Aucun événement n'a laissé plus d'empreinte sur ce siècle que la Guerre de
de Cent Ans. Son influence a été resentie fortement dans la littérature du temps, le plus
notamment comme objet du chroniqueur. Vu l'importance de Froissart, il est facile de
négliger les autres créations littéraires de l'âge. Si la littérature épique n'était plus,
elle a trouvé son remplaçant dans les chroniques historiques de Froissart et de Joinville. Le
fabliau a continué à fleurir, maintenant dans son deuxième siècle de faveur, de même que la poésie
lyrique et non chevaleresque. Finalement, le genre du théâtre était en pleine évolution; la distinction entre le théâtre religieux et
séculier a été maintenant fermement établie, et chaque forme de théâtre a développé selon son
propre cours. L'église, cependant, gardait maintenant ses distances de toute forme de
drame, et encourageait à ses paroissiers de faire pareil, jusqu'au point de les menacer d'excommunication: les frontières entre le religieux et le mondain en étaient devenues un peu trop obscures.