PIEZAS VARIAS SOBRE

LA ORACION

CONTENIDO

PAGINA

LA ORACION EN MARCELINO

MODALIDADES

10

BINOMIO ORACION-ACCION

13

DATOS DE SU BIOGRAFIA

16

TESTIMONIOS DE SUS COETANEOS

25

CORRESPONDENCIA ACTIVA

35

DESIDERATAS ORANTES

67

ORANDO A MARIA CON TEXTOS DE LAS CARTAS

69

CONSTITUCIONES

EL CAPITULO CUARTO

71

EL CONJUNTO

77

LA ORACION EN MARCELINO SEGUN LOS TESTIMONIOS DE SUS COETANEOS

Il nous répétait sa maxime favorite où se peignaient son humilité et sa confiance en Dieu: “Nisi Dominus aedificaverit domum, in vanum lavoraverunt qui aedificant eam”. (F. AIDANT, SUMM 88)

Nos repetía su máxima favorita, en la que se reflejaba su humildad y su confianza en Dios: “Nisi Dominus aedificaverit domum, in vanum laboraverunt qui aedificant eam”. (F. AIDANT, SUMM 88)

Quand il se tournait vers nous pour nous donner la sainte Communion, et qu’il prononçait les paroles de l’Ecce Agnus Dei, elles produisaient une impression telle que ceux qui l’ont entendu ne peuvent l’oublier. (F. AIDANT, SUMM 191)

Cuando se volvía a nosotros para darnos la sagrada comunión, pronunciaba las palabras del ECCE AGNUS DEI de una forma tal que cuantos le oyeron no podrán olvidarlo. (F. AIDANT, SUMM 191)

A mon arrivée au noviciat, j’ai été vivement frappé de la tenue du Vénérable pendant les prière, la Sainte Messe et tous les exercices communs qu’il présidait. (F. AIDANT, SUMM 191)

Cuando llegué al noviciado quedé vivamente impresionado por la compostura del Venerable durante las oraciones, la Santa Misa y los ejercicios comunes que presidía. (F. AIDANT, SUMM 191)

J’atteste que son respect pour le Saint Sacrement était des plus édifiants. Il faisait des fréquentes visites à la chapelle dans la journée pour consulter Notre Seigneur, lui faire part de ses projets et de ses doutes. Il nous disait que n’étant qu’un instrument entre les mains de Dieu, il ne voulait rien faire, ni rien entreprendre sans l’avoir consulté. (F. AIDANT, SUMM 192)

Certifico que su respeto hacia el Santísimo Sacramento era de los más edificante. Hacía frecuentes visitas a la capilla en el curso de la jornada para consultar a Nuestro Señor, hacerle partícipe de sus proyectos y de sus dudas. Nos decía que, no siendo sino un instrumento entre las manos de Dios, no quería hacer nada ni emprender nada sin consultarle. (F. AIDANT, SUMM 192)

J’atteste avoir remarqué, dès mon arrivée au Noviciat, la tenue respectueuse, digne et recueillie du Vénérable Fondateur non seulement pendant les exercices de piété, mais dans toutes ses démarches. Quoique d’un caractère gai, ouvert on remarquait toujours chez lui un air réfléchi et de gravité qui ne pouvait venir que de la pensée de la présence de Dieu dont il était pénétré. (F. AIDANT, SUMM 194)

Certifico haber observado, desde mi llegada al noviciado, una compostura respetuosa, digna y recogida del Venerable Fundador, no sólo durante los ejercicios de piedad, sino en todo lo demás. Aunque de carácter alegre y abierto, se observaba siempre en él un semblante reflexivo y de gravedad que no podía provenir sino del pensamiento de la presencia de Dios, del que estaba penetrado. (F. AIDANT, SUMM 194)

Il nous disait que cet exercice est le plus court et le plus facile pour arriver à la perfection. Il nous en recommandait la pratique très souvent: soit dans ses instructions, soit dans ses avis particuliers mais de le faire sans contention: un simple souvenir, un regard de l’âme vers Dieu qui nous pénètre et en qui, comme dit l’Apôtre, nous avons la vie, le mouvement et l’être. (F. AIDANT, SUMM 194)

Nos decía que ese ejercicio es el más corto y el más fácil para llegar a la perfección. Nos recomendaba su práctica con mucha frecuencia, ya en sus instrucciones, ya en sus avisos particulares. Pero pedía hacerlo sin esforzarse mucho: un simple recuerdo, una mirada del alma a Dios que nos penetra, y en quien, como dice el Apóstol, vivimos, nos movemos y somos. (F. AIDANT, SUMM 194)

Ce qui m’a le plus frappé et édifié pendant mon noviciat, c’est la tenue et le profond respect, que le Serviteur de Dieu avait devant les Saint Sacrement de l’Autel, ainsi que sa profonde vénération qu’il faisait paraître en s’approchant de l’Autel, avant de commencer la Sainte Messe, et avec quelle ferveur il prononçait les paroles liturgiques. On aurait dit qu’il voyait Notre Seigneur face à face! Son action de grâces après la Sainte Messe, ainsi que ses visites au Saint Sacrement se faisaient avec une piété vraiment édifiante. (F. AIDANT, SUMM 312)

Lo que más me impresionó y edificó durante mi noviciado es la compostura y profundo respeto que el Servidor de Dios tenía ante el Santísimo Sacramento del Altar, antes de dar comienzo a la Santa Misa, y con cuánto fervor pronunciaba las palabras litúrgicas. Se hubiera dicho que contemplaba a Nuestro Señor cara a cara. Su acción de gracias después de la Misa, al igual que sus visitas al Santísimo las hacía con una piedad verdaderamente edificante. (F. AIDANT, SUMM 312)

Dans l’admission des sujets, le Père exigeait qu’on eût de la piété, une bonne santé et de l’amour du travail. (F. BASSUS, SUMM 99)

Cuando se trataba de la admisión de un aspirante, el Padre Champagnat le exigía piedad, buena salud y amor al trabajo. (F. BASSUS, SUMM 99)

Pendant mon noviciat, le Père Champagnat récitait tous les jours les litanies de la Très Sainte Vierge, à genoux, au pied de l’autel, après sa Messe qui était la messe de communauté, mais je ne sait pas à quelle intention. Pendant la récitation de cette prière, sa figure était rayonnante de joie et de confiance; ses regards étaient fixés sur l’image de Marie placée au-dessus de l’autel. On aurait dit qu’il voyait réellement la Reine du Ciel. Jamais, non, jamais je n’oublierai cette pose si pieuse, cette confiance qui était peinte sur la figure séraphique de Vénérable Serviteur de Dieu. (F. CALLINIQUE, SUMM 256)

Durante mi noviciado, el P. Champagnat rezaba diariamente las letanías de la Sma. Virgen, de rodillas, al pie del altar, después de la Misa celebrada por él, que era la de la comunidad; pero no sé por qué intención. Durante el rezo de esta oración, su rostro irradiaba confianza y alegría; su mirada permanecía dirigida a la imagen de María, colocada arriba del altar. Hubiérase dicho que veía realmente a la Reina del Cielo. Jamás, pero jamás, olvidaré esa actitud tan piadosa, esa confianza visible en el rostro seráfico del venerable Siervo de Dios. (F. CALLINIQUE, SUMM 256)

Je lui ai entendu dire bien souvent: “Si le Seigneur n’édifie lui-même, c’est en vain que nous travaillons. “ “Vous vous donnez beaucoup de peine dans vos classes; mais si vous ne mettez pas votre confiance en Dieu et si par la prière vous n’attirez pas son secours, vous vous fatiguez en vain”. D’autres fois je lui ai entendu dire: “Dieu ne nous a-t-il pas assez donné des preuve de sa bonté pour nous apprendre à compter sur lui?” (F. CAMILLE, SUMM 263)

Le oí a menudo decir: “Si el Señor no construye, en vano trabajamos”; “Ud. se cansa mucho en clase, pero si no pone su confianza en Dios y no consigue su ayuda mediante la oración, Ud. se cansa en vano.” En otras ocasiones le oí decir: “¿No nos ha dado Dios tantas pruebas de su bondad para enseñarnos a contar con él?” (F. CAMILLE, SUMM 263)

Son respect pour les églises, la propreté qu’il exigeait et l’ornementation de la Chapelle de l’Hermitage, rien de ce qui servait au culte n’était trop beau, trop riche. Toutes les fêtes se célébraient avec la plus grande solennité possible, même dans l’ancienne chapelle qui était petite et assez incommode. On ne saurait exprimer le bonheur que le bon Père éprouva lors de l’érection de la nouvelle chapelle en 1836. C’est lui qui a fait faire le Maître-Autel actuel qui était une petite merveille pour le temps. (F. EUTHYME, SUMM 190)

Su veneración por las iglesias: la limpieza que exigía y el adorno de la capilla del Hermitage; nada de cuanto servía para el culto era demasiado hermoso, demasiado rico. Todas las festividades eran celebradas con la máxima solemnidad posible, incluso en la antigua capilla, la cual era pequeña y bastante incómoda. No sabríamos expresar la dicha que el buen Padre experimentó cuando se erigió la nueva capilla en 1836. El fue quien encargó el altar mayor actual, una pequeña maravilla para su época. (F. EUTHYME, SUMM 190)

Il recommandait sans cesse la pratique de la présence de Dieu (...) et faisait mettre, chaque année, cette pratique en tête des résolutions de la retraite. (F. EUTHYME, SUMM 258)

Constantemente recomendaba la práctica de la presencia de Dios (...) y todos los años, mandaba poner esta práctica como la primera de las resoluciones del retiro. (F. EUTHYME, SUMM 258)

Le Vénéré Père faisait la prière du matin et la méditation avec la communauté. Sa tenue, son air si pénétré de la présence de Dieu obligeaient tous ceux qui y assistaient à bien prier. Souvent il ajoutait quelques sérieuses réflexions au sujet qui était donné, et fréquemment aussi, à la fin de l’oraison, il faisait rendre compte publiquement de la manière dont on s’était acquitté de cet exercice. J’éprouvais un indicible bonheur à me placer toujours auprès de lui, pendant les prières de la communauté. (F. EUTHYME, SUMM 258)

El Venerable Padre hacía la oración de la mañana y la meditación con la comunidad. Su compostura y su semblante tan lleno de la presencia de Dios obligaban a cuantos asistían a orar bien. A menudo, añadía algunas profundas reflexiones al tema que se había dado, y frecuentemente también, al final de la oración, pedía cuenta públicamente del modo como se había realizado este ejercicio. Yo experimentaba un gozo indecible en colocarme siempre junto a él en las oraciones de la comunidad. (F. EUTHYME, SUMM 258)

Je sais que le Serviteur de Dieu comptait si peu sur lui-même que lorsqu’il avait fait la liste des placements, il disait aux Frères: “Prions Notre Seigneur de bénir ce travail”. Alors il prenait la liste des placements, il la mettait sur l’autel, pendant la Messe, et pendant plusieurs jours, il adressait à Dieu de ferventes prières pour qu’il bénit ces placements. (F. GERASIME, SUMM 246)

Sé que el Siervo de Dios confiaba tan poco en sí mismo que, cuando ya tenía la lista de las colocaciones, decía a los Hermanos: “Pidamos a Nuestro Señor que bendiga este trabajo”. Tomaba entonces la lista y la colocaba sobre el altar durante la Santa Misa, y en el transcurso de varios días dirigía a Dios fervientes plegarias para que bendijera dichas colocaciones. (F. GERASIME, SUMM 246)

Je sais que la célébration du Saint Sacrifice devint pour lui le plus grand des bonheurs, et tous ceux qui l’ont vu dire la Sainte Messe, ont été portés à la dévotion par son extérieur humble et recueilli. Je sais que c’est la vérité que le Serviteur de Dieu ne manquait jamais de dire tous les jours la Sainte Messe et on l’a vu, en voyage, faire à pieds 5 ou 6 lieues et plus, pour se procurer cette consolation. C’est la vérité qu’on pourrait citer sur ce sujet un grand nombre d’exemples. (F. GERASIME, SUMM 246)

Sé que la celebración del Santo Sacrificio llegó a ser para él la mayor de las dichas, y que todos los que lo vieron celebrar se sentían movidos a devoción por su porte sencillo y humilde, a la vez que recogido. Sé que es verdad que el Siervo de Dios no dejó ni un día de celebrar la Santa Misa, y que se le vio recorrer a pie 5 ó 6 leguas para tener el consuelo de poder celebrar. Es cierto que sobre el tema se podrían citar muchos ejemplos. (F. GERASIME, SUMM 246)

Je me rappelle que le Serviteur de Dieu nous recommandait souvent le saint exercice de la présence de Dieu, et nous exhortait à le mettre en pratique, en faisant toutes nos actions devant Dieu, en Dieu et pour Dieu. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 250)

Me acuerdo que el Siervo de Dios nos recomendaba frecuentemente el santo ejercicio de la presencia de Dios; y nos exhortaba a ponerlo en práctica, haciendo todas nuestras acciones ante Dios, en Dios y por Dios. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 250)

J’ai toujours été édifié et attendri, en entendant le Serviteur de Dieu prononcer si gravement et si pieusement l’Ecce Agnus Dei, avant la communion. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 251)

Siempre me edificaba y conmovía el oír al Siervo de Dios pronunciar, tan grave y piadosamente, el “Ecce Agnus Dei”, antes de la comunión. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 251)

Il est vrai aussi que le Serviteur de Dieu nous exhortait à la dévotion aux Saints Anges et surtout à l’Ange Gardien, notre meilleur ami après Jésus, Marie et Joseph. Il voulait aussi qu’on eût une grande dévotion aux Saints Patrons de baptême et de religion. Il avait lui-même une grande dévotion pour tous les Saints, et spécialement à St. Luis de Gonzague, patron de la jeunesse, et à St. François Régis, qui a évangélisé Marlhes et les pays environnants. De temps en temps il nous faisait faire une neuvaine à ces Saints pour des besoins particuliers. Il célébrait leurs fêtes avec beaucoup de dévotion, faisant vénérer leurs reliques à la suite d’un salut. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 252)

El Siervo de Dios nos exhortaba también a la devoción a los santos Angeles, sobre todo al de la Guarda, que es nuestro mejor amigo después de Jesús, María y José. Era su deseo que se tuviese gran devoción a los santos patronos de bautismo y de Religión. El mismo profesaba gran devoción por todos los santos, especialmente a San Luis Gonzaga, patrono de la juventud, y a San Francisco Regis, apóstol de Marlhes y de las comarcas circundantes. De vez en cuando, nos hacía hacer una novena a estos santos, por las necesidades de cada uno. Celebraba sus fiestas con mucho esmero, haciendo venerar sus reliquias a continuación de la bendición con el Santísimo. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 252)

La dévotion à St. Joseph était aussi un des sujets favoris du Serviteur de Dieu. Il nous engageait à l’honorer et à invoquer tous les jours ce grand Saint, parce qu’il est tout puissant auprès de Jésus et de Marie, pour nous assister dans nos besoins spirituels et temporels, et, qu’après Marie, notre ressource ordinaire. Saint Joseph est le premier Patron de la Société. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 252)

La devoción a San José era uno de los temas favoritos del Siervo de Dios. Nos comprometía a honrarlo y a invocarlo todos los días porque era todopoderoso ante Jesús y María para ayudarnos en nuestras necesidades espirituales y temporales. Y que, después de María, nuestro Recurso Ordinario, San José es el Primer Patrono de la Congregación. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 252)

Il nous invitait aussi à rendre continuellement grâce à Dieu pour les biens que nous recevons sans cesse de sa main libérale, et surtout pour les bienfaits de la Création, de la Rédemption et de la vocation à la foi et à la vie religieuse. En action de grâces pour tous ces bienfaits, il nous engageait à réciter souvent le “Magnificat” et le “Te Deum”. Il avait établi la pratique de réciter le “Te Deum” en choeur, deux à deux, à demie voix, en se rendant de la Chapelle à la salle d’étude ou à son travail. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 399)

Nos invitaba también a dar continuamente gracias a Dios por los bienes que sin cesar recibimos de sus manos generosas. Y sobre todo por los beneficios de la creación, de la redención, de la vocación a la fe y a la vida religiosa. En acción de gracias por todo ello, nos invitaba a rezar con frecuencia el MAGNIFICAT y el TE DEUM. Había establecido la práctica de rezar el TE DEUM en coro (dos a dos) , a media voz, al ir de la capilla a la sala de estudio o al trabajo. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 399)

Il était toujours gai. Je ne me souviens pas de l’avoir jamais vu triste ni découragé, malgré les nombreuses contradictions et persécutions qu’il a eues à souffrir de la part de ses ennemis. Il nous édifiait par sa douceur, sa tranquillité d’âme au milieu des persécutions. Il ne parlait jamais mal de ses ennemis, au contraire, il faisait prier pour eux, pour obtenir de Dieu leur conversion. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 419)

Siempre se le veía alegre. No me acuerdo haberlo visto triste ni desanimado, a pesar de las numerosas contradicciones y persecuciones que tenía que sufrir de sus enemigos. Nos edificaba por su bondad y su tranquilidad en las persecuciones. Jamás hablaba mal de sus enemigos. Al contrario, hacía pedir por ellos, para conseguir de Dios su conversión. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 419)

J’ai eu le bonheur d’être présent lorsqu’on administra le Serviteur de Dieu. Je me rappelle l’émotion générale qui se produisit dans la salle des exercices, où il se rendit pour cette solennelle cérémonie. Comme je ne l’avais pas vu depuis plusieurs jours, je fus saisi à la vue du bon Père et ne pus retenir mes larmes, non plus que tous les Frères, qui éclatèrent en sanglots en voyant l’état de faiblesse et de souffrance de notre Père bien-aimé. Le Serviteur de Dieu nous voyant tous réunis autour de lui, nous adressa ses dernières et touchantes recommandations (...) Tous les Frères extrêmement touchés et attendris tombèrent à genoux et éclatèrent de nouveau en sanglots. Le bon Père, ne pouvant lui-même retenir ses larmes à la vue de la douleur de ses Frères, se retira dans sa chambre, où il continua à prier. Je n’oublierai jamais cette scène attendrissante. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 542)

Tuve la dicha de estar presente cuando el Siervo de Dios recibió la Extrema Unción. Recuerdo la emoción general que se produjo en la sala de ejercicios de la comunidad, donde se le llevó para la solemne ceremonia. Como yo no lo había yo visto desde hacia varios días, me impresionó de tal manera ver así al buen Padre que no pude contener mis lágrimas. Lo mismo les sucedió a los demás Hermanos, rompieron en sollozos al ver el estado de debilidad y sufrimiento de nuestro muy amado Padre. Viéndonos a todos reunidos a su alrededor, el Siervo de Dios nos dirigió sus últimas y conmovedoras recomendaciones (...) Todos los Hermanos, muy conmovidos y enternecidos, cayeron de rodillas, y estallaron de nuevo en sollozos. El buen Padre, no pudiendo él mismo contener sus lágrimas al contemplar el dolor de los Hermanos, se retiró a su cuarto, donde continuó en oración. Jamás olvidaré esta conmovedora escena. (F. JEAN CLAUDE, SUMM 542)

