Prévert et Aragon souhaitent, tous deux, rendre la vie meilleure ( conception du surréalisme ). Ce dernier est également un poète engagé socialement ( poésie contre la guerre, le fascisme ). Il parle constamment des problèmes sociaux. En plus de l’engagement social, la poésie d’Aragon a pour thème dominant l’amour.
Tout comme dans Le temps perdu de Prévert, Aragon aborde dans " J’arrive où je suis étranger ", la notion du temps et de sa précieuté : Le fait de ne pas pouvoir jouir pleinement de ce temps que nous offre la vie. Voici deux exemples tirés des oeuvres de chacun qui montrent un rapprochement au niveau conceptuel ( Le temps est précieux ) :
Ces passages, illustrent la précieuté du
temps, présentent une évidence. On le sait tous que la vie
est passagère et que le vent est léger mais est-ce que l’on
s’y arrête ? En sommes-nous conscient ? Là est toute la différence
entre SAVOIR et ÊTRE CONSCIENT. Est-ce que l’on profite pleinement
de cette courte période qu’est la vie ? Prévert fait aussi
appel à la nostalgie pour démontrer le manque que nous inflige
le fait de ne pas saisir chaque instant de la vie.