DOSSIER IMPLANTS
Chirurgie alien
de Roger K. Leir - Dossier Alien de octobre 98
Dans la chair de certains sujets vraisemblablement " kidnappés " se cachent les fruit d’une technologie qui pourrait contribuer au développement de notre médecine.
Extrait du livre " The Aliens and the Scalpel : Scientific Proof of
Extraterrestrial Implants in Humans ".
Août 1995 : les découvertes biologiques
Les premiers exemplaires extraits de l’opération du 19 octobre 98, envoyés au laboratoire, furent des tissus entourant les objets prélevés. Durant l’opération, nous avons pu enlever tout les tissus, dont certains semblaient de couleur anormale ou présentaient des anomalies particulières justifiant leur dissection. Ce qui nous frappa ce fut l’énorme quantité de cellules nerveuses trouvées à l’intérieur du tissu. Du point de vue anatomique il n’est pas normal que tant de cellules nerveuses particulières soient regroupées dans un objet externe, inséré en profondeur dans un doigt de pied ou adjacent à un os. En général, ces cellules se trouvent sur la pointe des doigts et servent de conducteurs de sensations spéciales telles que le tact, la pression et la température. Ou bien sous la plante des pieds d’où sont envoyées des signaux à travers l’épine dorsale aux muscles des extrémités inférieures, nous permettant de marcher de manière fluide et coordonnée.
Une autre découverte stupéfiante est la totale absence de micro-inflammation visible dans les tissus extraits. Je me suis demandé pourquoi l’organisme n’avait pas produit de réaction anti-inflammatoire vis-à-vis des corps externes insérés. J’eus la réponse après les résultats des analyses effectuées sur les échantillons de tissu. On découvrit que la membrane entourant les objets était compose de seulement trois éléments biologiques :
Coagulât protéinique : il dérive du sang coagulé et est composé de protéine pure.
Hémosidérine : c’est un pigment à base d’oxygène contenant du fer, un " parent " de l’hémoglobine.
Chératine : la superficie externe de notre corps est le strate le plus superficiel de la peau. Il est également présent dans les ongles des mains et des pieds ainsi que dans les cheveux. L’absence de réaction anti-inflammatoire pouvait dépendre de la membrane et j’en discutais avec les autres biologistes et nous comprîmes que cette découverte pouvait révolutionner la science médicale moderne. Nous pouvions reproduire cette membrane, et ainsi envelopper n’importe quelle greffe devant être insérer dans le corps sans produire de rejet allergique et le patient ne serait plus contraint de prendre des médicaments anti-rejet pour le reste de sa vie.
1996 : inflammations et rayons ultraviolets
La série suivante de découvertes biologiques concerne le tissu qui fut extrait chirurgicalement le 18 mai 96. L’opération mit en évidence un corps étranger, métallique et de forme triangulaire, recouvert d’une membrane dense gris sombre. Cette dernière était elle-même entourée d’une accumulation de cellules nerveuses, sans aucune réaction anti-inflammatoire. Les deux opérations suivantes mirent à jour une petite balle de substance gris-blanchâtre, située profondément dans les tissus mais attachée à la partie interne de la peau. La portion externe de la peau laissa apparaître une lésion (peut-être la zone d’insertion de l’implant, NDLR), apparue un jour à l’improviste sur la jambe gauche des personnes " enlevées ". Les résultats de l’examen au microscope révélèrent de nouvelles informations surprenantes sur les vaisseaux sanguins de cette zone. En fait, la paroi interne des vaisseaux avait été détruite et quelque chose avait causé une grosse inflammation autour de ces vaisseaux. L’autre découverte fut encore plus stupéfiante : une élastose solaire c’est à dire que la couche la plus profonde de la peau avait été irradiée par une lumière intense ultraviolette. Cela semblait presque impossible, étant donné que les deux patientes travaillaient à la maison et n’avaient pas été exposées au soleil et n’avaient jamais eu d’érythème solaires aux jambes. Même si leurs souvenirs avaient été contestables, cela n’aurait pas expliquer pourquoi seulement une minuscule portion de peau avait été surexposée à une radiation ultraviolette. Aucun autre signe n’apparaissait sur leurs jambes
Les résultats métallurgiques
Les premiers résultats parvinrent du Los Allâmes national laboratories. Les tests furent effectués sur les échantillons prélevés lors des deux opérations et sur la petite boule extraite de la zone du cou et de l’épaule du troisième patient. Les tests d’analyse chimique, électromagnétique et structurale comprenaient :
Toutes les analyses furent faites en double isolation.
Les analyses du laboratoire du New Mexico Tech révélèrent qu’un des échantillons contenait 11 éléments différents et que l’autre comprenait un noyau de fer, que le fer et le phosphore étaient les principaux composants de la substance qui entourait le noyau ferreux.
L’objet en forme de T prélevé lors de l’opération du 19 août 1955) est composé de deux petites baguettes métalliques. La portion horizontale contient un noyau magnétique de fer, plus dur que l’acier de carbure.
Une couche complexe d’éléments recouvre le noyau, formant une plaque, dont une portion comporte une lamelle cristalline qui entoure la baguette.
Cette baguette est structurée, une de ses extrémités est recourbée tandis que l’autre est plate. Au centre, une petite dépression, semblable à la forme qui est au bout de la baguette verticale. En fait, celle-ci contient une couche apparente identique mais son noyau est composé de carbone et non de fer, et il est magnéto-conducteur et non magnétique.