Quand il venait le soir, il arrivait souvent qu’il était tout déchirer, tout couvert de sueurs et de poussière. Il n’était jamais plus content que quand il avait beaucoup travailler et beaucoup souffert. Je l’ai vu plusieurs fois travaillé avec un temps de pluies et de neiges. Nous autres, nous quittions l’ouvrage, mais lui continuait de travailler, et souvent la tête nue malgré la rigueur du temps. Le temps qui n’était pas employé aux travail des mains était employé à la prière ou à la méditation. (F. LAURENT, OM 756)

Cuando regresaba al anochecer, sucedía a menudo que se presentaba todo desgarrado y enteramente cubierto de sudores y polvo. No se le veía nunca tan contento como cuando había trabajado y padecido mucho. Me tocó verlo varias veces trabajar con un tiempo de lluvias y de nieves. Nosotros dejábamos el tajo, pero él permanecía ahí, y con frecuencia con la cabeza descubierta a pesar de la inclemencia del tiempo. El tiempo que no se dedicaba al trabajo manual, se empleaba en la oración o en la meditación.(F. LAURENT, OM 756)

Il nous parlait souvent du soins que la divine Providence prends de ceux qui mettent leur confiance en elle, et surtout à notre égard; mais quand il nous parlait de la bonté de Dieu et de son amour pour nous, il nous faisait passer dans nous ce feu divin dont il était rempli, que les peines et les travaux et les misères de la vie n’auraient pas été capables de nous ébranlés. (F. LAURENT, OM 756)

Nos hablaba a menudo del cuidado que la divina Providencia tiene de aquellos que confían en ella, y en particular por lo que se refiere a nosotros. Y cuando nos hablaba de la bondad de Dios y de su amor por nosotros, nos comunicaba ese fuego divino del cual él estaba lleno, y en tal medida y fuerza que las penas y los trabajos de la vida, con todas sus miserias, no hubieran sido capaces de desquiciarnos. (F. LAURENT, OM 756)

Il a beaucoup eu à souffrir de tant de différents caractères et de certains esprits bizarres qui étaient très difficiles à conduire. Ils étaient sûrs d’avoir une bonne part à ses prières; mais, si après avoir épuisé tous les moyens pour les gagner à Dieu, ils étaient incorrigibles, oh!, alors il fallait passer la porte. (F. LAURENT, OM 756)

Tuvo mucho que sufrir a causa de caracteres tan diversos y de ciertos espíritus bizarros, muy difíciles de dirigir. Todos ellos podrían estar seguros de tener una buena parte en sus oraciones, pero si después de haber agotado todos los medios para ganarlos a Dios, seguían incorregibles, ¡Oh!, entonces era necesario cruzar la puerta de salida. (F. LAURENT, OM 756)

Que de fois j’ai entendu le Serviteur de Dieu recommander la pratique de la présence de Dieu. (F. MARIE LIN, SUMM 249)

Muchas veces oí al Siervo de Dios recomendar la práctica de la presencia de Dios. (F.MARIE LIN, SUMM 249)

Je suis témoin que le P. Champagnat recommandait beaucoup l’exercice de la présence de Dieu. (F. MARIE JUBIN, SUMM 143)

Soy testigo de que el Padre Champagnat recomendaba mucho la práctica de la presencia de Dios. (F. MARIE JUBIN, SUMM 143)

Je n’ai jamais vu dire la messe, vu faire les cérémonies religieuses avec autant de piété, de dignité ou de respect que le P. Champagnat en apportait dans toutes ses fonctions sacerdotales. Toute sa personne exprimait alors quelque chose d’indéfinissable qui faisait toujours une profonde impression. (F. MARIE JUBIN, SUMM 143)

Jamás he visto celebrar la Misa ni realizar las ceremonias religiosas con tanta piedad, dignidad y respetuosa atención como las que el P. Champagnat ponía en todas sus funciones sacerdotales. Toda su persona expresaba en ellas algo de indefinible, que producía siempre una honda impresión. (F. MARIE JUBIN, SUMM 143)

Il me suffisait de le voir à l’autel, avec sa figure rayonnante, sur laquelle se peignait sa foi, pour être porté à entendre comme il faut la Sainte Messe. J’ai eu l’avantage de servir sa Messe pendant deux mois (...) j’éprouvais un grand bonheur et un grand honneur de le servir à l’autel, et je ne peux pas traduire l’émotion que j’éprouvais en le contemplant à l’autel. Les instructions que je lui ai entendu faire sur ce sujet, pendant les retraites, étaient simples, mais exprimées avec tant de force et de clarté, que chacun disait: “Il n’y a qu’un saint qui puisse parler de la sorte”. (F. RAPHAEL, SUMM 249)

Me bastaba verlo en el altar, con su expresión radiante, para adivinar su gran fe y sentirme impulsado a participar con gusto en la Santa Misa. Tuve la oportunidad de ayudarle en las Eucaristías, durante dos meses (...) Me sentí muy dichoso y honrado al poder servir en el altar y me siento incapaz de expresar la emoción que me invadía cuando lo contemplaba ofreciendo el divino Sacrificio. Las pláticas que nos dirigía sobre la Eucaristía en los retiros eras sencillas, pero pronunciadas con tanta unción y claridad que nos brotaba espontáneo el comentario: “¡Sólo un santo puede hablarnos así!” (F. RAPHAEL, SUMM 249)

Dans ses instructions, il revenait souvent sur le thème de Marie; et je ne me laissais pas de l’entendre. Il nous recommandait d’une manière toute particulière de nous adresser souvent a Elle, surtout dans les moments de découragement, nous assurant par l’expérience qu’il en avait faite, que nous obtiendrions tout ce que nous lui demanderions. (F. RAPHAEL, SUMM 250)

En sus instrucciones, insistía con cariño en el tema de la Sma. Virgen; no nos cansábamos de escucharlo. Nos recomendaba muy especialmente que nos dirigiéramos a Ella, ante todo en los momentos de desaliento, asegurándonos por experiencia propia que obtendremos todo lo que pidamos. (F. RAPHAEL, SUMM 250)

Il m’arrivais quelquefois de le surprendre en adoration devant le St. Sacrement; sa tenue était parfaite (...) Je ne pouvais pas me lasser de le considérer et j’emportais d’excellentes impressions que je n’ai pas oubliées. (F. RAPHAEL, SUMM 312)

Me tocó algunas veces encontrarlo en adoración ante el Santísimo Sacramento. Su actitud era perfecta (...) No me saciaba de contemplarlo, y las magníficas impresiones que recibí de él no se me olvidará jamás. (F. RAPHAEL, SUMM 312)

Le Père insistait beaucoup auprès de nous sur la présence de Dieu, et nous la rappelait chaque jour, ainsi que l’humilité. (F. THEODOSE, SUMM 93)

El Padre nos insistía mucho sobre la presencia de Dios. Nos la recordaba cada día, lo mismo que la humildad. (F. THEODOSE, SUMM 93)

J’ai toujours gardé le souvenir du ton qu’il mettait dans la récitation des prières, et surtout dans le chant de la préface à la Sainte Messe. (F. THEODOSE, SUMM 195)

Recuerdo siempre con agrado el tono de voz que empleaba en la recitación de las oraciones, y sobre todo, en el canto del prefacio durante la Santa Misa. (F. THEODOSE, SUMM 195)

Il m’a toujours paru comme un homme véritablement animé de l’esprit de Dieu; sa piété était solide et éclairée; il joignait à un jugement sain et une force d’âme qui le faisait triompher de tous les obstacles; il allait droit à son but. Point d’écart de zèle. Il était profondément pieux; mais il ne pouvait souffrir cette piété outrée et mal entendue. (F. THEODOSE, SUMM 355)

Me pareció siempre ser un hombre verdaderamente animado por el Espíritu de Dios. Su piedad era sólida y lúcida. Al juicio recto, juntaba entereza de ánimo, lo que lo hacía superar todas las dificultades. Iba directo a su objetivo, sin desviaciones. Era hondamente piadoso; pero no podía tolerar una piedad exagerada y mal entendida. (F. THEODOSE, SUMM 355)

De tous les prêtres que j’ai vus à l’autel (je suis dans ma 76ème année) , aucun ne m’a laissé le souvenir d’une foi plus vive et d’un amour plus ardent. (P. PIERRE L. MALAURE, SUMM 180)

De cuantos sacerdotes he visto en el altar (tengo 75 años) , ninguno me ha dejado la impresión de fe más viva y de amor más fervoroso. (P. PIERRE L. MALAURE, SUMM 180)

Les fréquentes et longues prières auxquelles présidait M. Champagnat et auxquelles il m’a été donné d’assister dans la vieille chapelle de l’Hermitage, témoignent assez haut que le Fondateur des Frères Maristes était pieux. (P. PIERRE L. MALAURE, SUMM 181 )

Las frecuentes y largas oraciones presididas por el P. Champagnat, a la cuales me fue concedido asistir en la antigua capilla del Hermitage, manifiestan muy claramente que el Fundador de los Hermanos Maristas era piadoso. (P. PIERRE L. MALAURE, SUMM 181)

Je puis encore ajouter que, dans les difficultés que mon oncle eut pour bâtir son église, il se fortifiait en pensant au difficultés que le P. Champagnat eut lui-même dans l’établissement de son oeuvre et il me disait: “Quant tu auras des difficultés, va devant le Saint Sacrement, fais comme le Père Champagnat”. (M. Mathieu BEDOIN, SUMM 419)

Puedo añadir que en las dificultades que mi tío experimentó en la construcción de la iglesia, se reconfortaba al pensar en las dificultades que el P. Champagnat había tenido en la fundación de su Obra, y me decía: “Cuando tengas dificultades, póstrate ante el Santísimo Sacramento, haz como el Padre Champagnat”. (Pbro. Mateo BEDOIN, SUMM 419)

Le Père Champagnat était bien pieux, il avait une grande dévotion à la Sainte Vierge. On le voyait souvent, dans les chemins, son chapelet à la main. (M. Claude Marie LYONNET, SUMM 256)

El Padre Champagnat era muy piadoso, tenía una gran devoción a la Sma. Virgen. Se le veía a menudo, por los caminos, con el rosario en la mano. (Sr. Claudio María LYONNET, SUMM 256)

J’ai été frappé de sa grande piété et de son grand amour de Dieu, quand il officiait. Et j’en ai conservé le plus vif souvenir. Ce qui me frappait surtout, c’était le ton pénétré avec lequel il chant ait la préface. On sortait toujours de cette Chapelle plus impressionné et édifié, que si on avait entendu un sermon bien éloquent sur l’amour de Dieu. (M. Pierre Marie PASCAL, SUMM 314)

Me ha impresionado profundamente su grande piedad y su gran amor a Dios cuando celebraba la Santa Misa. De ello guardo el más vivo de los recuerdos. Lo que me llamaba especialmente la atención era el tono firme con el que cantaba el prefacio. Salía uno siempre de esa capilla más conmovido y edificado que si hubiera escuchado el más elocuente sermón sobre el amor de Dios. (Sr. Pedro María PASCAL, SUMM 314)

[14] Mais, en arrivant à l’Hermitage, il trouva M. Champagnat moins enchanté que lui, et un peu étonné de ce qu’on lui amenait un sujet sans sa coopération. “Le connaissez vous bien, ce sujet?”, dit M. Champagnat. M. Séon eut encore le chagrin de penser que M. Champagnat peut-être le refuserait. Il fallait que tous les pas que faisait cette pauvre petite Société de Marie fussent faits au milieu des épines et, quand les croix du dehors manquaient, c’étaient les membres eux-mêmes qui en fournissaient à leurs frères. Providence de Dieu! Dieu voulait revendiquer pour lui seul la gloire d’avoir tout fait. (P. SEON, OM 625)

[14] Pero, al llegar al Hermitage, encontró al P. Champagnat menos optimista que él; y un poco extrañado de que le consiguieran aspirantes sin su colaboración. “Conoce Ud. bien a este candidato?”, preguntó el Padre Champagant. El P. Séon tuvo el pesar de pensar que el P. Champagnat lo rechazaría. Era necesario que esta pequeña Sociedad de María fuera caminando paso a paso, entre espinas. Cuando las cruces del exterior le faltaban, eran los propios miembros de la Sociedad quienes se las suministraban. ¡Providencia de Dios! Dios quería reivindicar para él solo toda la gloria de lo realizado.(P. SEON, OM 625)

(1) Un Curé du diocèse de Lyon, condisciples de grand séminaire du P. Champagnat, disait 25 ans environ après les commencements des Frères, dans son étonnement: “Dieu l’a choisi et lui a dit: ‘Champagnat, fais cela’; et Champagnat l’a fait...” Il ne pouvait pas expliquer autrement ce succès étonnant. (P. TERRAILLON, OM 701)

(1)  Un Párroco de la diócesis de Lyon, condiscípulo en el Seminario Mayor del P. Champagnat, decía, a unos 25 años de distancia de la fundación de los Hermanos, lleno de asombro: “Dios lo escogió y le dijo: ‘Champagnat, haz esto’; y Champagnat lo hizo...” No podía explicar de otra manera un éxito tan asombroso. (P. TERRAILLON, OM 701)

(PS 001, 23-25, Lettre à GRANJON JEAN MARIE, FRERE, 1823-12-01): Prions le Bon Dieu qu'il nous fasse connaître sa sainte volonté; et disons nous toujours ses serviteurs inutiles.

(PS 001, 23-25, Carta a GRANJON JUAN MARIA, HERMANO, 1823-12-01): Roguemos a Dios para que comprendamos cuál es su voluntad; y digámonos siempre sus siervos inútiles.

(PS 003, 26-30, Lettre à GARDETTE PHILIBERT, PRETRE, 1827-05): Je finis en vous priant de ne me point oublier dans vos bonnes prières; car je vois plus que jamais la vérité de ce que dit le roi prophète:Nisi Dominus edificaverit domum in vanum laboraverunt qui ...etc.

(PS 003, 26-30, Carta a GARDETTE FILIBERTO, SACERDOTE, 1827-05): Termino rogándole que no me olvide en sus oraciones, pues veo más que nunca la verdad de lo que dice el profeta-rey: Nisi Dominus aedificaverit domum, in vanum laboreverunt qui...etc.

(PS 004, 05-10, Lettre à CATTET SIMON, VICAIRE GENERAL, 1827-05): Tous ces contretemps m'afflige, à la vérité, mais ne m'étonnent pas, car je pensais et le disais même que nous n'étions pas au bout des épreuves. Je suis même comme certain que la divine Providence m'en ménage encore. Mais, j'ose le dire, pourvu que Dieu ne m'abandonne pas, que son saint Nom soit béni, je ne crainds rien.

(PS 004, 05-10, Carta a CATTET SIMON, VICARIO GENERAL, 1827-05): Todos estos contratiempos me afligen de verdad, pero no me sorprenden, pues hasta pensaba y decía que no estábamos al fin de las pruebas. Estoy incluso seguro de que la Divina Providencia me prepara todavía algunas. Pero, me atrevo a decirlo, con tal que Dios no me abandone, bendito sea su santo nombre, yo nada temo.

(PS 004, 17-19, Lettre à CATTET SIMON, VICAIRE GENERAL, 1827-05): Son St Nom soit béni. Je désire plus que jamais d'accomplir sa Ste Volonté aussitôt que je pourrai la connoître.

(PS 004, 17-19, Carta a CATTET SIMON, VICARIO GENERAL, 1827-05): Bendito sea su santo nombre. Yo deseo más que nunca cumplir su Santa Voluntad en cuanto pueda conocerla.

(PS 006, 12-14, Lettre à DE PINS GASTON, ADMINISTRATEUR AP, 1827-05): Dieu veut cette oeuvre en ces temps pervers; c'est là toujours ma ferme croyance; mais hélas! il veut peut-être d'autres hommes pour l'établir. Son st. Nom soit béni.

(PS 006, 12-14, Carta a DE PINS GASTON, ADMINISTRADOR AP. 1827-05): Dios quiere esta obra en estos tiempos perversos; en eso está siempre mi firme creencia, pero !ay¡ quiere quizá otros hombres para establecerla. Bendito sea su Santo Nombre.

(PS 007, 12-18, Lettre à BAROU JEAN JOSEPH, VICAIRE GENERAL, 1827-05): Le saint nom de Dieu soit béni. J'ai toujours une ferme croyance que Dieu veut cette oeuvre; mais hélas! il veut peut être d'autres hommes pour l'établir. La trop funeste affaire de celui qui en paraissait être le chef est un des plus terribles efforts que l'enfer ait jamais enfanté pour renverser une oeuvre qu'il prévoyait devoir lui faire du mal.

(PS 007, 12-18, Carta a BAROU JUAN JOSE, VICARIO GENERAL, 1827-05): Bendito sea el Nombre de Dios. Tengo siempre una firme creencia en que Dios quiere esta obra pero !ay¡ quiere quizá otros hombres para llevarla a cabo. El muy funesto asunto de quien parecía ser el jefe, es uno de los más terribles efectos que el infierno haya engendrado para derrumbar una obra que preveía debía hacerle mucho mal.

(PS 007, 19-20, Lettre à BAROU JEAN JOSEPH, VICAIRE GENERAL, 1827-05): En peu de mots, voici ma position; et selon que vous le trouverez bon pour la plus grande gloire de Dieu, vous agirez.

(PS 007, 19-20, Carta a BAROU JUAN JOSE, VICARIO GENERAL, 1827-05): En pocas palabras, he aquí mi situación; actúe según le parezca mejor para la gloria de Dios.

(PS 010, 05-14, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1828): Monseigneur l'Administrateur part pour Paris, et en s'occupant des affaires de l'Eglise Gallicane, il prendra nos intérêts auprès du Roi. L'attention et le zéle qu'il a pour notre établissement doivent exciter notre gratitude et notre reconnaissance envers ce bon Père: nous ferons donc des supplications, des prières, des voeux et des actions de grâces pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille dans la piété et dans toute la pureté des moeurs; car cela est agreáble à Dieu (...).

(PS 010, 05-14, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1828):Monseñor el Administrador sale para París y al ocuparse de los asuntos de la Iglesia Galicana, se ocupará de nuestros intereses cerca del Rey. El cuidado y el celo que muestra hacia nuestra institución debe mover nuestra gratitud y nuestro reconocimiento hacia el buen Padre. Haremos, pues, súplicas, oraciones, votos y acciones de gracias por todos los hombres, por los reyes y por todos los que están constituidos en dignidad, a fin de que llevemos una vida apacible y tranquila en la piedad y en toda pureza de costumbres, pues eso es agradable a Dios, que quiere que todos los hombres se

(PS 010, 15-24, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1828-01): Notre lettre reçue, on récitera pendant neuf jours consécutifs les litanies de la Ste. Vierge avec les enfants, à la fin de classe du matin, ou à la visite du Très Saint Sacrement, pour demander un heureux voyage pour Monseigneur et pour ceux qui l'accompagnent.

(PS 010, 15-24, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1828-01): Una vez recibida mi carta, se rezarán durante nueve días consecutivos las letanías de la Santísima Virgen con los niños al fin de las clases de la mañana o en la visita al Santísimo Sacramento, para pedir un feliz viaje par Monseñor y para quienes lo acompañan.

(PS 014, 20-24, Lettre à BARTHELEMY, FRERE, 1830-01-21): Que la Ste. Vierge les aime aussi, parce qu'elle est la Mère de tous les enfants qui sont dans nos écoles. Dites leur aussi que je les aime bien moi-même, que je ne monte pas une fois au st. autel sans penser à vous et à vos chers enfants.

