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Notre Histoire

 

Vers la nouvelle Colombie: nous créons ou nous sommes perdus.

Mr Simon Rodriguez, le grand professeur de notre libérateur, nous a lésé une phrase profonde et chargée de combativité:  on innove ou on se perd. 
Son ami Bolivar,  à mis en pratique cette phrase et à appliqué toute son originalité et créativité pour fonder notre nation.

 

 

Il faut apprendre de la réalité du peuple, il faut l'observer pour connaître ses besoins.
Bolivar a appris les concepts de la guerre des armées classiques, mais il a du se battre avec une structure de guérilla,  avec 70 guérilleros il dut combattre des milliers d'espagnols.

Il a su créer l'union patriotique et faire la guerre à mort lorsqu'il le fallait.  Il a parlé de la grand nation qui doit être la garantie d'équilibre dans la scène mondiale ou règnent les tensions entre les puissances.  Il à mis à l'ordre du jour le besoin d'une institutionnalisé politique propre, pour la création d'un pays jeune mais digne et qui regarde vers l’ avenir. Il s'est opposé aux visions européennes et a ceux inspirés par les EU avec leur petite conviction féodale.
Son idée avait comme basse un grand système d'éducation propre qui allait forger l'esprit de travail grâce à la participation active des étudiants dans les ateliers, il voulait que la société Grand Colombie ( Venezuela, Equateur, Panama, Colombie  ) soit riche de créativité et de travail.
 
Mr Simon Rodriguez  a voulu être claire et simple pour expliquer ce qu'il nous fallait, il nous a mis en garde du besoin de nous développer en ce qui concerne le domaine alimentaire et industrielle, il nous à mis en garde sur le fait qu'un jour on serait obligé de tout importer, le mais, le riz, le café, les textiles, et tous les autres produits. 

Le néo- libéralisme s'esquissait déjà alors à cet époque, système qui nous fut imposé par la manipulation médiatique et qui na pas hésité au par après de se montrer sous des formes plus musclées. Les tueurs a gages et les escadrons de la mort se sont occupés de ceux qui pensaient qu'on pouvait choisir notre propre destinée. 

Les dirigeants ont ignoré les conseils de Bolivar,  ils ont réduit le  concept d'économie, selon eux, ce qui est bénéfique pour le pays se sont les exportations, car elles font entrer des devisses pour leur petite minorité,  les spécialistes étrangers ont déclaré que les paysans devaient disparaître et que le fait qu'il y aurait quelques millions de pauvres n'était pas vraiment un problème car leur expérience leur disait qu'ils étaient faciles à contrôler. 
Pour ce gens la, le paradis était privé et il se conquerrait avec le pistolet. Sauve qui peut . le ciel pour une poignée d’hommes d’affaires , et l’indignité et la misère pour le peuple 
 

"Bienvenus au futur" , on l'entend encore avec une voix stridente avec des tambours,  des bombardements, des massacres, avec la destruction de l'agriculture et de l'industrie nationale. On a entendu après "le gouvernement des gens" et c'était la même chose,  on a entendu parler de changement et pourtant tout ce que changeait c'était le langage et quelques petites choses, mais la base est resté la même.

Ce qu'il va nous falloir c'est inventer notre avenir avec des gens ,  ayant le sens de patrie et de la création d'un nouveau Etat, il nous faut un Pays souverain avec du travail pour tous et mettant en évidence notre richesse potentielle et notre talent.
Telle est la raison d'être du Mouvement Bolivarien pour la nouvelle Colombie.
On aura une vision propre et de libre pensée, car la répression est l'outil des systèmes inégalitaires qui n'ont que la force comme argument pour rester au pouvoir.
   

 

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