Mon cher M. Labrosse, je prends, en effet, beaucoup d'intérêt à votre position; je voudrais sincèrement pouvoir vous être utile. J'en ai parlé à M. le Vicaire général. Si vous persistez à vouloir entrer chez les Frères de Lavalla, je ne vois rien de mieux à faire que d'écrire, vous même, à M. Champagnat qui en est le supérieur. Il ne manquera pas de m'en écrire lui-même de me demander des renseignements, et je les lui donnerai très favorables, ou je lui en parlerai à la lère. occasion. Ce moyen pourra, je le crois, vous tirer d'embarras. Pour expédier plus vite, peut-être, ne feriez-vous pas mal de faire vous-même le voyage. En passant à Lyon, vous verriez M. Cattet, ou moi-même, si j'y suis. Si vous prenez le parti d'écrire, vous adresserez vos lettres à M. l'Abbé Champagnat, Supérieur des Frères de Lavalla, près St. Chamond.

Muy estimado Sr. Labrosse, gran interés despierta en mi su situación. Quisiera sinceramente poder serle útil. He hablado del asunto con el Vicario General. Si Ud. persiste en su decisión de ingresar con los Hermanos de Lavalla, creo que lo mejor, según mi opinión, será que Ud. mismo escriba al P. Champagnat, quien es el Superior. No dejará de escribirme para solicitarme informes de usted; se los daré favorables. O si no [me escribe] yo le hablaré de Ud. en la primera ocasión que se me presente. Actuando así, creo que podré sacarlo [a ud.] del aprieto[1]. Con el fin de acelerar el proceso, no estaría mal que fuera Ud. personalmente al Hermitage. De paso por Lyon, vendría Ud. a ver al P. Cattet o a mí, si es que estoy. En caso de que prefiera sólo escribirle, dirija su correspondencia al P. Champagnat, Superior de los Hermanos de Lavalla, cerca de St. Chamond.