(PS 014, 20-24, Carta a BARTOLOME, HERMANO, 1830-01-21): Que la Santísima Virgen les ama también, porque es la Madre de todos los niños, que están entre nuestras escuelas. Díganles también que yo mismo les quiero niños. Que no subo ni una vez al altar sin pensar en ustedes y en sus queridos niños.

(PS 014, 27-30, Lettre à BARTHELEMY, FRERE, 1830-01-21): Tous les autres établissements vont à peu près. Priez pous moi et pour toute la maison. J'ai l'honneur d'être votre tout devoué p re en Jésus et Marie.

(PS 014, 27-30, Carta a BARTOLOME, HERMANO, 1830-01-21): Todo los demás establecimientos van más o menos. Rogad por mí y por toda la casa. Tengo el honor de ser su muy afectuoso padre en Jesús y María.

(PS 016, 13-16, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1830-08-15): Je vous laisse dans les Sacrés Coeurs de Jésus et de Marie. Nous ne vous oublions pas dans nos prières. Priez aussi pour nous J'ai l'honneur d'être votre tout devoué p re en J et M.

(PS 016, 13-16, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1830-08-15): Los dejo en los corazones de Jesús y de María. No los olvido en mis oraciones. Recen también por mí. Tengo el honor de ser vuestro afectuoso padre en Jesús y María.

(PS 017, 05-11, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1830-11-10): Les circonstances présentes ne permettent pas cette année que nous nous réunissions à a la Maison Mère pour y prendre ensemble nos vacances et y faire une retraite. Dieu, nous l'esperons, vous y pourverra. Vous pouvez, en conséquence, après vous être entendu avec M. le Curé, prendre une quinzaine pendant laquelle vous ferez votre retraite sous la sage direction de M.le Curé.

(PS 017, 05-11, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1830-11-10): Las actuales circunstancias no permiten que nos reunamos este año en la casa madre para tomar juntos nuestras vacaciones y hacer el retiro. Dios, esperamos, lo protegerá. Puede usted, por lo tanto, después de haberse entendido con el señor cura, tomar una quincena durante la cual haga el retiro bajo la sabia dirección del señor cura.

(PS 017, 24-26, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1830-09-10): Dites au Frère Dominique que je l'aime bien et que je prie pour tous les deux. J'espère que vous ne m'oublierez dans vos bonnes pri res.

(PS 017, 24-26, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1830-09-10): Diga al H. Dominique que le amo mucho y que ruego por los dos. Espero que no me olvidarán en sus buenas oraciones.

(PS 019, 30-33, Lettre à BARTHELEMY, FRERE, 1831-01-03): Vos parents se portent bien. Votre Frère qui était à l'armée, était mort à Paris d'un grand mal de tête. Priez pour lui, les regrets ne lui peuvent être d'aucune utilité; il n'a besoin que de pri res.

(PS 019, 30-33, Carta a BARTOLOME, HERMANO, 1831-01-03): Sus padres están bien. Su hermano, que estaba en el ejército, murió en París de un gran dolor de cabeza. Ruegue por él; los pesares no son de utilidad alguna, sólo necesita oraciones.

(PS 019, 34-37, Lettre à BARTHELEMY, FRERE, 1831-01-03): J'aurais encore bien des choses à vous dire; j'espère que dans peu je vous les dirai de vive voix. Je vous laisse tous les deux dans les Sacrés Coeurs de Jésus et de Marie, ce sont si bonnes places!.

(PS 019, 34-37, Carta a BARTOLOME, HERMANO, 1831-01-03): Muchas cosas tendría todavía que decirle; espero poder decírselas de viva voz dentro de poco. Los dejo a los dos en los corazones de Jesús y de María; ¡son tan buenos hogares! Tengo el honor de ser vuestro afectuoso padre en Jesús.

(PS 020, 22-26, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1831-02-04): Intéressez la (Marie) en votre faveur; dites lui qu'àprès que vous aurez fait votre possible, tant pis pour elle si ses affaires ne vont pas. Re- commandez lui fortement vos enfants. Faites une petite neuvaine avec vos enfantsen son honneur: la petite prière "Souvenez vous".

(PS 020, 22-26, Carta a ANTONIO Y GONZAGA, HERMANO, 1831-02-04): Interesen a María en favor nuestro, díganle que después que han hecho todo lo posible, peor para ella si las cosas no van como es debido. Recomiéndenle mucho a sus niños. Háganle una corta novena con los niños en su honor, la breve oración del "Acordaos".

(PS 020, 32-33, Lettre à ANTOINE ET GONZAGUE, FRERES, 1831-02-04): Je ne vous oublie pas dans mes prières et me recommende aux vôtres.

(PS 020, 32-33, Carta a ANTONIO Y GONZAGA, HERMANO, 1831-02-04): No los olvido en mis oraciones y me encomiendo a las de ustedes. Tengo el honor de ser su muy afectuoso padre en Jesús y María.

(PS 024, 36-40, Lettre à BARTHELEMY, FRERE, 1831-11-01): Faites avec votre petit nombre d'enfants une petite neuvaine en l'honneur de la Sainte Vierge: cinq Pater et [...] Nous allons à l'Hermitage en commencer une aujourd'hui pour la même raison, c'est-à-dire pour le succès de tous les établissements de la Société.

(PS 024, 36-40, Carta a BARTOLOME, HERMANO, 1831-11-01): Hagan con su pequeño número de niños una breve novena en honor de la Santísima Virgen: M Pater y (...). En el Hermitage vamos a empezar hoy una con el mismo motivo, es decir, para el éxito de todos los establecimientos de la Sociedad.

(PS 029, 09-14, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1833-08-10): 2º Nous désirons que tous arrivent le lundi pour le plus tard. 3º Nous nous proposons de partir, sous peu, pour Rome; il faut que toute la société contribue au bon succès par la prière et un redoublement de ferveur. On récitera jusqu'au retour de ceux qui vont auprès de Sa Sainteté: 1º l'ave Maris Stella; 2º le Veni sancte, et l'oraison.

(PS 029, 09-14, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1833-08-10): 2.- Deseamos que todos lleguen el lunes, lo más tarde. 3.- Nos proponemos salir dentro de poco para Roma: es preciso que toda la Sociedad contribuya al buen éxito con la oración y un redoblamiento del fervor. Se rezará hasta la vuelta de quienes van cerca de Su Santidad: 1o. El Ave, Maris Stella. 2o. El Veni, Sancte y la oración.

(PS 031, 10-14, Lettre à ALPHONSE, FRERE, 1833-11-03): Formez les enfants qui vous seront confiés à toutes les vertus chrétiennes. Priez pour eux, car avec le secours de Dieu ils pourront surmonter toutes les difficultés qu'on peut rencontrer dans la vie. L'obéissance est sur- tout la vertu qui doivent pratiquer.

(PS 031, 10-14, Carta a ALFONSO, HERMANO, 1833-11-03): Forme a los niños que le serán confiados en todas las virtudes cristianas. Ruegue por ellos, pues con la ayuda de Dios podrán sobrellevar todas las dificultades que se pueden encontrar en la vida. La obediencia es sobre todo la virtud que deben practicar.

(PS 032, 13-14, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1833-11-10): A Dieu, mon cher ami priez pour moi, j'ai bien des ennuis. Tout va cependant,.

(PS 032, 13-14, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1833-11-10): Adiós, mi querido amigo, ruegue por mí, tengo muchas preocupaciones. No obstante todo sigue adelante.

(PS 045B,108-114, Lettre à CHOLLETON JEAN, VICAIRE GENERAL, 1834-09-08): Vous le savez mieux que moi, le poisson ne peut vivre long temps hors de l'eau. Il n'y a que la retraite et la méditation des grandes vérités que puissent maintenir l'esprit religieux.

(PS 045B,108-114, Carta a CHOLLETON JUAN, VICARIO GENERAL, 1834-09-08): Usted lo sabe mejor que yo: el pez no puede vivir mucho tiempo fuera del agua; sólo el retiro y las grandes verdades meditadas pueden mantener el espíritu religioso.

(PS 055, 63-70, Lettre à COLIN JEAN CLAUDE, SUPÉRIEUR SM, 1835-03-29): 15ºA t'il bonne vue? A t'il une bonne réputation? 16ºEst il instruit? Quel moyens a t'il pour l'exempter du service militaire? 17ºDepuis sa première communion, a t'il continué à frequenter les sacrements? 18º Qui lui a conseillé de se faire religieux? y a t'il long temps qu'il y pense? a t'il consulté le bon Dieu, son conffesseur? enfin quelle est la raison qui lui fait quitter le monde?.

(PS 055, 63-70, Carta a COLIN JUAN CLAUDIO, SUPERIOR SM, 1835-03-29): 15.- ¿Tiene buena vista? ¿Tiene buena reputación? 16.- ¿Está instruido? ¿Qué motivos tiene para eximirlo del servicio militar? 17.- Después de su primera comunión ¿ha continuado frecuentando los sacramentos? 18.- ¿Quién le aconsejó hacerse religioso? ¿Hace tiempo que piensa en ello? ¿Lo ha consultado con Dios? ¿Con su confesor? En fin ¿qué razón tiene para abandonar el mundo?

(PS 055, 94-96, Lettre à COLIN JEAN CLAUDE, SUPÉRIEUR SM, 1835-03-29): Le frere Antelme paroit de plus en plus prendre une bonne tournure, Dieu en soit beni. J'attends toujours vos ordres pour vous envoyer frere Joseph Eujenne.

(PS 055, 94-96, Carta a COLIN JUAN CLAUDIO, SUPERIOR SM, 1835-03-29): El H. Antelme parece que toma cada vez mejor aspecto. Bendito sea Dios. Espero siempre sus órdenes para enviarlo al H. Eugenne.

(PS 059, 11-16, Lettre à MARIE-AMELIE, REINE, 1835-05): Votre haute dévotion à Marie, le royale dévouement de vos ancêtres à la Mère de Dieu, le commencement de ce mois consacré à l'honnorer, tout cela me remplit d'une grande confiance. Tous nos Frères s'uniront à moi pendant ce mois pour la réussite de cette affaire et pour la prospérité de votre maison.

(PS 059, 11-16, Carta a MARIA AMELIA, REINA, 1835-05): Su gran devoción a María, el real afecto de sus antepasados hacia la madre de Dios, el comienzo de este mes consagrado a honrarla, todo esto me llena de gran confianza. Todos nuestros Hermanos se unirán a mí durante este mes para el éxito de este asunto y para la prosperidad de su casa.

(PS 062, 03-05, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1835-08-24): Je puis en cette occasion vous adresser les paroles de notre divin Sauveur lorsqu'il dit à ses disciples: Venez prendre un peu de repos en quelque lieux retirés (Marc chap. 6, v. 31).

(PS 062, 03-05, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1835-08-24): Puedo en esta ocasión dirigiros las palabras de nuestro divino Salvador cuando dijo a sus discípulos: "Vengan a descansar un poco a un lugar retirado" (Mc, 6, 31).

(PS 062, 06-13, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1835-08-24): Venez vous délasser et réparer vos forces dans un lieu de paix, de silence et de recueillement avec les mêmes dispositions où étaient les Apôtres dans le cénacle; et comme la multitude des premiers chrétiens n'étaient qu'un coeur et qu'une âme, nous nous efforcerons de retracer dans notre conduite les vertus dont ils nous ont donné de si beaux exemples. Mais afin que ce concours général au bon ordre ne soit interrompu par aucune cause, il est à propos d'accomplir ce qui est ci-dessous.

(PS 062, 06-13, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1835-08-24): Venid a descansar y a reparar vuestras fuerzas en un lugar de paz, de silencio y de recogimiento con las mismas disposiciones que tenían los Apóstoles en el Cenáculo y como la multitud de los primeros cristianos que no tenían más que un corazón y un alma, nos esforzamos en reflejar en nuestra conducta las virtudes de las que nos han dado tan bellos ejemplos. Pero a fin de este concurso general al buen orden no sea interrumpido por ninguna causa, es conveniente cumplir lo que a continuación se expresa:

(PS 063, 31-36, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1836-01-19): Nous désirons et nous souhaitons qu'à l'exemple de Jésus-Christ, notre divin modèle, vous ayez une tendre affection pour les enfants. Rompez leuravec un saint zèle le pain spirituel de la religion. Faites tous vos efforts pour les former à la piété et pour graver dans leur jeune coeur des sentiments de religion qui ne s'en effacent jamais.

(PS 063, 31-36, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1836-01-19): Les deseamos y esperamos que a ejemplo de Jesús, nuestro querido modelo, tengan un tierno cariño hacia los niños. Repítanles con santo celo el pan espiritual de la religión. Esfuércense en formarlos en la piedad y en grabar en su joven corazón sentimientos de religión que jamás se borren.

(PS 065, 24-31, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1836-05-08): Les demandes qui nous sont adressées de vos pays seraient plutôt et plus facilement remplies, et, sous votre inspection, ne pourraient que prosperer. Ainsi la Voulte, Mondragon, Laries (sic), Mèze, etc. qui nous adressent de pressentes demandes, seraient vite pourvus. En tout cela que la sainte volonté de Dieu soit faite. Nous ne voudrions, dans cette union qui me parait faisable, que procurer la gloire de Dieu et étendre la bonne instruction.

(PS 065, 24-31, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1836-05-08): Las solicitudes que se nos dirigen de su zona estarían antes y más fácilmente cumplidos y bajo su inspección no haríamos sino prosperar. Así La Voulte, Mondragon, Laries, Mèze, etc. que nos solicitan apremiantemente ayuda, estarían pronto provistos. En todo ello que se cumpla la santa voluntad de Dios. No quisiera en esta unión, que me parece factible, más que procurar la gloria de Dios y la extensión de la buena instrucción.

(PS 067, 13-17, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1836-08-28): Que nous avons besoin du service des prières de toute la maison! Je crains bien que nous n'obtenions rien, le ministère était changé. Le nouveau, nous sera-t-il favorable? Je n'en sais rien Mgr. Pompallier espère avoir une entrevue avec le roi et la reine S'il peut, il parlera au roi de notre affaire.

(PS 067, 13-17, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1836-08-28): ¡Cuánta necesidad tenemos de las oraciones de toda la casa! Temo mucho que no obtengamos nada. Han cambiado al ministro. El nuevo ¿nos será favorable? No sé nada. Monseñor Pompallier espera tener una entrevista con el Rey y la Reina. Si puede, hablará al Rey de nuestro asunto.

(PS 070A, 103-106, Lettre à DOUILLET FERREOL, PRETRE, 1836-10): Je suis bien faché de vous avoir causé des ennuis. J'en ai bien ma bonne part. Dieu en soit béni.

(PS 070A, 103-106, Carta a DOUILLET FERREOL, SACERDOTE, 1836-10): Estoy pesaroso de haberle causado molestias. También yo tengo mi buen lote de ellas. Bendito sea Dios.

(PS 070A, 110, Lettre à DOUILLET FERREOL, PRETRE, 1836-10): P.S. Priez pour moi..

(PS 070A, 110, Carta a DOUILLET FERREOL, SACERDOTE, 1836-10): P.S. Ruegue por mí..

(PS 072, 18-21, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1836-11-04): Nous continuons à recevoir beaucoup de sujets. Nous ne voulions faire aucune nouvelle maison cette année et voilà cinq nouveaux établissements qu'on nous arrache, encore nous laissons bien des mécontants, Dieu en soit mille et mille fois béni.

(PS 072, 18-21, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1836-11-04): Continuamos recibiendo muchos aspirantes. No queremos ninguna nueva casa este año y tenemos que abrir otros cinco establecimientos y aun dejando a muchos descontentos. Dios sea mil y mil veces bendito.

(PS 072, 22, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1836-11-04): Je compte beaucoup sur vos bonnes prières..

(PS 072, 22, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1836-11-04): Cuento mucho con sus fervientes oraciones..

(PS 073B, 29-33, Lettre à PREYNAT JEAN FRANÇOIS, MAIRE, 1836-12-03): [Vous le savez, mon Dieu, quand je vous... Vous le sav... Vous le savez, mon dieu Vous le sav Marie Vous le save.].

(PS 073B, 29-33, Carta a PREYNAT JUAN FRANCISCO, ALCALDE, 1836-12-03): Tú lo sabes, Dios mío, cuando yo... Tú lo sabes... Tú lo sabes, Dios mío. Tú lo sabes, María, tú lo sabes...

(PS 077, 02-07, Lettre à FREDET HIPPOLYTE, LAIQUE, 1836): Vous m'apprenez par une lettre en date du 25 juillet qu'il paroit que les eaux d'Aix-les-Bains vous auront été plus salutaire que l'année passé. J'en bénis et bénirai le souverain Maître. Je viens de recevoir une lettre que vous avez bien voulu m'apporter et me trasmettre; permettez encore une fois que je vous en marque ma reconnoissance par écrit.

(PS 077, 02-07, Carta a FREDET HIPOLITO, SEGLAR, 1836): Me da usted a conocer en carta fecha de el 25 de julio que, al parecer, las aguas de Aix-les-Bains le han sido más saludables que las del pasado año. Bendigo y bendeciré por ello al soberano Maestro. Acabo de recibir una carta que usted ha tenido a bien enviarme. Permítame una vez más que le manifiesta mi agradecimiento por escrito.

(PS 079, 17-23, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1837-01-01): Pour moi, mes bien chers, mes bien aimés, je conjure notre divin maître chaque jour que je monte au s(ain)t autel, qu'il veuille faire pleuvoir sur vous ses grâces et ses plus abondantes bénédictions, qu'il vous aide à fuir le péché, comme le seul mal à craindre, qu'il vous applanisse le chemin des vertus propres aux religieux, surtout propres aux enfans de Marie.

(PS 079, 17-23, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1837-01-01): En cuanto a mí, mis muy queridos, mis muy amados, conjuro a nuestro Divino Maestro cada vez que subo al santo altar que se sirva hacer llover sobre ustedes sus gracias y sus más abundantes bendiciones, que os ayude a huir del pecado como del único mal que temer, que os allane el camino de las virtudes propias de los religiosos y en especial las propias de los Hermanitos de María.

(PS 088, 02-10, Lettre à ROBICHON JOSEPH MICHEL, LAIQUE, 1837-01): La charité que vous exercez à notre égard en nous faisant cadeau d'une caisse de verre, comme nous l'a annoncé Mr. Terraillon, votre digne curé, mérite bien que nous vous en témoignions notre reconnaissance et par écrit et de vive voix. Nous conjurons le Seigneur qu'il veuille bien répandre sur toute votre maison et sur votre commerce ses plus abondantes bénédictions. La caisse ne nous est point encore parvenue, voudriez-vous bien avoir la complaisance de nous dire par quelle voie et à quelle adresse vous nous l'avez envoyée.

(PS 088, 02-10, Carta a ROBICHON JOSE MIGUEL, SEGLAR, 1837-01): La caridad que usted ejerce con nosotros haciéndonos obsequio de una caja de cristal [vidriera ?], como nos anunció el Sr Terraillon, vuestro digno sacerdote, merece bien que le manifestemos nuestro agradecimiento por escrito y de viva voz Pedimos al Señor se sirva extender sobre toda vuestra familia y vuestro establecimiento comercial sus más abundantes bendiciones La susodicha caja [vidriera ?] no nos ha llegado todavía, tenga la amabilidad de decirnos porqué vía y a qué dirección la ha enviado.

