso, au moins 12 races aliens, dont certaines sont déjà installées sur la planète et d’autres sont hostiles. Cela pourrait s’avérer d’une grande importance pour les militaires.

Pas seulement depuis l’Espace

Nous nous référons à un autre projet qui a sucité de violentes réactions auprès des écologistes à cause de ses effets collatéraux sur l’environnement. C’est le très contesté projet HAARP (High Frequency Active Auroral Research Program).

Il s’agit d’une série d’antennes installées à Gakoma, une localité de l’Alaska. Les antennes constituent un canon de guerre, capable d’irradier une énergie équivalente à 3,6 billions de Watts dans le champ des ondes radio ELF/VLF. Ce programme qui dépend du Pentagone étudie la possibilité de modifier la ionosphère qui, irradiée en certains points selon une certaine fréquence et intensité, pourrait produire une série de modifications structurales pas très bien définies actuellement par les protagonistes de l’antenne. La ionosphère ainsi irradiée, se comporterait comme un immense miroir et réfléchirait le rayon en certains points bien calculés de la planète. Dans quel but ? Pour découvrir s’il existe des constructions cachées comme des tunnels, des bases secrètes, des structures de type belliqueux sous la croûte terrestre ou sous-marine.

Le problème réside dans les effets collatéraux. Les militaires soutiennent que dans le futur ces technologies permettraient de réparer les trous d’ozone. Certains physiciens affirment que ce canon est en mesure de bloquer toutes les transmissions radio, d’atteindre des avions en vol, de perturber les radio-fréquences cérébrales des humains, de détruire les appareillages électroniques. HAARP sera potentialisée grâce à une antenne capable de développer une force 30 000 fois plus élevée que celle de l’antenne actuelle. La nouvelle antenne pourra roussir d’un seul coup 1 600 miles carrés de superficie terrestre.

Un accord selon certaines conditions

Armes stellaires, canaux spatiaux…… qu’en pensent les ufologues ? Un nouveau concept. N’oublions pas que s’armer contre les extraterrestres, les soi-disant gris ou leurs patrons supérieurs, n’aurait aucun sens dans la mesure où si les aliens étaient vraiment associés aux militaires, contre qui faudrait-il vraiment se défendre ? Il est de plus en plus évident que les militaires disposent d’une technologie capable de monitorer, intercepter ou abattre certains Ufo, en dehors du fait qu’ils peuvent contrôler l’ensemble de la population terrestre. Et on doit se demander ? Pourquoi 80% des satellites constituant le bouclier spatial sont-ils dirigés vers l’espace et pas vers la planète ? S’il y avait vraiment un accord avec les aliens, selon la théorie du " pacte scélérat " pourquoi devrions-nous nous défendre contre eux puisqu’ils sont nos alliés….

Le Colonel Corso soutenait que les Américains avaient obtenu des résultats technologiques en utilisant la rétroingénierie des Ufo accidentés ou abattus et non, comme on pensait auparavant, suite à une sorte d’échange entre nous et les extraterrestres c’est à dire qu’ ils pouvaient paître tranquillement sur notre planète en échange d’un peu de technologie qui aurait permis aux Américains de sur-multiplier leur super-puissance. Encore une fois la théorie du " pacte scélérat " vacille.

En 1947 (crash de Roswell), les Américains se sont trouvés face au vrai problème que représentaient les Ufo. Et il y eut effectivement un pacte entre eux et les aliens mais d’une toute autre nature. Les aliens de type 1 auraient dit aux Américaines que ce serait une bonne chose pour eux si on les laissait agir sur notre planète sans trop interférer. La population ne se serait rendue compte de rien, tandis qu’en échange ces mêmes aliens de type 1 garantissait la protection de la planète. Protection contre qui ? Mais des autres 11 races auxquelles Corso fait référence ; races non compatibles avec la nôtre, races donc qui n’avaient aucun intérêt à laisser vivre le genre humain sauf pour bénéficier de son bagage biogénétique, races qui avaient le désir d’exploiter à fond les ressources de la planète, ce qui n’est pas le cas de nos amis les Gris. Les Américains, in primis, puis dans un sens plus large les militaires, auraient dû accepter la situation, bien malgré eux, car c’était la moins désastreuse pour la Terre. Nos gouvernements ont dû faire l’unique chose possible : tenir ces " protecteurs " en symbiose mutualiste, comme on dit en biologie, quand on échange des faveurs. Cette théorie a le mérite de mettre en place les morceaux du puzzle…… et si les choses se déroulent ainsi nous en aurons très bientôt la confirmation.

 

1