Les Expressions
dernière Update: 23th Dec 2001
-"Amis soyez toujours ces veilleuses qui tremblent" Jean Vasca (Amis soyez toujours)
-"Avec le temps, va, tout s'en va" Léo Ferré (Avec le Temps) : rien n'est éternel, il faut profiter de l'instant présent...vivre ses sentiments tant qu'on en a.
-"A quoi bon puisque c'est encore moi qui moi-même me trahit" Léo Ferré (Est-ce ainsi que les hommes vivent)
-"Celui qui n'a pas de folie est un fou..." Henry Lejeune
-"Ce sera un peu plus dur de vivre avec le souvenir de ce crime au coin de la rue, et tout ce sang" Jacques Bertin (Ambassade du Chili)
-" Elle a perdu des hommes mais là elle perds l'amour " Jacques Brel (Orly)
-"Elle était si jolie que je n'osais l'aimer" Alain Barrière (Elle était si jolie)
-"Est-ce qu'on fait des vers avec l'actualité immédiate?" Jacques Bertin (Besançon) : On se demande souvent "Pourquoi?" au lieu de "Comment?" celà montre notre propension à regarder dans le passé, parce qu'on ne sait pas facilement prendre du recul...savoir comment faire quelque chose souvent ne nous aide pas parce que nous ne connaissons pas les réactions des autres...si nous agissions tous dans le même but...on chercherais à résoudre le problême avant de savoir d'où il vient.
-"...et de vivre il s'en fout, sa vie de lui s'éloigne" Jacques Bertin (Je parle pour celui qui a manqué le train) : La vie s'éloigne toujours et jamais on n'arrvie à la retenir...pour la première partie c'est plus intrinsèque, inhérent à ma personne :).
-"Et moi, moi qui étais le plus fier, moi, moi je me prenais pour moi" Jacques Brel (Les Bourgeois) : Savoir être soi même et s'en contenter sans pour autant être nombriliste ;-).
-"...et mourir aux genoux d'une femme très douce" Jacques Bertin (Je voudrais une fête étrange et très calme) : Délicieuse projection d'un moment douloureux.
-"Etre unique sans être différent" Julien Lejeune
-"Frais comme l'eau sous la rame, un temps fort comme une femme" Louis Aragon - Lino Leonardi (Maintenant que la jeunesse) : Symbolise pour moi la douceur, la première partie évoque la caresse que la seconde appelle.
-"Il pleut sur Nantes, donne moi la main" Barbara (Nantes) : Le réconfort dans l'adversité, la grisaille.
-"Il nous fallut bien du talent pour être vieux sans être adulte" Jacques Brel (La Chanson des Vieux Amants): Certains gardent un esprit jeune malgré l'âge, d'autres sont vieux avant l'âge. Tout est dans la tête. On ne peut empêcher notre corps de vieillir mais notre esprit n'est pas obligé de suivre le mouvement.
-"J'attends la source de tes bras, de tes cheveux, de ton haleine" Jacques Bertin (Je t'attends aux grilles des routes) : Symbolise la séparation, le besoin que celle-ci engendre, le besoin de petits détails qui font le tout.
-"J'écoute les feuilles des arbres dans ma tête" Jacques Bertin (Domaine de Joie)
-"Je suis celui qui te connais quand tu fuis jusqu'au bout du monde" Jacques Bertin (Je suis celui qui court)
-"Je suis seul c'est ici ma blessure patiente" Jacques Bertin (Retour à Chalonnes)
-"Je t'inventerai des mots insensés" Jacques Brel (Ne me quitte pas)
-"Je voudrais être bon de la bonté des faibles" Jacques Bertin (La Bonté des Faibles) : Rien que le plaisir de voir un sourire sur les lèvres de l'autre lorsqu'on fait quelque chose pour lui/elle...bien sûr souvent on se fait exploiter...Où est le juste milieu?
-"L'amitié des choses inertes, m'enveloppera pour ma perte" Jacques Bertin (Les Grands Départs) : c'est si facile de se perdre dans ce qui ne vit pas.
-"La vie me pousse sans ménagement" Jacques Bertin (Ambassade du Chili) : La vie n'est pas facile, y'a pas de récompense, d'espoirs, il n'y a que la vie avec ses hauts et ses bas.
-"Le creux de ton épaule pour ligne d'horizon" Catherine Le Forestier (Le Pays de ton Corps)
-"Les parois de ma vie s'enlissent je m'y accroche mais je glisse" Charles Aznavour (Mourir d'Aimer) Rien de pire que lorsqu'on sent tout partir, qu'on est incapable de se raccrocher à quelque chose pour survivre.
-"Mais j'ai tout essayé, je veux bien y croire mais je suis fatigué et mon soleil est noir, pardon de vous le dire mais je reviens ce soir, le coeur égratigné et j'ai le désespoir." Barbara (Le Soleil Noir).
-"Mais la vie sépare ceux qui s'aiment tout doucement sans faire de bruit et la mer efface sur le sable les pas des amants désunis". Yves Montand (Les Feuilles Mortes).
-"Mais les choses nous parlent si nous savons entendre " Barbara (Drouot).
-"Mais nous voila ce soir, silencieux, face à face. Me voila devans toi, loin de toi, fatigué. Comme nos yeux sont secs, nos lèvres sans baisers, amants nous sommes séparés". Jacques Bertin (Je débarquais).
-"Moi seul je connais la courbe de tes reins avec ta pudeur" Jacques Bertin (L'amour) : A nouveau ce qui est unique à tellement plus de valeur, plus de sensibilité.
-"Paroisse des années soixantes" Jacques Bertin (Paroisse) : Années que j'aurais bien voulu vivre pour leur lot d'artistes et l'esprit qui y règnait...aussi parce que je crois que le mouvement fin des années soixantes et les 70's furent parmis les plus belles années de ce siècle pour ceux qui y vécurent. Je me sens plus proche de l'esprit libre que de la société actuelle où l'on doit se conformer pour survivre...
-"Que serais-je sans toi, qui vint à ma rencontre?" Jean Ferrat (Que Serai-je Sans Toi) : les autres nous influencent et certaines personnes apportent un changement énorme dans notre vie, une nouvelle vision de notre monde sinon un nouveau monde...
-"Qui de nous deux à perdu l'autre?" Jacques Bertin (Où tu t'en vas)
-"Rien ne sert de souffrir il faux mourrir à temps" Julien Lejeune
-"Sauf qu'ainsi enfin peut-être on reconnaisse dans les yeux de l'homme défait, l'enfant des fées" Jacques Bertin (La Bonté des Faibles) : On ne voie jamais la valeur d'une personne au premier abord...bien sûr certains ont une aura...le visage exprime beaucoup de choses mais combien de trésors cachés se trouvent dans la plupart d'entre nous?
-"Si tu t'en vas, la vie est ma peine éternelle" Jean Gireaudoux - Maurice Jaubert (La Chanson de Tessa)
-"Toute la vie est un suicide" Jean Paul (1763-1825)