(PS 090, 23-28, Lettre à DEVIE ALEXANDRE, EVEQUE, 1837-02-07): M(onseigneur), veuillez agréer l'hommage de notre parfait dévouement et la ferme résolution où nous sommes de ne rien oublier pour correspondre à votre zèle vraiment apostolique pour la gloire de Dieu et le bien de la Religion. Nous serons heureux si vous daignez nous continuer vos conseils et le secours de vos pri res.

(PS 090, 23-28, Carta a DEVIE ALEJANDRO, OBISPO, 1837-02-07): Monseñor, sírvase aceptar el homenaje perfecto afecto y la firme resolución en que nos encontramos de no olvidar nada para responder a sus celo realmente apostólico por la gloria de Dios y el bien de la religión. Seremos felices si continúa dándonos sus consejos y la ayuda de sus oraciones.

(PS 095B, 57-60, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1837-02-23): Nous allons de nouveau recommender fortement notre demande de Paris à la Sainte Vierge. Voudriez vous bien, ainsi que les vôtres, joindre vos bonnes pri res aux nôtres.

(PS 095B, 57-60, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1837-02-23): Vamos a recomendar nuevamente con insistencia nuestra petición de París a la Santísima Virgen. ¿Sería usted tan amable que uniese sus oraciones y las de sus Hermanos a las nuestras?

(PS 102, 07-10, Lettre à EUTHYME, FRERE, 1837-03-19): Tâchez de bien faire votre méditation, c'est un grand point dans la vie d'un religieux. Je puis vous dire que je réponds de votre salut si vous êtes exact à bien faire votre méditation.

(PS 102, 07-10, Carta a EUTIMIO, HERMANO, 1837-03-19): Procure hacer bien la meditación; es un factor muy importante en la vida de un religioso. Puedo decirle que respondo de su salvación si es exacto en hacer bien la meditación.

(PS 102, 11-17, Lettre à EUTHYME, FRERE, 1837-03-19): Concevez aussi combien est importante votre petite classe; il dépend de vous de former à la religion tous les enfants que vous enseignez; il dé-pend de vous de leur ouvrir ou de leur fermer le ciel. Visez donc, mon cher ami, à les édifier, à priez pour eux, à imprimer fortement l'amour de Dieu dans leur jeunes coeurs. Recitez tous les jours avant de commencer la classe trois ave Maria.

(PS 102, 11-17, Carta a EUTIMIO, HERMANO, 1837-03-19): Piense también cuán importante es su pequeña clase; de usted depende el formar en la religión a todos los niños a quienes está enseñando; de usted depende el abrirles o cerrarles el cielo Trate, pues, amigo mío, de edificarles, de rogar por ellos, de imprimir profundamente el amor de Dios en su joven corazón. Rece todos los días antes de comenzar la clase tres avemarías.

(PS 106, 19-24, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1837-04-24): Monseigneur l'évêque de Belley vient de nous donner encore une nouvelle marque de sa bienveillance et de sa générosité en se chargeant de nos pièces pour Paris. Nous espérons beaucoup du mois de Marie. Si nous osions vous prier de joindre vos prières aux nôtres pour que tout s'arrange selon la sainte volonté de Dieu.

(PS 106, 19-24, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1837-04-24): Monseñor el obispo de Belley acaba de darnos una nueva prueba de su benevolencia y de su generosidad al encargarse de nuestros documentos para París. Esperamos mucho del mes de María. Non atreveríamos a pedirle que una sus oraciones a las nuestras para que todo se arregle según la voluntad de Dios.

(PS 109, 80-83, Lettre à FONTBONNE JACQUES, MISSIONNAIRE, 1837-05-16): Dans l'union d'un même esprit, nous nous recommandons tous à vos prières, désirant de participer abondamment aux mérites de vos travaux pour la gloire de Dieu et l'honneur de notre commune Mère.

PS 109, 80-83, Carta a FONTBONNE JACOBO, MISIONERO, 1837-05-16): En unión de un mismo espíritu nos encomendamos todos a sus oraciones, deseando participar abundantemente en los méritos de sus trabajos para gloria de Dios y el honor de nuestra común madre María.

(PS 118, 09-13, Lettre à DENIS, FRERE, 1837-07-05): Nous allons faire une neuvaine pour demander la guérison de M. Roche, votre digne Curé. Je voudrais bien que le bon Dieu le laisse encore en vie quelque temps pour achever son ouvrage. Dites lui que nous nous intéressons vivement à sa conservation.

(PS 118, 09-13, Carta a DIONISIO, HERMANO, 1837-07-05): Vamos a hacer una novena para pedir la curación del Sr. Roche, su digno cura. Mucho quisiera que Dios le conserve todavía la vida algún tiempo para que termine su obra. Dígale que nosotros nos interesamos vivamente por su salud.

(PS 122, 14-18, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1837-07-26): Une indisposition qui ne sera peut-être pas bien grave vient m'empêcher de continuer ma route et m'oblige à rebrousser chemin. Dieu en soit mille et mille fois beni, ce souverain Maître a de très bonnes raisons. Je ne lui demande qu'une seule chose, que je puisse chanter éternellement ses misericordes.

(PS 122, 14-18, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1837-07-26): Una indisposición, que espero no sea muy grave, acaba de impedirme seguir mi camino y me obliga a volver a casa. Dios sea mil y mil veces bendito; ese soberano Maestro tiene muy buenas razones. Yo no le pido más que una cosa, que pueda cantar eternamente sus misericordias.

(PS 123, 12-18, Lettre à CROZIER JEAN BAPTISTE, CURÉ, 1837-07-30): Il est bien vrai que de tous côtés on nous demande. Chacun fait valoir les raisons de préférence que dicte un zèle ardent pour l'éducation chrétienne de la jeunesse. Nous voudrions pouvoir suffire à tous, mais le champ est trop vaste pour le nombre des ouvriers. Plaise au Maître de la moisson d'envoyer de bon ouvriers, rempli de son esprit, pour s'acquitter dignement de leurs fonctions.

(PS 123, 12-18, Carta a CROZIER JUAN BAUTISTA, PARROCO, 1837-07-30): Es cierto que de todas partes nos llaman. Cada cual hace valer los motivos de preferencia que les dicta su ardiente celo por la educación cristiana de la juventud. Quisiéramos satisfacerles a todos, pero el campo es demasiado amplio para el número de obreros. Quiera el amo de las mies enviar buenos obreros, llenos de su espíritu para desarrollar dignamente sus funciones.

(PS 123, 19-24, Lettre à CROZIER JEAN BAPTISTE, CURÉ, 1837-07-30): La confiance que vous nous témoignez, nous engage à vous prier d'unir vos voeux et vos s(ain)ts Sacrifices pour le bien de notre société, à la plus grande gloire de Dieu, afin que, de notre côté, nous soyons bientôt en état de vous témoigner plus efficacement la bienveillance et l'entier devouement avec lesquels nous avons l'honneur d'être, etc...

(PS 123, 19-24, Carta a CROZIER JUAN BAUTISTA, PARROCO, 1837-07-30): La confianza que usted pone en nosotros nos impulsa a rogarle que una sus deseos y sus santos sacrificios por el bien de nuestra Sociedad, para la mayor gloria de Dios, a fin de que por nuestra parte estemos pronto en situación de manifestarle más eficazmente la benevolencia y entera abnegación, con la cual tenemos el honor de ser, etc...

(PS 125, 16-20, Lettre à BOIS FRANÇOIS, CURÉ, 1837-07): Bien sensibles à vos peines et à vos sollicitudes pour la gloire de Dieu et le salut des ames, nous nous joignons à vous dans l'union d'un même esprit, vous priant d'agréer les sentiments de respect et de dévouement avec lesquels nous serons toujours, M le Curé, vos très humbles et très obéissants serviteurs,

(PS 125, 16-20, Carta a BOIS FRANCISCO, PARROCO, 1837-07): Muy sensible a sus preocupaciones y a su interés por la gloria de Dios y la salvación de las almas, me uno a usted en el espíritu rogándole acepte los sentimientos de respeto y afecto con los que seré siempre, Sr. Cura, su humilde y obediente servidor.

(PS 127, 17-19, Lettre à CHOLLETON JEAN, VICAIRE GENERAL, 1837-08-05): Nous allons faire une neuvaine pour demander des ouvriers, afin que le champ du souverain Maître ne demeure pas en friche.

(PS 127, 17-19, Carta a CHOLLETON JUAN, VICARIO GENERAL, 1837-08-05): Vamos a hacer una novena para pedir obreros, a fin de que el campo del soberano maestro no quede baldío. Sírvase, por favor, unir sus buenas oraciones a las nuestras...

(PS 135, 08-16, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1837-09-04): Depuis cette auguste solennité, les vomissements de sang ont cessé complètement. Notre bon frère a profité du relâche de la maladie pour se préparer à sa dernière heure. Quelle douceur! quel calme! quelle joie! il a fait paraître durant cette intervalle, mais surtout le dernier jour de sa vie. Ce fut un samedi, 2 septembre. Dès le matin il reçut les derniers sacrements. Jamais il n'avait paru si joyeux, tout occupé du bon Dieu, son âme n'attendait pour ainsi dire que les dernières prières de l'Eglige pour prendre son essor.

(PS 135, 08-16, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1837-09-04): Después de esta augusta solemnidad los vómitos de sangre cesaron completamente. Nuestro buen Hermano ha aprovechado esa leve mejoría en su enfermedad para parecerse mejor a su última hora ¡Qué dulzura! ¡Qué tranquilidad! ¡Qué alegría! dejó ver durante este intervalo, pero sobre todo el último día de su vida. Fue un sábado, 2 de septiembre. Desde temprano recibió los últimos sacramentos. Jamás había estado tan alegre, sólo ocupado en Dios. Su alma solamente esperaba, por así decir, las últimas oraciones de la Iglesia para emprender el vuelo.

(PS 136, 09-16, Lettre à PEALA JEAN FRANÇOIS RÉGIS, CURÉ, 1837-09-24): Nos frères entrent en vacances, leur retraite va commencer, jugez, Monsieur le Curé, s'il m'est possible d'absenter pendant ce temps. Ce ne serait qu'après la Toussaint que je pourrais me procurer l'avantage de vous voir. J'agirai en conséquence de la réponse dont je vous prie de vouloir bien m'honorer, bien résolu de ne rien négliger pour correspondre au zèle et à la générosité que vous manifestez pour la gloire de Dieu et l'éducation chrétienne de vos enfants.

(PS 136, 09-16, Carta a PEALA JUAN FRANCISCO REGIS, PARROCO, 1837-09-24): Nuestros Hermanos empiezan las vacaciones; su retiro también va a comenzar; juzgue, Sr. Cura, si me es posible enviarle alguno durante este tiempo. Sólo después de Todos los Santos podría aprovechar para ir a verle. Actuaré de acuerdo con la respuesta con la que ruego tenga a bien honrarme, bien resuelto a no descuidar nada para corresponder al celo y a la generosidad que nos manifiesta por la gloria de Dios y la educación cristiana de los niños.

(PS 137, 02-10, Lettre à FUSTIER JEAN FRANÇOIS BERNARDIN, CURÉ, 1837-09-24): Il ne m'est pas possible, quand à présent, de me rendre à votre honorable invitation. Nos frères viennent en vacances et vont commencer la retraite incessamment, de sorte que je n'aurai pas un moment jusqu'à la Toussaint, époque de la rentrée des classes. Quelque mu(l)tipliées que soient mes occupations et les voyages qui me restent à faire, je pourrai peut être me transporter aupr s de vous, ou bien vous envoyer un frère pour conférer sur ce qu'il y a à faire pour exécuter votre pieux dessein.

(PS 137, 02-10, Carta a FUSTIER JUAN FRANCISCO B., PARROCO, 1837-09-24): No me es posible por el momento responder a su honrosa invitación. Nuestros Hermanos vienen de vacaciones y van a comenzar el retiro inmediatamente, de modo que no tendré ni un momento hasta Todos los Santos, época de la vuelta a las clases. Cualesquiera que sean mis ocupaciones y los viajes que me quedan por hacer, podría quizás trasladarme hasta usted o bien enviarle un Hermano para tratar de lo que hay que hacer para poner en práctica su piadoso designio.

(PS 137, 14-17, Lettre à FUSTIER JEAN FRANÇOIS BERNARDIN, CURÉ, 1837-09-24): Veuillez nous continuer votre bienveillance et le secours de vos prières afin que notre société puisse remplir les vues de Dieu sur elles et que bientôt votre sainte entreprise ait son accomplissement.

(PS 137, 14-17, Carta a FUSTIER JUAN FRANCISCO B., PARROCO, 1837-09-24): Sírvase seguir con su aprecio hacia nosotros y la ayuda de sus oraciones, a fin de que nuestra Sociedad pueda llevar a cabo los designios de Dios sobre ella y que muy pronto su deseo se cumpla.

(PS 141, 15-19, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1837-09-28): Nous n'oublions pas cependant que c'est en vain que nous travaillerons si le Seigneur ne travaillait lui-même avec nous. Veuillez bien vous joindre à nous dans cette intention, afin que tout se fasse selon la s(ain)te volonté de Dieu et pour sa plus grande gloire.

(PS 141, 15-19, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1837-09-28): No olvidamos no obstante que en vano trabajamos si el Señor no trabaja con nosotros. Le suplicamos se una a nuestra oración en ese sentido, para que todo se haga según la voluntad de Dios y para su mayor gloria.

(PS 141, 33-37, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1837-09-28): C'est avec une entière confiance et la plus affectueuse cordialité que je vous prie de nouveau de nous faire participants de vos prières et de vos Sts sacrifices conjointement avec vos bons frères et de me croire à jamais, Monsieur et très digne Supérieur, votre très respectueux et tout dévoué serviteur..

(PS 141, 33-37, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1837-09-28): Con una entera confianza y la más afectuosa cordialidad le ruego encarecidamente que nos haga partícipes de sus oraciones y sus santos sacrificios junto con los de sus buenos Hermanos. Créame para siempre, señor y muy digno Superior, su muy respetuoso y seguros servidor.

(PS 147, 17-20, Lettre à JANY-TACHE, CURÉ, 1837-10): Nous n'avons qu'à nous louer des sujets qui nous viennent de votre bonne paroisse: ils ont de la piété et généralement ils se sont tous rendus capables de nous être très utiles.

(PS 147, 17-20, Carta a JANY-TACHE, PARROCO, 1837-10): Sólo tenemos que felicitarnos de los súbditos que nos vienen de vuestra buena parroquia; son piadosos y generalmente todos se hacen capaces de sernos útiles.

(PS 149, 12-18, Lettre à FUSTIER JEAN FRANÇOIS BERNARDIN, CURÉ, 1837-10-30): Vous voyez par là, M. le Curé, que tous nos rapports avec vous sont interrompus, à moins que vous ne vous mettiez en règle de ce côté là auprès de vos supérieurs. Mais quoi qu'il en arrive, toujours nous vous serons infiniment obligés de votre bienveillance pour notre maison que nous recommandons bien à vos bonnes prières, afin que la sainte et aimable volonté de Dieu s'accomplisse pleinement en nous.

(PS 149, 12-18, Carta a FUSTIER JUAN FRANCISCO B., PARROCO, 1837-10-30): Por eso usted sabe que todas mis relaciones con ustedes quedan interrumpidas, a no ser que ustedes se pongan estaremos sumamente agradecidos por su benevolencia para con nuestra casa, la que recomendamos mucho a sus oraciones, a fin de que la santa y amable voluntad de Dios se cumpla plenamente en nosotros.

(PS 158, 12-17, Lettre à SYLVESTRE, FRERE, 1837-11-25): Ils (les missionnaires) soupirent ardamment d'arriver à leur destination. Le zéle du salut de ces insulaires les intéressent d'une maniére particulière. Prions, mes chers Frères, prions pour leur salut et celui de ceux qui nous sont confiés. L'âme des français est aussi bien le prix du sang d'un Dieu que celle des idolatres.

(PS 158, 12-17, Carta a SILVESTRE, HERMANO, 1837-11-25): Anhelan férvidamente llegar ya al lugar de su destino. El celo por la salvación de los insulares les impulsa de una manera particular. Oremos, mis queridos Hermanos, oremos por la salvación de éstos y por la de los que se nos han confiado [aquí en Francia]. El valor del alma de los franceses es, como el de los idólatras, el precio de la sangre de Dios.

(PS 158, 20-25, Lettre à SYLVESTRE, FRERE, 1837-11-25): Nous ne vous oublions pas, ni les uns, ni les autres. Nous faisons nos préparatifs pour Par[is]. Nous faisons nos préparatifs pour Paris. Recommendez fortement cette affaire au bon Dieu afin qu'il n'arrive que ce que le bon Dieu veut et rien de plus; sa sainte volonté, voilà tout. En vain nous penserions autrement, en vain nous nous agiterions, la volonté de Dieu toute seule.

(PS 158, 20-25, Carta a SILVESTRE, HERMANO, 1837-11-25): No nos olvidamos de ustedes, de ninguno. Estamos haciendo los preparativos para [nuestro viaje] a París. Encomiende con fervor este asunto a Dios, a fin de que no resulte sino lo que él quiere y nada más. Su santa voluntad: eso es lo único. En vano intentaríamos algo diverso, en vano nos agitaríamos: nada, sino la voluntad de Dios.

(PS 164, 82-87, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1837-12-12): Le 27 9bre dernier un office solennel a été célébré dans la chapelle de N(otre) D(ame) de l'hermitage pour Mr. Bret décédé le 20 mars 1837 dans la traversée Santa Crux à Valparaiso. Veuillez faire de votre côté ce que la Règle prescrit pour un frère profès et recommander au bon Dieu la mission et les missionnaires de la Polynésie.

(PS 164, 82-87, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1837-12-12): El 27 de noviembre último, tuvimos un oficio solemne en nuestra capilla de N.S. del Hermitage en recuerdo del P. Bret, fallecido el 20 de marzo de 1837 durante la travesía Santa Crux a Valparaíso. Hagan el favor de cumplir ahora ustedes lo que les corresponde según la Regla. Es lo prescrito por un Hermano profeso. Y sírvanse recomendar a Dios la misión y los misioneros de la Polinesia.

(PS 168, 57-60, Lettre à DENIS, FRERE, 1838-01-05): P.S. N'oubliez pas de prier pour la réussite de nos affaire concernant la Société. Quand vous aurez fini la neuvaine que vous faites, faites en commencer une autre à mon intention. Que tous les enfants la fasse[nt].

(PS 168, 57-60, Carta a DIONISIO, HERMANO, 1838-01-05): P.S. - No olvidéis rogar por el éxito de nuestros asuntos relativos a la Sociedad. Cuando hayáis terminado la novena que estáis haciendo, comenzad otra a mis intención. Que todos los niños la hagan.

(PS 169, 19-23, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-01-10): Nous devons partir lundi pour Paris à 9 heures du matin. Tout parait devoir bien aller. Je dis toujours Nisi dominus etc. Je crains même que toutes ces ressources ne nuisent un peu aux desseins de la Providence et loin d'accelerer nos demandes ne viennent nuire. Priez donc bien le bon Dieu et faites prier.

(PS 169, 19-23, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-01-10): Debemos salir el lunes para París a las 9 de la mañana. Al parecer todo va bien. Yo digo siempre: Nisi Dominus... Temo que todos estos recursos perjudiquen un poco los designios de la Providencia y, lejos de acelerar nuestras peticiones lleguen a estropearlas Ruegue, pues, mucho a Dios y haga rogar.

(PS 169, 38, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-01-10): Disons tous Nisi Dominus.

(PS 169, 38, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-01-10): Digamos todos a una: "Nisi Dominus"..

(PS 170, 08-15, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-01-25): Nous avons déjà bien fait des courses dans Paris et bien des visites, et nous ne sommes pas au bout. Dieu en soit mille fois beni. Toutes les personnes que nous avons vues, paraissent bien s'intéresser à notre affaire. Je ne crois pas que M. ardaillon eut fait grand chose si nous n'étions pas venu. Continuez à recommender fortement la chose au bon Dieu et à sa sainte Mère, sans cela que pourrons nous. Nous espérons réussir.

(PS 170, 08-15, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-01-25): Ya hemos hecho recorridos en París y muchas visitas y aún no hemos terminado. Bendito sea mil veces el Señor. Cuantas personas hemos visitado parecen muy interesadas en nuestros asuntos. No creo que el Sr. Ardaillon hubiera hecho gran cosa de no haber venido nosotros. Siga recomendando fuertemente este asunto a Dios y a su santa Madre; sin eso ¿qué podríamos esperar? Esperamos tener éxito.

(PS 172, 31-34, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-02-04): Nous ne sommes pas encore sûrs de notre affaire, cependant nous comptons sur les bonnes prières qui se font. Marie notre bonne Mère nous sécondera; prions la par l'entremise des saintes âmes qui sont en purgatoire. Tous les jours ici à Paris nous disons le chapelet des morts.

(PS 172, 31-34, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-02-04): No estamos aún seguros de nuestro asunto; sin embargo contamos con las buenas oraciones que se hacen. María, nuestra Buena Madre, nos ayudará. Roguémosla por medio de las santas almas del purgatorio. Todos los días aquí en París decimos el rosario de los difuntos.

(PS 174, 06-11, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-02-24): Je viens de recevoir votre lettre datée du 19,. Sans l'engagement, le recteur de l'université n'a pas voulu y mêttre son visa, disant que c'étoit trop tard; il ne la pas voulu mêttre non plus sur ceux que j'ai apportés. Je pense egallement les présenter aussitot que l'affaire principale aura passée. J'ignore quel succès cette demarche aura, je ne sais quel autre remede y apporter. Dans tous les cas, envoyez le [l'engagement décennal de Frère Martin] moi et recommendez fortement le tout au bon Dieu.

(PS 174, 06-11, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-02-24): Acabo de recibir su carta con fecha del 19. Sin el compromiso, el rector de la Universidad no ha querido dar el VoBo, diciendo que era demasiado tarde. Tampoco ha querido ponerlo en los que yo llevé. También pienso presentarlos en cuanto el asunto principal haya terminado. Ignoro qué éxito tendrá el asunto. Yo no sé qué otros medios emplear. En todo caso, envíemelo y encomiéndelo todo a Dios.

(PS 174, 77-80, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-02-24): Mes amitiés bien intimes à Monsieur Matricon, Mr. Besson aux sts sacrifices des quels je me recommende et mon pauvre frere.

(PS 174, 77-80, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-02-24): Mis saludos muy cordiales a los señores Matricon y Besson. Me encomiendo yo y encomiendo a mi pobre hermano a los santos sacrificios que celebren.

(PS 174, 92-94, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-02-24): Si Mr. Ginot venoit, priez le de ma part de m'apporter un breviere pars verna, celui que j'ai finit, avec un exemplaire de la regle.

(PS 174, 92-94, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-02-24): Si fuese ahí el Sr. Ginot, ruéguele de mi parte que me traiga el breviario "pars verna", el que ya he terminado y un ejemplar de la Regla.

(PS 175, 17-25, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-07): Il faut toujours que nous passions par le Conseil d'Etat dont nous connaissons plusieurs membres. Quand y arriverons nous! Mon Dieu que de lenteur, que le temps me dure, qu'il est pénible de courir d'un bureau à l'autre. Ce n'est pas encore le temps de m'occuper de cela. A Dieu seul en soit toute la gloire. J'ai remis, les jours passés les quatres engagements que j'avais entre mains. Je ne sais pas encore ce qu'il en sera. Continuez et continuons ensemble à prier. Dieu ne refuse rien à la persévérance de la priere.

(PS 175, 17-25, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-07): Se precisa siempre pasar por el Consejo de Estado, en el que conocemos a varios miembros. !Cuándo llegaremos al final¡ Dios mío !cuánta lentitud! !Cuánto tiempo tarda! !Qué penoso el correr de una oficina a otra! Pero aún no es tiempo de ocuparme de eso. A Dios solo sea la gloria. He entregado días pasados los cuatro compromisos que traía entre manos. No sé todavía lo que será de ellos. Continúen y continuemos juntos rogando que no rehusa nada a la perseverancia en la oración.

(PS 175, 43-47, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-07): Quand partirai je de Paris? helas je n'en sais rien, quand Dieu le voudra. S'il est de la gloire de Dieu que je meure à Paris que sa sainte volonté soit faite et non la mienne. Je suis toujours decidé à voir le bout. Monsieur Chanut part; me voilà seul à réver, que dis je, on n'est pas seul quand on est avec Dieu.

(PS 175, 43-47, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-07): ¿Cuándo saldré de París? No sé nada, cuando Dios quiera. Si es para gloria de Dios que yo muera en París, que se haga su santa voluntad y no la mía. Estoy siempre decidido a ver el fin de este asunto. El Sr. Chanut se va; heme aquí solo soñando. Qué digo, jamás se está solo cuando se está con Dios.

(PS 176, 06-14, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-12): Nos affaires toujours au même point. Je ne sais quel eguillon employer pour faire aller plus vite. Dieu soit béni, c'est bien maintenant que je ne vais cesser de dire: "Super flumina Babilonis". Je serais d'ailleurs très heureux dans ma position, ayant peu à faire, me portant très bien. Ce carême va passer sans que je m'en apperçoive. Ce qui m'inquiète, et c'est plus que suffisant pour tout empoisonner, c'est la stagnation accablante où sont les affaires que je poursuis. Encore une fois, Dieu soit béni.

(PS 176, 06-14, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-12): Nuestros asuntos siguen lo mismo. No sé qué aguijón empleara para hacerlos ir más de prisa. Bendito sea Dios. Ahora es cuando no voy a dejar de decir: Super flumina Babilonis. Por otra parte sería muy feliz en mi situación teniendo poco que hacer y con muy buena salud. Esta cuaresma va a pasar sin que me dé cuenta. Lo que me inquieta es más que suficiente para emponzoñarlo todo: es el estancamiento pesado en que están los asuntos que persigo. Una vez más, bendito sea Dios.

(PS 176, 16-17, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-12): Envoyer moi par la même occasion que vous m'avez envoyé la regle, un breviere pars verna.

(PS 176, 16-17, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-12): Envíeme en la misma forma en que me envió la Regla, un breviario "pars verna".

(PS 176, 21-22, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-12): Mille choses a tous les chers freres. Vous voyez combien j'ai toujours besoin des prieres.

(PS 176, 21-22, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-12): Mil saludos a todos mis queridos Hermanos. Usted ve bien cuánta necesidad tengo siempre de oraciones.

(PS 179, 61-69, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-15): A l'instant j'arrive de chez M. Pillet, chargé des écoles primaires. Il m'annonce que l'affaire est passée mardi au Conseil Universitaire qui a donné un avis favorable; qu'il croit que le Ministre va se décider à demander une ordonnance au Roi. La chose est trop belle, trop prompte pour qu'il n'y ait pas encore quelque entrave. Quoique le temps me dure beaucoup à Paris, je serai bien content si je puis aller célébrer la fête de Pâques à l'Hermitge. Dieu ne refuse rien à la prière fervente et persévérante.

(PS 179, 61-69, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-15): Acabo de llegar de casa del Sr. Pillet, encargado de las escuelas primarias. Me anuncia que el asunto pasó el martes al consejo universitario, que ha dado un informe favorable; que él cree que el ministro se va a decidir a pedir una orden real. La cosa es demasiado bella, demasiado rápida para que no haya todavía alguna traba. Aunque el tiempo me dure demasiado en París, estaría muy contento si pudiera celebrar la fiesta de Pascua en el Hermitage Dios no rehusa nada a la oración ferviente y perseverante.

(PS 179, 86-88, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-15): A Dieu, mes bien chers freres, je vous porte tous bien cherement dans mon coeur. Je ne demande pas vos prieres, elle[s] me sont dues. CHAMPAGNAT, sup(érieur) des f(r res) de M(arie).

(PS 179, 86-88, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-15): Adiós, mis queridos Hermanos. Los llevo a todos con mucho cariño en mi corazón. No les pido sus oraciones; me las deben.

(PS 180, 08-14, Lettre à VEUVE CHAMPAGNAT MARIE, LAIQUE, 1838-03-16): J'ai bien de regret de n'avoir pu me rendre a[u]près de mon pauvre frere pendant sa maladie. Je ne la croyois pas mortele. On m'avoit dit quil alloit mieux. Il n'y a que quelque jour qu'on m'a annoncé cette nouvelle à Paris. Jai offert et fait offrir le s(aint)t sacrifice pour lui. Je ne doute pas un instant que Dieu ne lui ait fait misericorde et quil n'eut reçu son âme dans la vraie paix.

(PS 180, 08-14, Carta a VIUDA CHAMPAGNAT MARIA, SEGLAR, 1838-03-16): Siento mucho no haber podido ir a visitar a mi hermano durante su enfermedad. No me imaginaba que se tratase de algo mortal. [Es más,] hasta se me había informado que iba mejorando. Hace unos cuantos días que recibí aquí en París, la [sensible] noticia [de su fallecimiento]. He ofrecido, y hecho ofrecer, el santo Sacrificio por él. No dudo ni un instante de que Dios haya tenido misericordia de él, y de que haya recibido su alma en la paz verdadera.

(PS 180, 20-26, Lettre à VEUVE CHAMPAGNAT MARIE, LAIQUE, 1838-03-16): Mon Dieu que l'homme qui ne vit pas selon vous est malheureux; que celui qui s'attache à un bien quil laisse pour ne plus revoir, est aveugle. Suivons ce que nous dit St Paul, usons de ce que Dieu nous a donné selon Dieu sans nous y attacher. Ne désirons pas d'etre riche, remercions Dieu de ce quil nous à donné. Hélas! qu'on[t] les riches de plus que nous? plus de regret en quittant cette vie.

(PS 180, 20-26, Carta a VIUDA CHAMPAGNAT MARIA, SEGLAR, 1838-03-16): ¡Dios mío, qué desgraciado es el hombre que no vive según tú! Aquel que se apega a bienes que dejará, para nunca volverlos a ver, está ciego. Sigamos el consejo de S. Pablo, usemos de las cosas que Dios nos ha dado, según Dios, sin apegarnos. No deseemos ser ricos; agradezcamos a Dios por lo que nos ha dado. ¡Ay! ¿Qué más tienen los ricos que nosotros? [Pues] más pesar al abandonar esta vida.

(PS 180, 31-36, Lettre à VEUVE CHAMPAGNAT MARIE, LAIQUE, 1838-03-16): Je ne monte pas une seule fois à l'autel sans penser a lui. Tarderons nous bien à le suivre dans la tombe? Le moment en est marqué, vous l'ignorez, je l'ignore moi même et il est peu important que nous le sachions. Prevenons le par une vie toute pour Dieu et selon Dieu. Que nos infirmitiés, nos miseres soient pour nous des occasions de nous rendre plus agréable à Dieu!

(PS 180, 31-36, Carta a VIUDA CHAMPAGNAT MARIA, SEGLAR, 1838-03-16): No subo ni una sola vez al altar sin acordarme de él. ¿Tardaremos mucho en seguirlo a la tumba? [Aunque] ese momento está ya fijado, usted ignora el suyo, y yo el mío; que no lo sepamos tiene muy poca importancia. Preparémoslo mediante una vida sólo para Dios y según Dios. Que nuestros achaques, nuestras dolencias sean para nosotros ocasiones de volvernos más agradables a Dios.

(PS 180, 47-50, Lettre à VEUVE CHAMPAGNAT MARIE, LAIQUE, 1838-03-16): Je souhaite à tous non des richesses, mais une bonne conscience et un ardent amour pour Dieu. Que Jésus et Marie soient votre unique tout. Priez pour moi et pour le succ s de mes affaire.

(PS 180, 47-50, Carta a VIUDA CHAMPAGNAT MARIA, SEGLAR, 1838-03-16): Les deseo a todos ustedes, no riquezas, sino [la paz de] una buena conciencia y un ardiente amor por Dios. Que Jesús y María sean su [único] todo. Recen por mí y por el éxito de mis asuntos.

(PS 181, 12-15, Lettre à HILARION, FRERE, 1838-03-18): Je compte beaucoup sur les prieres des braves gens, elles feront mieux que toutes les protections possibles. Quoique cela, je ne néglige pas ces dernieres, car Dieu veut bien que nous employons les moyens humains.

(PS 181, 12-15, Carta a HILARION, HERMANO, 1838-03-18): Cuento mucho con las oraciones de esas buenas gentes; ellas harán más que todas las protecciones posibles. A pesar de ello, no descuido estas últimas, pues Dios quiere que empleemos los medios humanos.

(PS 181, 15-21, Lettre à HILARION, FRERE, 1838-03-18): Tous les rapports qui ont été faits concernant notre autorisation sont en faveur, Dieu soit béni. Quelle épine, mon cher ami, serait arrachée. Quenous puissions mettre à l'abrit de la consription nos Frères. Espérons fortementet prions sans cesse, que n'obtient pas la prière fervente et perséverante? Di- sons à Marie que c'est beaucoup mieux son oeuvre que la nôtre.

(PS 181, 15-21, Carta a HILARION, HERMANO, 1838-03-18): Todos los informes que se han hecho en relación con nuestra autorización nos son favorables. Bendito sea Dios. Qué espina, mi querido amigo, se me arrancaría si pudiésemos ponernos al abrigo del servicio militar de los Hermanos. Esperemos firmemente y oremos sin cesar ¿Qué no obtiene la oración ferviente y perseverante? Digamos a María que es mucho más su obra que la nuestra.

(PS 181, 27-29, Lettre à HILARION, FRERE, 1838-03-18): Je suis plus solitaire au milieu de Paris qu'à l'Hermitage. Je puis vous assurer que si Dieu le voulait, je me plairais fort dans la solitude.

(PS 181, 27-29, Carta a HILARION, HERMANO, 1838-03-18): Estoy más solitario en París que en el Hermitage. Puedo asegurarle que, si Dios quisiera disfrutaría mucho en la soledad.

(PS 181, 29-33, Lettre à HILARION, FRERE, 1838-03-18): Faites part à Mr. Dumas, le très digne curé de Boulieu, de la position de nos affaire[s]; dites lui que je continue de compter sur ses bonnes prieres et celle de sa communauté et de Mr. Aron l'a[u]monier.

(PS 181, 29-33, Carta a HILARION, HERMANO, 1838-03-18): Haga partícipe al Sr.Dumas, el digno Cura de Boulieu, de la situación de nuestros asuntos. Dígale que continúo contando con sus buenas oraciones y las de la comunidad y las del P. Aron, el capellán.

(PS 181, 37-42, Lettre à HILARION, FRERE, 1838-03-18): Je n'ai pas besoin de vous recommender de prier pour moi, je sais que vous le faites. Noubliez les bons freres de St. Sauveur. Je vous porte tous bien cherement dans mon coeur. Tachez de voir au plutôt les freres de Bourg Argental et les autres. Frere Marie Jubin réussit assez bien.

(PS 181, 37-42, Carta a HILARION, HERMANO, 1838-03-18): No tengo necesidad de recomendarles que recen por mí; ya sé que lo hacen. No olvide a los buenos Hermanos de Saint Sauver. Les llevo a todos con mucho cariño en mi corazón. Trate de ver cuanto antes a los Hermanos de Bourg Argental y a los demás. El H. Marie Jubin acierta bastante bien.

(PS 182, 17-21, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-03-22): Dieu soit beni, que la très sainte volonté soit faite. Si cette ordonnance devrait devenir funeste au salut de nos âmes que Dieu l'eloigne de nous. Prions, prions, et en tout ne cherchons et ne désirons que la sainte volonté de Dieu.

(PS 182, 17-21, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-03-22): Bendito sea Dios; que se cumpla su santísima voluntad. Si esta orden hubiera de ser funesta para la salvación de nuestras almas, que Dios la aleje de nosotros. Oremos, oremos y en todo no busquemos más que la santa voluntad de Dios.

(PS 183, 08-12, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1838-03-24): Vous voyez, mon cher ami, que je suis toujours à Paris, voyant, visitant tantôt l'un, tantôt l'autre, sans savoir où sera le bout de mes ennuyeuses courses. J'espère cependant qu'avec le secours des prières qui se font de toutes parts, j'obtiendrai l'objet de toutes mes demarches.

(PS 183, 08-12, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1838-03-24): Ya ve, querido amigo, que sigo en París, viendo, visitando ya a uno ya a otro, sin saber cuál será el fin de mis fastidiosas correrías. Espero no obstante que con el auxilio de las oraciones que se hacen en todas partes obtendré el fin de todas mis diligencias.

(PS 183, 18-26, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1838-03-24): Mr. Lachaize, député de la Loire, a dit à Mr. le maire de Lavalla, actuellement à Paris, qu'il parirait dix contre un que j'obtiendrais mon ordonnance. Malgré tout cela je suis vivement persuadé, mon bien cher frère, qu'il n'en sera que ce que le bon Dieu voudra, ni plus, ni moins. Je ne néglige cependant aucune démarche tendant ou favorisant notre affaire. Je sais que Dieu veut que nous nous servions des hommes dans de pareille circonstance. Vous voyez donc que ce sont des prières quil me faut.

(PS 183, 18-26, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1838-03-24): El Sr. Lachèze, diputado por el Loira ha dicho al Sr. Alcalde de Lavalla, actualmente en París, que apostaría diez contra uno a que yo obtendría mi decreto. A pesar de todo eso estoy vivamente persuadido, mi muy querido Hermano, que no será sino lo que Dios quiera, ni más ni menos. No descuido no obstante ninguna gestión tendiente a favorecer nuestro asunto. Ya sé que Dios quiere que nos sirvamos de los hombres en tales circunstancias. Ya ve, pues, que son oraciones las que me hacen faltan.

(PS 183, 29-32, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1838-03-24): Priez et faites prier vos enfants; vous savez combien Jésus-Christ prend plaisir à être importuné par ces âmes innocentes; mes demarches à la capitale les intéressent particuli rment.

(PS 183, 29-32, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1838-03-24): rece y haga rezar a sus niños. Usted sabe cuánto le place a Jesucristo ser importunado por esas almas inocentes. Mis gestiones en la capital les interesan particularmente.

(PS 183, 33-41, Lettre à ANTOINE, FRERE, 1838-03-24): Je me porte très bien à Paris. Je suis logé au Séminaire des Missions étrangères où je me plaît infiniment. Je vous assure que si je ne savais pas que je fait un peu faute à l'Hermitage, je demanderais à y finir mes jours. Je suis le reglèment de la mai-son, autant que mes sorties peuvent me le permettre. Je me lève au son de la cloche, j'assiste à la méditation et aux autres exercices spirituels, aux repas,aux récreations. Je suis édifié au dernier point par le généreux dévouement de ceux qui se destinent aux missions lointaines.

(PS 183, 33-41, Carta a ANTONIO, HERMANO, 1838-03-24): Gozo de muy buena salud en París. Estoy alojado en el Seminario de Misiones Extranjeras, en donde gozo infinito. Le aseguro que si no supiese que hago algo de falta en el Hermitage, pediría terminar aquí mis días. Sigo el reglamento de la casa en cuanto mis salidas me lo permitan. Me levanto al toque de campana, asisto a la meditación y a los otros ejercicios espirituales, a las comidas, a los recreos. Estoy edificado hasta el extremo por la generosa abnegación de los que se destinan a misiones lejanas.

(PS 185, 13-16, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-04-12): Nos affaires concernant notre autorisation sont toujours en bonne marche, je veux dire qu'elle n'éprouvent d'autres difficultés qu'une lenteur accablante, malgré tout ce qu'on peut faire. Continuons nos prières, c'est l'unique moyen.

(PS 185, 13-16, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-04-12): Nuestros asuntos concernientes a nuestra autorización llevan marcha, quiero decir que no experimentan más dificultades que una decepcionante lentitud a pesar de cuanto se puede hacer Continuemos nuestras oraciones; es el único modo.

(PS 193, 67-68, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-05-20): Je ne suis pas encore au bout de mes miseres. Priez pour moi, j'en ai bien besoin.

(PS 193, 67-68, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-05-20): Aun no estoy al término de mis miserias. Ruegue por mí, tengo mucha necesidad de ello.

(PS 193, 68-69, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-05-20): Vous pensez bien que je n'oublie aucun membre de la Société. Ils mesont tous trop chers. Dites leur à tous combien je compte sur leur prieres.

(PS 193, 68-69, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-05-20): Crea usted que no olvido a ningún miembro de la Sociedad. Todos me son demasiado queridos. Dígales a todos cuánto espero de sus oraciones.

(PS 194, 28-33, Lettre à POMPALLIER JEAN BAPTISTE, VICAIRE APOST., 1838-05-27): Pendant mon sejour j'en au vu partir six du seminaire des Missions Etrangeres et d'aut[re]s qui se préparent. Que de sujets d'edification je trouve dans cette maison! La religion ne perira pas encore en France il y a trop de ressource. L'ouvre de la propagation y prend tous les jours de nouveaux developpements.

(PS 194, 28-33, Carta a POMPALLIER JUAN BAUTISTA, VICARIO APOST., 1838-05-27): Durante mi estancia aquí, he visto partir a seis [de ellos] del Seminario de Misiones extranjeras y [veo] a otros [más] que se preparan. ¡Cuántos motivos de edificación encuentro en esa casa! La religión no morirá en Francia, tiene mucha vitalidad. La obra de la propagación [de la fe] se incrementa de día en día.

(PS 194, 72-79, Lettre à POMPALLIER JEAN BAPTISTE, VICAIRE APOST., 1838-05-27): C'est, comme vous pensez bien sans doute, Monseigneur, c'est encore par Marie que je compte obtenir l'ordonnance que je solicite. Que la sainte et très sainte volonté de Dieu soit faite. Je vous entends repondre: amen. Que tous ceux qui sont avec votre Grandeur, je veux dire frères et confrères repondent aussi et prie pour moi qui me recommende, d'une manière toute particulière, à leur bonnes prières, aux votre surtout, Monseigneur.

(PS 194, 72-79, Carta a POMPALLIER JUAN BAUTISTA, VICARIO APOST., 1838-05-27): Como Ud. también lo habrá adivinado, sin duda, pienso obtener también por medio de María la autorización legal que estoy solicitando. Que la santísima voluntad de Dios se haga [en todo] Le oigo decir: amén. Que todos los que están con su Excelencia, esto es, hermanos y cohermanos también respondan [amen] y recen por mí, que me recomiendo a sus oraciones muy particularmente, y sobre todo a las de Ud., Monseñor.

(PS 194, 79-82, Lettre à POMPALLIER JEAN BAPTISTE, VICAIRE APOST., 1838-05-27): De mon côté je ne monte pas une seule fois au st autel que je ne pense à notre cher mission et a ceux qui y sont envoyés. Veulliez vous montrer le pere de ceux que nous vous envoyons comme vous le faites a legard des premiers.

(PS 194, 79-82, Carta a POMPALLIER JUAN BAUTISTA, VICARIO APOST., 1838-05-27): Por mi parte, no hay vez que yo suba al altar en que no piense en nuestra querida misión y en aquellos que han sido enviados a ella.

(PS 194, 98-99, Lettre à POMPALLIER JEAN BAPTISTE, VICAIRE APOST., 1838-05-27): Je désire bien trouver un remplaçant. Priez pour moi, j'en ai bien besoin. Je suis persuadé que vos prieres sont agréable au bon Dieu.

(PS 194, 98-99, Carta a POMPALLIER JUAN BAUTISTA, VICARIO APOST., 1838-05-27): Quisiera encontrar un reemplazante. Ore por mí, tengo muchas necesidades. Estoy muy persuadido de que sus oraciones son agradables a Dios.

(PS 196, 45-48, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-06-20): Quils prie pour moi. Vous n'êtes personne oublié dans ma neuvaine devant la statue devant laquelle St. François de Sales pria si efficacement.

(PS 196, 45-48, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-06-20): Que rueguen por mí. No me olvido de ninguno de ustedes en mi novena ante la estatua ante la que San Francisco de Sales oró tan eficazmente.

(PS 197, 29-31, Lettre à FRANÇOIS, FRERE, 1838-06-23): Je suis bien affligé de la mort du bon Frère Fabien et de ce que le Frère Justin ne se rétablisse pas. Dieu en soit beni! Que Jésus et Marie lui aident de plus en plus.

(PS 197, 29-31, Carta a FRANCISCO, HERMANO, 1838-06-23): Siento mucho la muerte del buen H. Fabián y que el H. Justino no se restablezca. Bendito sea Dios y que Jesús y María le ayuden cada vez más.

(PS 202, 11-12, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1838-08-08): Le service que vous nous rendez ne restera pas sans récompense et sans bénédiction pour votre oeuvre.

(PS 202, 11-12, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1838-08-08): El servicio que usted nos presta no quedará sin recompensa y sin bendiciones para su obra.

(PS 205, 08-10, Lettre à THEODORET, FRERE, 1838-08-12): Vous êtes content dans votre vocation, j'en bénis le bon Dieu. Remplissez bien vos devoirs envers Dieu et envers le prochain et vous serez toujours content et, de mon côté, je n'aurai que des actions de grâces a rendre a Dieu en vous temoi[g]nant ma satisfaction.

(PS 205, 08-10, Carta a TEODORETO, HERMANO, 1838-08-12): Estás contento en tu vocación, bendito sea Dios. Cumple bien con tus deberes para con Dios y para con el prójimo y estarás siempre contento. De mi parte doy gracias a Dios y le manifiesto mi satisfacción.

(PS 209, 13-14, Lettre à DUGAS VICTOR, LAIQUE, 1838-08-21): Que Jésus et Marie exaucent mes voeux et il ne manquera rien à votre bonheur en cette vie et en l'autre.

(PS 209, 13-14, Carta a DUGAS VICTOR, SEGLAR, 1838-08-21): Que Jesús y María escuchen mis súplicas y jamás le faltará la dicha en esta vida y en la otra.

(PS 210, 03-08, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1838-08-21): Nos vacances, comme les années précédentes, commencent le 28 septembre. Rendez vous à la Maison Mère le plutôt possible afin de vous trouver à la retraite annuelle qui, comme vous le savez, commence les premiers jours du mois d'octobre.

(PS 210, 03-08, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1838-08-21): Nuestras vacaciones, como en años anteriores, comienzan el 28 de septiembre. Diríjanse a la casa madre lo antes posible para el retiro anual, que, como saben, comienza los primeros días del mes de octubre.

(PS 210, 07-10, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1838-08-21): Que j'aime à vous annoncer un terme, disons mieux, un petit relâche à vos pénibles travaux. Venez tous vous réunir et vous réchauffer dans le sanctuaire qui vous a vus devenir les enfants de la plus tendre des Mères.

(PS 210, 07-10, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1838-08-21): Cómo me gusta anunciarles un término, mejor dicho, un pequeño descanso en sus penosos trabajos. Vengan todos a reunirse y a recalentarse en el santuario que los ha visto convertirse en hijos de la más tierna de las madres.

(PS 221, 19-24, Lettre à DELEBECQUE GERMAIN JOSEPH, LAIQUE, 1838-10-): Veuillez croire, Monsieur, que rien ne saurait égaler la reconnnaissance de tous les enfants de Marie après un bienfait aussi distingué. Ils se regardont tous à jamais comme étroitement obligés devant Dieu et devant les hommes de benir partout votre nom et d'appeler sur vous par leur prières et leurs voeux toutes les propérités.

(PS 221, 19-24, Carta a DELEBECQUE GERMAN JOSE, SEGLAR, 1838-10-): Crea, señor, que nada podría igualar al agradecimiento de todos los Hermanos de María después de un favor tan distinguido. Ellos se verán para siempre obligados ante Dios y ante los hombres a bendecir por doquier su nombre y a pedir para usted con sus oraciones y sus súplicas toda clase de prosperidades.

(PS 222, 11-13, Lettre à ROBITAILLE FRANÇOIS, CURÉ, 1838-10-): Je suis bien charmé des heureuses dispositions de vos bons habitants. J'espére avec vous que le bon Dieu benira cet établissement et que tout ira pour le mieux.

(PS 222, 11-13, Carta a ROBITAILLE FRANCISCO, PARROCO, 1838-10-): Estoy encantado de las felices disposiciones de sus buenos habitantes. Espero con usted que Dios bendecirá ese establecimiento y que todo irá viento en popa.

(PS 225, 08-12, Lettre à VENET JOSEPH MARIE, CURÉ, 1838-11-05): 1º Nos frères ont beaucoup à souffrir de el la part de plusieurs jeunes gens qui ne frequentent pas les écoles et n'ayant par la [là] même aucune crainte viennent se mêler avec leurs enfants pendant les offices.

(PS 225, 08-12, Carta a VENET JOSE MARIA, PARROCO, 1838-11-05): 1.- Nuestros Hermanos tienen que sufrir mucho por parte de varios jóvenes que no frecuentan la escuela y no teniendo por lo mismo ningún temor, vienen a mezclarse con sus alumnos durante los oficios.

(PS 233, 08-10, Lettre à DENIS, FRERE, 1838-12-10): Rien de nouveau à la maison mère. Nous recevons toujours beaucoup de novices. Tout d'ailleurs va son petit train. Ajoutons que Jésus et Marie en soient éternellement bénis.

(PS 233, 08-10, Carta a DIONISIO, HERMANO, 1838-12-10): Nada nuevo en la Casa Madre. Seguimos recibiendo muchos novicios. Por otra parte todo sigue su marcha. Añadamos que Jesús y María sean eternamente benditos.

(PS 234, 07-09, Lettre à DOMINIQUE, FRERE, 1838-12-28): Ce que vous m'apprenez concernant les établissements de Semur, de Perreu et de Charlieu me console. Dieu veuille continuer a y verser ses benedictions les plus abondantes.

(PS 234, 07-09, Carta a DOMINGO, HERMANO, 1838-12-28): Lo que usted me cuenta relativo a los establecimientos de Semur, de Perreu y de Charlieu, me causa mucho consuelo. Quiera Dios seguir derramando sus abundantes bendiciones.

(PS 234, 20-22, Lettre à DOMINIQUE, FRERE, 1838-12-28): Quant au secours que nous attendons pour l'école des pauvres de Charlieu, continuez à prier et à faire prier. La prière bien faite est toute puissante.

(PS 234, 20-22, Carta a DOMINGO, HERMANO, 1838-12-28): En cuanto a la ayuda que esperamos para los pobres de la escuela de Charlieu, siga orando y haciendo orar. La oración bien hecha es todopoderosa.

(PS 238, 18-23, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1839-01-13): Dans cette persuasion, à la maison mère, a l'issue de la sainte messe nous avons récité pendant neuf jours les litanies de St. Joseph après avoir chanté le Ps(aume) Laudate Dominum. Nous vous engageons, aussitot la présente reçue, de faire la même neuvaine dans le moment de la journée qui vous conviendra le mieux.

(PS 238, 18-23, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1839-01-13): Persuadidos de ello, en la casa madre, al iniciar la santa misa hemos rezado durante nueve días las letanías de San José después de haber cantado el salmo Laudate Dominum. Os animamos, tan pronto como reciban la presente, a hacer la misma novena en el momento del día que mejor les convenga.

(PS 238, 27-30, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1839-01-13): Une violente hemorrhagie vient de nous enlever subitement le bon frère Pacôme. Je vous recommande de prier et de faire pour le repos de son âme comme notre s(ainte) Règle le prescrit.

(PS 238, 27-30, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1839-01-13): Una violenta hemorragia acaba de arrebatarnos repentinamente al buen Hermano Pacomio. Se los recomiendo en vuestras oraciones y que cumplan pidiendo por el reposo de su alma lo prescrito en nuestra Regla.

(PS 242, 18-21, Lettre à DOMINIQUE, FRERE, 1839-02-14): A l'Hermitage tout va à peu près. Nous avons déjà un certain nombre de malades venus des établissements. Prions tous ensemble pour eux afin que le bon Dieu leur aide à faire un saint usage de leur position.

(PS 242, 18-21, Carta a DOMINGO, HERMANO, 1839-02-14): En el Hermitage todo va más o menos. Ya tenemos cierto número de enfermos venidos de nuestros establecimientos. Oremos juntos por ellos para que Dios les ayude a hacer un santo uso de su situación.

(PS 244, 07-09, Lettre à BASIN, FRERE, 1839-02-23): Vous ne devez pas douter de mon attachement pour vous. Je ne monte pas une seule fois au Saint Autel que je ne prie pour vous..

(PS 244, 07-09, Carta a BASIN, HERMANO, 1839-02-23): No debe usted dudar de mi cariño hacia usted. No subo ni un día al altar sin pensar en usted. Oro por usted.

(PS 244, 12-14, Lettre à BASIN, FRERE, 1839-02-23): Marchez tous les jours de votre vie en la sainte présence de Dieu. Que sa sainte volonté soit le premier mobile de toutes vos actions.

(PS 244, 12-14, Carta a BASIN, HERMANO, 1839-02-23): Camine todos los días de su vida en la santa presencia de Dios. Que su santa voluntad sea el primer móvil de todas sus actividades.

(PS 247, 11-17, Lettre à AVIT, FRERE, 1839-03-10): Un autre très bon moyen pour acquérir les vertus religieuses, c'est vous le savez, mon cher ami, la pratique de la sainte présence de Dieu recommen-dée par tous les maîtres de la vie spirituelle. Pour les gens du monde, quelle ne soit que de conseil, pour les religieux elle est de commandement. Exercez vous y donc pendant le reste de ce carême..

(PS 247, 11-17, Carta a AVIT, HERMANO, 1839-03-10): Otro buen medio para adquirirlas virtudes religiosas es, como usted bien sabe, mi buen amigo, la práctica de la santa presencia de Dios, recomendada por todos, los maestros de la vida espiritual. Aunque para las personas del mundo no sea más que de consejo, para los religiosos es un mandato. Ejercítese, pues, en ella durante el resto de la cuaresma.

(PS 248, 19-20, Lettre à ANACLET, FRERE, 1839-03-23): Priez pour la prospérité de la mission de la Polinésie et unissez vous à ceux qui prient pour le même objet..

(PS 248, 19-20, Carta a ANACLETO, HERMANO, 1839-03-23): Ruegue por la prosperidad de la misión de la Polinesia y únase a los que oran por el mismo fin.

(PS 249, 04-07, Lettre à MARIE LAURENT, FRERE, 1839-04-08): Votre lettre, mon bien cher ami, excite singulièrement ma compassion. Depuis je ne monte pas une fois au St. Autel que je ne vous recommande à Celui en qui on n'espère pas en vain, qui peut nous faire surmonter les plus grands obstacles..

(PS 249, 04-07, Carta a MARIE LORENZO, HERMANO, 1839-04-08): Su carta, mi muy querido amigo, excita singularmente mi compasión. Desde entonces no subo ni a una vez al Santo Altar sin que le recomiende a Aquel a quien no se espera nunca en vano, que puede hacer sobreponernos a los mayores obstáculos.

(PS 249, 11-15, Lettre à MARIE LAURENT, FRERE, 1839-04-08): Sans vous nommer, nous commençons une neuvaine pour vous. Je vais encore dire la Sainte Messe à cette intention aujourd'hui, 8 avril, fête de l'Annonciation. Continuez à vous bien découvrir à votre confesseur qui est, je n'en doute pas, un saint prêtre..

(PS 249, 11-15, Carta a MARIE LORENZO, HERMANO, 1839-04-08): Sin nombrarle, comenzamos una novena por usted; también voy a decir la Santa Misa por sus intenciones hoy, 8 de abril, fiesta de la Anunciación. Siga consultando a su confesor, que es, no hay duda, un santo sacerdote.

(PS 249, 25-30, Lettre à MARIE LAURENT, FRERE, 1839-04-08): Nous faisons aussi des prières pour recommander la mission de l'Océanie, pour les membres de la société qui y sont et pour ceux qu'on se dispose à y envoyer. Nous sommes à la veille d'envoyer des frères à Bordeaux. Dans les établissements, comme à la maison-Mère tout continue à marcher comme à l'ordinaire..

(PS 249, 25-30, Carta a MARIE LORENZO, HERMANO, 1839-04-08): Estamos también rezando para recomendar las misiones de Oceanía, por los miembros de la Sociedad que allí están y por los que se disponen a ir. Estamos en vísperas de enviar Hermanos a Burdeos En los establecimientos, como en la casa madre todo sigue como de ordinario.

(PS 249, 34-38, Lettre à MARIE LAURENT, FRERE, 1839-04-08): Nous avons obtenu à Grenoble cinq brevets: frère Denis, frère Antoine Régis, fr. Gabriel, fr. Prosper, fr. Sylvestre; nous n'avons envoyé personne ailleurs. Frère Jean Chrisostôme est toujours dangereusement malade. Nous ne croyons pas qu'il s'en tire. Priez pour lui..

(PS 249, 34-38, Carta a MARIE LORENZO, HERMANO, 1839-04-08): Hemos obtenido en Grenoble cinco certificados: los Hermanos Denis, Antoine-Regis, Gabriel, Prosper y Sylvestre. No hemos enviado a nadie fuera. El H. Juan Crisóstomo sigue todavía peligrosamente enfermo. No creemos que pueda salir. Rueguen por él.

(PS 252, 02-07, Lettre à PICCOLET MARIE FRANÇOIS, PRETRE, 1839-05-12): Nous benissons le Seigneur de ce qu'il facilite aux habitans de la commune de Cluse le moyen d'avoir bientôt de zélés instituteurs dans les bons frères de la congrégation de Ste. Croix. Il doit être indifférent pour nous que Dieu se serve de cette société plutôt que la notre, parceque nous devons chercher en tout sa plus grande gloire..

(PS 252, 02-07, Carta a PICCOLET MARIA FRANCISCO, SACERDOTE, 1839-05-12): Bendecimos al Señor el que haya facilitado a los habitantes del municipio de Cluse el medio de tener pronto celosos maestros en los buenos Hermanos de la Congregación de la Santa Cruz. Debe ser indiferente para ustedes el que Dios se sirva de esa sociedad antes de que la nuestra, porque debemos buscar en todo su mayor gloria.

(PS 259, 03-10, Lettre à UN FRERE, FRERE, 1839-07-20): Le bonheur d'être enfant de Marie vaut bien quelque combat et quelque sacrifice. Outre ce qu'on peut dire à Jésus, que n'a-t-on pas droit de dire à Marie: pourquoi serais-je le premier qui vous aurait invoqué, plus que cela, qui aurait été votre enfant. Dites donc à Marie que l'honneur de sa Société exige qu'elle vous conserve chaste comme un ange. Le moyen que vous prenez en pensant à la mort et pasion de Notre Seigneur Jésus Christ. Tenez vous occupé..

(PS 259, 03-10, Carta a UN HERMANO, HERMANO, 1839-07-20): La dicha de ser hijo de María bien vale algún combate y algún sacrificio. Además de lo que se puede decir a Jesús, qué no se debe decir a María: porque sería yo el primero que le hubiera invocado, mejor aún, que hubiera sido su hijo. Dígale pues a María que el honor de su Sociedad exige que le conserve casto como un ángel. El medio que usted toma pensando en la pasión y muerto de Nuestro Señor Jesucristo... Manténgase ocupado.

(PS 263, 09-17, Lettre à DE VIRIEU STÉPHANIE, LAIQUE, 1839-08-09): Ce serait avec un bien sensible plaisir que nous enverrions des ff(rères) pour commencer l'écellente oeuvre pour laquelle vous vous interesez si vivement, mais les établissements que nous pouvons faire cette année sont déjà tous promis, de sorte qu'il ne nous serait pas possible, pour le moment, de nous rendre à vos pieux désirs. Nous espérons que le Pére de famille augmentera le nombre de ses ouvriers, et que bientôt nous aurons la satisfaction d'en envoyer travailler sous votre protection..

(PS 263, 09-17, Carta a DE VIRIEU ESTEFANIA, SEGLAR, 1839-08-09): Sería un sumo placer para nosotros el poder enviar inmediatamente Hermanos para comenzar la excelente obra por la que usted se interesa tan vivamente, pero los establecimientos que podemos atender este año están todos prometidos, de modo que no nos sería posible, por el momento, atender sus piadosos deseos. Esperamos que el Padre de familia aumente el número de sus servidores y que pronto tengamos la satisfacción de enviarlos a trabajar bajo su protección.

(PS 266, 02-07, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1837-09-09): Le mois prochain sera pour nous un temps précieux et bien avantageux, puisque nous aurons le bonheur de nous réunir pour prendre un peu de repos sous les auspices de Marie notre tendre Mère. Là, unis d'esprit et de coeur, nous goûterons les fruits délicieux que Dieu a promis par son prophète (Ps 131) aux frères qui vivent dans l'union..

(PS 266, 02-07, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1837-09-09): Mis muy queridos Hermanos: El próximo mes será para nosotros un tiempo precioso y muy ventajoso, pues tendremos la dicha de reunirnos para tomar un poco de reposo bajo los auspicios de María, nuestra tierna Madre. Ahí, unidos en espíritu y corazón, saborearemos los frutos deliciosos que Dios ha prometido por su profeta (Ps. 131) a los hermanos que viven unidos.

(PS 266, 34-42, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1839-09-09): Lire le chap(itre) de la Régle. Vous aurez soin de remplir exactement la statistique ci-jointe que vous remettrez en arrivant avec le livre de comptes au Frère désigné pour cela. Pour que vous puissiez facilement régler avec le Frère bibliothécaire, nous vous envoyons le montant de vos factures. V(ous) savez que la retraite commence les premiers jours d'octobre..

(PS 266, 34-42, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1839-09-09): Lean el capítulo X de la Regla. Tengan cuidado de llenar exactamente las estadísticas adjuntas que entregarán al llegar, con el libro de cuentas, al Hermano designado para ello. Para que puedan fácilmente arreglarse con el H. Bibliotecario, les envío el total de sus facturas, que se elevan a la cantidad de:......; gastos personales...; Total:... Ya saben que el retiro empieza en los primeros días de octubre.

(PS 275, 08-10, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1839-10-06): Permettez, puisque la Sainte Vierge a bien voulu que vous soyez la ressource de ses enfants, permettez que je vienne vous ennuier..

(PS 275, 08-10, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1839-10-06): Permítame, puesto que la Santísima Virgen ha querido que usted fuese el recurso de sus hijos, permítame que venga a molestarle.

(PS 275, 27-29, Lettre à MAZELIER FRANÇOIS, SUPÉRIEUR SPTCH, 1839-10-06): Nous faisons en ce moment notre retraite. Elle est bien nombreuse. Je la je la recommende bien à vos bonnes prieres et à celles de vos bons frères..

(PS 275, 27-29, Carta a MAZELIER FRANCISCO, SUPERIOR SPTCH, 1839-10-06): En este momento estamos haciendo nuestro retiro. La asistencia es numerosa. Se lo recomiendo a sus buenas oraciones y a las de sus buenos Hermanos.

(PS 297, 02-08, Lettre à BERTHIER ANDRÉ, VICAIRE GENERAL, 1839-11-19): Depuis que Monseigneur a eu la bonté d'agréer nos frères pour l'enseignement des enfants de la Côte-St.-André ils ont eu la libertçé d'assister gratuitement avec leurs élèves internes, dans l'eglise du petit séminaire aux vêspres et aux autres offices solennels. Ils y sont entièrement séparés des séminaristes par une barrière fort élevée et n'óccupent que la partie supérieure de l' ndroit destiné aux fid les de la ville..

(PS 297, 02-08, Carta a BERTHIER ANDRÉS, VICARIO GENERAL, 1839-11-19): Desde que Monseñor tuvo la bondad de aceptar a nuestros Hermanos para la enseñanza de los niños de la Côte-St.-André, han tenido la libertad de asistir gratuitamente, con sus alumnos internos, a la iglesia del seminario menor, a las Vísperas y a los otros oficios solemnes. Están completamente separados de los seminaristas por una barrera muy alta y no ocupan más que la parte superior del lugar destinado a los fieles de la ciudad.

(PS 297, 20-27, Lettre à BERTHIER ANDRÉ, VICAIRE GENERAL, 1839-11-19): Si Monseigneur voulait le permettre, peut-être serait-il possible dans la suite, afin de lever tous les inconvénients, de trouver dans la maison des Frères un lieu convenable pour y célébrer les offices solennels et y chanter les vêpres. Vous savez, Monsieur le Vicaire Général, que l'éloignement de l'Eglise paroissiale, la petitesse du local qui y est destiné pour les enfants, ne permettent pas aux él ves pensionnaires des frères de s'y rendre..

(PS 297, 20-27, Carta a BERTHIER ANDRÉS, VICARIO GENERAL, 1839-11-19): Si Monseñor quisiera permitirlo, quizá sería fácil en lo sucesivo, a fin de suprimir todos los inconvenientes, hallar en la casa de los Hermanos un lugar conveniente para celebrar allí los oficios solemnes y cantar Vísperas. Usted sabe, Sr. Vicario General, que la lejanía de la iglesia parroquial, lo reducido del local destinado en ella a los niños, no permiten que los alumnos pensionistas de los Hermanos vayan a ella.

(PS 313, 084-087, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-01-10): 2º L'ouverture en sera faite par la récitation du Veni Sancte et de l'Ave Maria, et la lecture de la présente circulaire suivie de l'exposition des matières religieuses par les frères qui en seront chargés..

(PS 313, 084-087, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-01-10): La apertura se iniciará con el rezo del Veni Sancte y el Ave María y la lectura de la presente circular seguida de la exposición de las materias religiosas por los Hermanos encargados.

(PS 313, 100-104, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-01-10): 6º La durée de la conférence sera de trois heures environs. Avant de conclure on annoncera les matières de la prochaine conférence, puis on récitera le Sub tuum. 7º Un procès verbal de tout ce qui se sera passé à la conférence sera dressé par le président et deux autre frères à son choix..

(PS 313, 100-104, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-01-10): La duración de la conferencia será aproximadamente de tres horas. Antes de concluir se anunciarán los temas de la próxima conferencia; luego se rezará el Sub tuum. Un proceso verbal de cuanto haya pasado en la conferencia será elevado por el presidente y otros dos Hermanos a su elección.

(PS 313, 107-116, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-01-10): N(os) T(rès) C(hers) F(rères), Nous répondons à un besoin de vos coeurs en vous invitant à nous unir tous, aux pieds de Jésus et de Marie, pour demander la conservation de notre bon père Supérieur dont la santé est toujours bien chancelante. Pendant neuf jours, nous réciterons les litanies de la Sainte Vierge et le memorare, nous assisterons à la Sainte Messe et nous ferons nos communions à cette intention. Vous intéresserez vos enfants à cette oeuvre de reconnaissance et de piété. Votre très affectionné frère, FRANÇOIS..

(PS 313, 107-116, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-01-10): Queridos Hermanos: Respondemos a un ferviente deseo de sus corazones e invitamos a todos a unirnos a los pies de Jesús y de María para rogar por la conservación de nuestro buen Padre Superior, cuya salud sigue siendo muy delicada. Durante nueve días rezaremos las letanías de la Santísima Virgen y el Acordaos, asistiremos a la Santa Misa y haremos nuestras comuniones a esta intención. Que nuestros alumnos se interesen en esta obra de agradecimiento y piedad. Su Hermano que los estima, Francisco.

(PS 314, 02-11, Lettre à DE BONALD LOUIS JACQUES MAURICE, ARCHEVEQUE, 1840-01-16): Le Supérieur des Petits Frères de Marie ose dévancer l'heureux moment qui doit vous donner à nous veux at à nos désirs pour offrir à Votre Grandeur l'hommage de son profond respect et de ses très-humbles félicitations. Nous avons tous resenti la joie la plus vive en apprenant l'heureux choix qui vous appelle à gouverner la célèbre Eglise de Lyon. Pleins de reconnaissance, nous nous sommes unis à tous les fidèles du diocèse pour remercier le bon Dieu de nous avoir donné dans votre auguste personne un si digne et si saint Prélat, un Pontife si zélé et si charitable..

(PS 314, 02-11, Carta a DE BONALD LUIS JACOBO MAURICIO, ARZOBISPO, 1840-01-16): El Superior de los Hermanitos de María se atreve a anticipar el feliz momento que debe daros a nuestros anhelos y deseos para ofrecer a Vuestra Grandeza el homenaje de su profundo respeto y de sus muy humildes felicitaciones. Todos hemos experimentado la más viva alegría al conocer la feliz elección que os llama a gobernar la célebre iglesia de Lyon. Llenos de agradecimiento nos hemos unido a todos los fieles de la diócesis para agradecer a Dios el habernos dado en vuestra persona tan digno y santo prelado, un Pontífice tan celosos y caritativo.

(PS 318, 10-13, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-02-04): Nous avons tout lieu de croire que sa mort aura été précieuse aux yeux du Seigneur, mais vous le savez, N(os) T(rès) C(hers) F(rères), il faut être bien pur aux regards du souverain juge pour être admis dans l'assemblée des saints..

(PS 318, 10-13, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-02-04): Tenemos todos los motivos para creer que su muerte ha sido preciosa a los ojos del Señor, pero ya saben, mis queridos Hermanos, hay que presentarse muy puros ante la mirada del Supremo juez para ser admitidos en la asamblea de los santos.

(PS 318, 36-40, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-02-04): Continuons, N(os) T(rès) C(hers) F(rères), à prier le Seigneur d'une manière particulière pour notre intéressante mission de la Polynésie, afin que le bon Dieu fasse triompher la vraie foi et confonde l'hérésie au milieu de ces vastes contrées confiées à la Soci té de Marie..

(PS 318, 36-40, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-02-04): Sigamos, queridos Hermanos, orando al Señor por nuestra interesante misión de Polinesia, a fin de que Dios haga triunfar la verdadera fe y confunda la herejía en medio de esas amplias comarcas confiadas a la Sociedad de María.

(PS 318, 40-50, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-02-04): Nous vous recommandons spécialement les deux pères Pezant et Tripe et les chers frères Claude Marie et Ammon qui partent du port de Brest au commencement de ce mois pour se rendre à la Nouvelle Zelande. Ce dernier départ est dû à la bienveillance du gouvernement qui a offert à nos missionnaires quatre places gratuites à bord de la corvette l'Aube. Nous apprenons aujourd'hui qu'ils son très bien vus dans le vaisseau, que les pères auront la facilité de célébrer chaque jour la sainte messe.

(PS 318, 40-50, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-02-04): Les recomendamos especialmente a los dos Padres Pezant y Tripe y a los queridos Hermanos Claude-Marie y Ammon, que salen del puerto de Brest a primeros de este mes para dirigirse a Nueva Zelanda Esta última salida es debida a la benevolencia del gobierno, que ha ofrecido a nuestros misioneros cuatro plazas gratuitas en la corbeta "L'Aube". Nos comunican hoy que están muy bien vistos a bordo, que los Padres tendrán la facilidad de celebrar cada día la santa Misa.

(PS 318, 58-63, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-02-04): [Chemin-Neuf, Lyon]: P.S. Nous attendons vainement des nouvelles du frere J(ean) Christotome et un relevé de vos comptes et il n'arrive rien. Votre retraite, mon cher frere Directeur, n'est pas encore faites. je pense, cela vous interesse personnellement. Tachez de ne pas pousser cette oeuvre de votre sanctification plus loin. Saisissez le premier moment que vous pourriez avoir. Tout à vous..

(PS 318, 58-63, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-02-04): P.S.- Espero en vano noticias del Hermano Jean Chrisostome y una relación de sus cuentas y no llega nada. Su retiro, mi querido H Director, no está todavía hecho y creo que eso le interesa personalmente. Trate de no llevar esa obra de su santificación más lejos. Aproveche el primer momento que pueda. Todo suyo.

(PS 319, 10-13, Lettre à LATOUR D'AUVERGNE L. HUGHES J.C., CARDINAL, 1840-02-11): Que le bon Dieu en soit mille fois béni et qu'il conserve à Votre Eminence des jours aussi longs et aussi heureux qu'il seront utiles à la Religion et remplis d'oeuvres de z le et de sainteté..

(PS 319, 10-13, Carta a LATOUR D'AUVERGNE L. HUGO J.C., CARDENAL, 1840-02-11): Dios sea mil veces bendito y conserve a Su Eminencia días tan largos y provechosos como útiles a al Religión, llenos de obras de celo y santidad.

(PS 328, 07-12, Lettre à l’INSTITUT, FRERES, 1840-03-14): Ses funérailles y ont été célébrées avec beaucoup de solennité. Nous nous sommes aussi acquittés à la maison mère, le mieux qu'il nous a été possible, de ce que prescrit la Sainte Règle en pareille occassion. Veuillez en en faire de même pour le repos de l'âme de ce bon frère, cher à notre souvenir par sa piété et son dévouement..

(PS 328, 07-12, Carta a INSTITUTO, HERMANOS, 1840-03-14): Sus funerales se han celebrado con mucha solemnidad. También hemos cumplido en la casa madre lo mejor que hemos podido con lo que prescribe la santa Regla en tales casos. Sírvanse hacer lo mismo por el descanso del alma de ese buen Hermano, querido en nuestro recuerdo por su piedad y abnegación.

ORANDO A MARIA

DESDE MARCELINO

(CONS1986: 025,01): Para alimentar nuestro trato amoroso con el Señor, somos fieles al encuentro con él en la oración, especialmente en la meditación. Así podremos asumir en paz la soledad inherente al celibato.

(CONS1986: 025,01): Pour entretenir notre relation d’amour avec le Seigneur, nous sommes fidèles à le rencontrer dans la prière, spécialement dans l’oraison. Ainsi, pouvons-nous assumer dans la paix la solitude inhérente au célibat.

(CONS1986: 031,02): Esa pobreza nos impulsa incesantemente a la oración, que reaviva el ánimo y la confianza, y nos hace descansar en la paz del pobre que se abandona a la Providencia divina.

(CONS1986: 031,02): Elle nous fait recourir sans cesse à la prière que ranime le courage et la confiance. Elle nous établit dans la paix du pauvre qui s’abandonne à la Providence.

(CONS1986: 042,02): El Superior desempeñará su cargo como un servicio. Será el primero en obedecer a las Constituciones y arrastrará con su ejemplo a los Hermanos a seguir a Cristo. Manténgase atento a la acción del Espíritu por la oración asidua y escuchando a sus Hermanos. En las entrevistas personales discernirá con cada uno de ellos lo que el Señor les va pidiendo.

(CONS1986: 042,02): Le Supérieur accomplira sa charge comme un service. Il sera le premier à obéir aux Constitutions et entraînera ses Frères sur la voie tracée par le Christ. Dans la prière assidue et dans l’écoute de ses Frères, il restera attentif à l’action de l’Esprit. Lors des entrevues, il discernera avec chacun les attentes du Seigneur.

(CONS1986: 053,03): La perseverancia de los Hermanos mayores es un testimonio de la fidelidad del Señor. Estos Hermanos no dan por terminada su tarea, sino que tratan de prestar los servicios que sus fuerzas les permiten, y se interesan por el trabajo de los Hermanos en activo. Por la oración y el ofrecimiento de sus achaques ejercen un apostolado eficaz. La comunidad los rodea de respeto y cariño.

(CONS1986: 053,03): La persévérance du Frère âgé témoigne de la fidélité du Seigneur. Il ne croit pas sa tâche achevée, mais cherche à rendre service autant qu’il le peut et s’intéresse aux Frères en activité. Par la prière et par l’offrande de ses infirmités, il exerce un apostolat efficace. La communauté l’entoure de respect et d’affection.

(CONS1986: 055,01): La comunidad se muestra solícita con el Hermano que llega al término de su vida. Todos lo consuelan con su presencia y oración. La Eucaristía, recibida como viático, lo ayuda a consumar su consagración. El Hermano puede, así, gustar la dicha de morir en la familia de María.

(CONS1986: 055,01): La communauté manifeste une grande sollicitude envers le confrère arrivé au terme de sa vie. Chacun de ses membres lui apporte le réconfort de sa présence et de sa prière. L’Eucharistie reçue en viatique l’aide à parachever sa consécration. Le Frère peut ainsi goûter le bonheur de mourir dans la famille de Marie.

(CONS1986: 057,01): La oración en común es un elemento esencial en la vida de la comunidad marista. Reunida en nombre de Jesús, la comunidad se construye cada día, especialmente en la oración.

(CONS1986: 057,01): La prière en commun est un élément essentiel à la vie de la communauté mariste. Réunie dans la foi au nom de Jésus, c’est d’abord dans la prière qu’elle s’édifie chaque jour.

(CONS1986: 057,02): Todos somos solidariamente responsables de esta oración; cada uno es ayudado por la presencia y el ejemplo de los Hermanos. En ella convergen los elementos que forman la trama diaria de nuestras vida. La oración comunitaria alcanza su culmen en la celebración de la Eucaristía.

(CONS1986: 057,02): Nous sommes tous solidairement responsables de cette prière; chacun est aidé par la présence et par l’exemple des confrères. Elle intègre ce qui fait le tissu quotidien de nos vies. C’est principalement dans l’Eucharistie que la prière communautaire trouve sa réalisation la plus parfaite.

(CONS1986: 061.02): En cada residencia hay un oratorio. Es el lugar ordinario para la oración comunitaria. La presencia eucarística hace de él el centro de la comunidad.

(CONS1986: 061.02): Dans chaque résidence, il y a un oratoire. Il est le lieu ordinaire de la prière communautaire. La présence eucharistique en fait le centre de la communauté.

(CONS1986: 062): La comunidad marista acoge a cuantos llegan como si recibiera a Jesús en persona; vive así, de forma concreta, la fraternidad universal. Inserta en su medio, como levadura en la masa, debe, al mismo tiempo, abrirse a toda la humanidad en la oración y en el apostolado.

(CONS1986: 062): La communauté mariste accueille ceux qui viennent à elle comme si elle recevait Jésus en personne, vivant ainsi, de manière concrète, la fraternité universelle. Insérée dans son milieu, comme le levain dans la pâte, elle doit, en même temps, dans sa prière et son apostolat, s’ouvrir à toute l’humanité.

(CONS1986: 063,03): Pero comprobamos también el desfase entre esta gracia, siempre ofrecida, y nuestra vida concreta. Por eso oramos para permanecer unidos, a pesar de las dificultades, en el nombre del Señor Jesús.

(CONS1986: 063,03): Cependant, nous ne cessons de percevoir le décalage entre cette grâce toujours offerte et la réalité de notre vie. Aussi, prions-nous pour rester, malgré les difficultés, unis au nom du Seigneur Jésus.

(CONS1986: 064,01): Jesús, en diálogo con el Padre, nos enseña a escuchar a Dios y a responderle. Pendiente del Padre en la aceptación de su condición de Hijo encarnado y del designio de salvación que debe realizar, le expresa su anhelo y amor, su alabanza y gratitud, su angustia y gozo en el Espíritu.

(CONS1986: 064,01): Jésus, conversant avec le Père, nous apprend à écouter Dieu et à lui répondre. Constamment tourné vers le Père dans l’acceptation de sa condition de Fils incarné et du dessein de salut qu’il doit accomplir, il lui dit son désir et son amour, sa louange et son action de grâce, son angoisse et sa joie dans l’Esprit.

(CONS1986: 064,02): Vivimos nuestra oración como una gracia de participación en la oración de Cristo.

(CONS1986: 064,02): Nous vivons notre prière comme une grâce de participation à la prière du Christ.

(CONS1986: 065,01): Toda oración cristiana brota de un corazón atento al Espíritu Santo, que nos introduce en la intimidad trinitaria y nos permite exclamar con el Hijo: "¡Abba, Padre!" (Rm 8,15) .

(CONS1986: 065,01): Toute prière chrétienne jaillit d’un coeur à l’écoute de l’Esprit-Saint qui nous introduit dans l’intimité de la Trinité et nous donne de pouvoir crier avec le Fils: Abba! Père!.

(CONS1986: 065,02): El recogimiento y el silencio interior son necesarios para permanecer atentos al Espíritu, que habita y ora en nosotros.

(CONS1986: 065,02): Le recueillement et le silence intérieur sont nécessaires pour rester attentifs à l’Esprit qui nous habite et prie en nous.

(CONS1986: 066,01): La Palabra de Dios, meditada en la Sagrada Escritura y celebrada en la liturgia, es manantial permanente de nuestra oración. El trabajo, los acontecimientos, las llamadas de nuestros Hermanos, de la Iglesia y del mundo alimentan también nuestra oración cotidiana.

(CONS1986: 066,01): La parole de Dieu, méditée dans la Sainte Ecriture et célébrée dans la liturgie, est une source permanente pour notre prière. Le travail, les événements, les appels de nos Frères, de l’Église et du monde nourrissent aussi notre prière quotidienne.

(CONS1986: 067,01): María es para nosotros modelo de oración. Virgen de la Anunciación, acoge la Palabra de Dios. Mujer bendita entre todas, exulta de gozo en Dios, su Salvador. Sierva fiel, vive su sí hasta la Cruz. Madre, confronta en su corazón los hechos de su Hijo con las palabras de la Escritura. En Caná hace valer su intercesión y en el Cenáculo ora con la Iglesia.

(CONS1986: 067,01): Marie est pour nous modèle de prière. Vierge de l’Annonciation, elle accueille la parole de Dieu. Femme bénie entre toutes, elle exulte de joie en Dieu son Sauveur. Servante fidèle, elle vit son OUI jusqu’à la Croix. Mère, elle confronte, dans son coeur, les actes de son Fils avec les paroles de l’Ecriture. Elle intercède à Cana et prie en Église au Cénacle.

(CONS1986: 067,02): Nosotros, Hermanos Maristas, al orar con María participamos en su alabanza, acción de gracias e intercesión.

(CONS1986: 067,02): Frères Maristes, en priant avec Marie, nous communions à sa louange, à son action de grâce, à son intercession.

(CONS1986: 068,01): El Padre Champagnat, por el ejercicio de la presencia de Dios, llegó a vivir en oración continua, aun en medio de las ocupaciones más absorbentes. Recurría sin cesar a Dios. "Nunca, decía, me atrevería a emprender nada sin antes habérselo encomendado a Dios mucho tiempo" (V.315). Al celebrar la Eucaristía y en las frecuentes visitas al Santísimo Sacramento, su fe profunda le hacía casi sensible la presencia de Jesús. se dirigía a María con la confianza de un niño.

(CONS1986: 068,01): Le Père Champagnat, en vivant dans la présence de Dieu, parvint à une prière continuelle, même au milieu des occupations des plus absorbantes. Il recourait sans cesse à Dieu. “Jamais, disait-il, je n’oserais entreprendre une chose sans l’avoir longtemps recommandée à Dieu.” Quand il célébrait l’Eucharistie et lors de ses nombreuses visites au Saint-Sacrement, une foi profonde lui rendait comme sensible la présence de Jésus. Il s’adressait à Marie avec la confiance d’un enfant.

(CONS1986: 068,02): En la formación de los Hermanos insistía, con frecuencia, sobre la oración, a la que llamaba "el punto capital" (V.318). Su ejemplo nos enseña a convertir nuestra vida en oración.

(CONS1986: 068,02): Dans la formation des Frères, il revenait souvent sur la prière qu’il appelait “le point capital”. Son exemple nous enseigne à faire de toute notre vie une prière.

(CONS1986: 070,01): Cristo asegura que está en medio de quienes se reúnen en su nombre.

(CONS1986: 070,01): Le Christ assure sa présence à ceux qui sont réunis en son nom.

(CONS1986: 070,02): Al celebrar la liturgia de las horas, concordamos nuestra oración con la de Jesús, especialmente por los salmos, que él también rezaba. Con la Iglesia, tributamos a Dios alabanza en nombre de toda la creación y participamos en la intercesión que el Hijo presenta al Padre.

(CONS1986: 070,02): En célébrant la liturgie des heures, nous accordons notre prière à celle de Jésus, spécialement par les psaumes avec lesquels il a prié. En Église, nous exprimons à Dieu la louange au nom de toute la création, et nous entrons dans l’intercession que le Fils présente au Père.

(CONS1986: 070,03): Esta liturgia, celebrada en comunidad, mantiene y renueva nuestra oración personal. Bien celebrada, es un testimonio para quienes rezan con nosotros.

(CONS1986: 070,03): Cette liturgie, faite en communauté, soutient et renouvelle notre prière personnelle. Bien célébrée, elle comporte une valeur de témoignage pour ceux qui prient avec nous.

(CONS1986: 070,04): Laudes constituyen la oración de la mañana, y vísperas, la de la tarde.

(CONS1986: 070,04): Les Laudes constituent la prière du matin, et les Vêpres, celle du soir.

(CONS1986: 070.02): Ponemos cuidado en animar la oración comunitaria y empleamos los medios que la favorecen.

(CONS1986: 070.02): Nous veillons à l’animation de la prière et utilisons les moyens qui la facilitent.

(CONS1986: 070.03): Circunstancialmente, invitamos a compartir nuestra oración a personas allegadas, amigos, jóvenes, antiguos alumnos, otras comunidades religiosas.

(CONS1986: 070.03): A l’occasion, nous invitons parents, amis, jeunes, anciens élèves, autres communautés religieuses, à partager notre prière.

(CONS1986: 071,02): En la meditación, encuentro personal con el Señor, aprendemos poco a poco a contemplar con mirada de fe nuestra vida, las personas y los acontecimientos. Encontramos en ella inspiración y aliento para continuar la acción a laque Jesús nos llama. A su vez, la acción nos lleva de nuevo a la oración, que recoge así las penas y alegrías, las angustias y esperanzas de quienes pone Dios en nuestro camino.

(CONS1986: 071,02): Dans l’oraison, rencontre personnelle avec le Seigneur, nous apprenons peu à peu à voir notre vie, les personnes et les événements, avec un regard de foi. Nous y trouvons inspiration et force pour continuer l’action à laquelle Jésus nous appelle. Celle-ci, à son tour, nous ramène à la prière qui porte alors les joies et les peines, les angoisses et les espérances de ceux que Dieu met sur notre chemin.

(CONS1986: 071,03): Seguros de la ternura del Padre, perseveramos en la meditación con fe y entereza, a pesar de las dificultades que podamos encontrar en ella; le dedicamos diariamente media hora, por lo menos, y la prolongamos durante el día por el ejercicio de la presencia de Dios.

(CONS1986: 071,03): Sûrs de la tendresse du Père, nous persévérons dans l’oraison avec foi et courage, malgré les difficultés que nous pouvons y rencontrer. Nous y consacrons chaque jour au moins une demi-heure, et la prolongeons pendant la journée, par l’exercice de la présence de Dieu.

(CONS1986: 071.01): Corresponde a cada comunidad crear las condiciones que ayuden a sus miembros a aprovechar bien el tiempo de la meditación.

(CONS1986: 071.01): Il revient à chaque communauté de créer les conditions qui aideront ses membres à profiter du temps quotidien d’oraison.

(CONS1986: 071.02): A lo largo del día dedicamos tiempos gratuitos de recogimiento, preferentemente ante el Santísimo, para reavivar nuestro amor a Cristo e intimidad con él.

(CONS1986: 071.02): Au cours de la journée, nous prenons des temps gratuits de recueillement, de préférence devant le Saint-Sacrement, pour raviver notre amour du Christ et notre intimité avec lui.

(CONS1986: 072,01): La oración y la ascesis desapegan progresivamente nuestro corazón de cuanto impide ser de Dios.

(CONS1986: 072,01): La prière et l’ascèse détachent progressivement notre coeur de ce qui l’empêche d’être à Dieu.

(CONS1986: 073,01): La lectura espiritual y el estudio religioso, realizados en actitud de oración, son medios indispensables para robustecer la fe. Son alimento de la cultura religiosa y nos capacitan para impartir la catequesis. Cada uno tiene el derecho y el deber de dedicarles tiempo suficiente.

(CONS1986: 073,01): La lecture spirituelle et l’étude religieuse, faites en esprit de prière, sont des moyens indispensables pour nourrir notre foi. Elles nous permettent ainsi d’entretenir notre culture religieuse et de rester aptes à faire la catéchèse. Chacun a le droit et le devoir d’y consacrer un temps suffisant.

(CONS1986: 074,02): A ejemplo del Padre Champagnat, acudimos a María como el niño acude a su madre. Estrechamos nuestra relación con ella por la oración y el estudio dela doctrina mariana. Sus principales celebraciones, en particular la Asunción, fiesta patronal del Instituto, son tiempos privilegiados para intensificar la devoción a nuestra buena Madre.

(CONS1986: 074,02): A l’exemple du Père Champagnat, nous allons à Marie comme un enfant va à sa mère. Nous cherchons à approfondir notre relation avec elle par la prière et par l’étude de la doctrine mariale. Ses principales célébrations, particulièrement celle de l’Assomption, fête patronale de l’Institut, sont des temps privilégiés pour intensifier notre dévotion envers cette bonne Mère.

(CONS1986: 077,01): La oración es para nosotros una necesidad absoluta. No se limita a los ejercicios de piedad, ni se identifica con el trabajo apostólico: es presencia y comunión con Dios, que se hace más cercano cuando atendemos a los demás. Poco a poco unifica nuestra vida y llega a convertirse en oración continua, que penetra nuestra acción y se hace perceptible en nuestro rededor.

(CONS1986: 077,01): La prière est pour nous une nécessité absolue. Elle ne se limite pas aux exercices de piété et ne s’identifie pas non plus au travail apostolique. Elle est présence et communion à Dieu, rendu plus proche par notre attention aux autres. Peu à peu, elle unifie notre vie et tend à devenir continuelle, pénétrant notre action et rayonnant sur notre entourage.

(CONS1986: 077,02): Cada uno de nosotros es el primer responsable de su oración personal y corresponsable de la oración comunitaria.

(CONS1986: 077,02): Chacun de nous reste le premier responsable de sa prière personnelle et partage la responsabilité de la prière communautaire.

(CONS1986: 077.01): La comunidad organiza su oración según lo indicado en las Constituciones. Para favorecer el crecimiento espiritual de sus miembros, la comunidad evalúa periódicamente sus formas de oración y permanece abierta a otros modos de orar capaces de promoverlo.

(CONS1986: 077.01): La communauté organise sa prière selon les exigences des Constitutions. Elle évalue périodiquement ses choix, en vue de la croissance spirituelle de ses membres. Elle reste ouverte à d’autres formes capables de promouvoir cette croissance.

(CONS1986: 077.02): Para los días de asueto y vacaciones señalamos los momentos de oración comunitaria.

(CONS1986: 077.02): Les jours de congé et durant les vacances, nous prévoyons des temps de prière communautaire.

(CONS1986: 077.03): Aprovechamos las vacaciones y ciertos períodos de la vida, enfermedad, ancianidad para dedicar más tiempo a la oración personal.

(CONS1986: 077.03): Nous profitons des vacances et de certaines périodes de la vie: maladie, vieillesse, pour consacrer plus de temps à la prière personnelle.

(CONS1986: 081,02): Se siente llamado (Marcelino) a formar religiosos para educar cristianamente a los niños del campo, de quien nadie se ocupa. Según él, la misión del Hermano consiste en ayuda a los niños y jóvenes a llegar a ser, ante todo, "buenos cristianos y buenos ciudadanos" (C 273,89). Hombre de fe, (Marcelino) estima la oración como el mejor medio para hacer dócil el corazón de los alumnos. Para Marcelino Champagnat el ejemplo y la presencia prolongada son elementos importantes de la pedagogía marista, que él resume así: "Para educar bien a los niños es preciso amarlos" (V.538).

(CONS1986: 081,02): Il se sent appelé à former des religieux pour l’éducation chrétienne des petits campagnards, dont personne ne s’occupe. Pour lui, la mission du Frère consiste à aider les enfants et les jeunes à devenir de “bons chrétiens et de bons citoyens”. Homme de foi, il croit d’abord en la prière qui rend docile le coeur des élèves. L’exemple et la présence prolongée sont des éléments importants de la pédagogie mariste qu’il résume ainsi: “Pour bien élever les enfants, il faut les aimer.”

(CONS1986: 082,02): Cuanto más unida y acogedora sea la comunidad y más animada por el espíritu de oración y celo, tanto más eficaz será nuestro trabajo. Cuando nuestra vida irradia esperanza y gozo cristianos, suscitamos en los jóvenes el deseo de comprometerse a seguir a Cristo.

(CONS1986: 082,02): Nous travaillons d’une manière d’autant plus efficace que la communauté est unie et accueillante, animée par l’esprit de prière et de zèle. Quand notre vie rayonne la joie et l’espérance chrétiennes, nous donnons aux jeunes l’envie de s’engager à la suite du Christ.

(CONS1986: 087.01): Cada año establecemos el programa pastoral en nuestras escuelas, de acuerdo con la comunidad eclesial. Este programa abarca, de modo particular, lo concerniente a los movimientos apostólicos y a la educación de la fe: catequesis, oración, sacramentos.

(CONS1986: 087.01): Dans nos écoles, nous établissons chaque année un programme pastoral, en lien avec la communauté ecclésiale. Ce programme envisage, notamment, ce qui concerne les mouvements apostoliques et l’éducation de la foi: catéchèse, prière, sacrements.

(CONS1986: 088,03): Mantenemos relación con los antiguos alumnos por el afecto y la oración. Aceptamos gustosos su cooperación en la marcha de la escuela. Los animamos a comprometerse en el servicio a la Iglesia y al mundo y, si se presenta ocasión, les ofrecemos nuestro consejo.

(CONS1986: 088,03): Nous continuons à rester proches de nos anciens élèves par l’affection et par la prière. Nous acceptons volontiers leur coopération à la marche de l’école. Nous les conseillons, à l’occasion, et les encourageons à s’engager au service de l’Église et du monde.

(CONS1986: 088.02): Suscitamos y fomentamos el compromiso cristiano de nuestros colaboradores seglares: en catequesis, movimientos apostólicos, grupos de oración y pastoral de las vocaciones.

(CONS1986: 088.02): Nous suscitons et entretenons l’engagement chrétien de nos collaborateurs laïques dans la catéchèse, les mouvements apostoliques, les groupes de prière, la pastorale des vocations.

(CONS1986: 093.01): La pastoral vocacional está abierta a las necesidades de la Iglesia y organizada en vinculación con la diócesis. Invitamos a las familias a reflexionar sobre los diferentes estados de vida y a orar por el florecimiento de las vocaciones.

(CONS1986: 093.01): La pastorale des vocations est ouverte aux besoins de l’Église et organisée en lien avec le diocèse. Elle s’étend aux familles, invitées à réfléchir sur les différents états de vie et à prier pour l’éveil des vocations.

(CONS1986: 094,02): Rogamos al Dueño de la mies que envíe obreros del evangelio. Como para Marcelino Champagnat, María inspira nuestra pastoral vocacional. Le pedimos a ella que conserve y acreciente su propia obra.

(CONS1986: 094,02): Nous prions le Maître de la moisson d’envoyer des ouvriers de l’Evangile. Comme pour Marcellin Champagnat, Marie est l’inspiratrice de notre pastorale des vocations. Nous lui demandons de conserver et de développer son oeuvre.

(CONS1986: 098,02): Se inicia en la intimidad con Dios por medio de la lectura, meditación y reflexión compartida de la Sagrada Escritura, y por la celebración de la Eucaristía, de la Reconciliación y de la Liturgia de las Horas.

(CONS1986: 098,02): Il s’initie à vivre en intimité avec Dieu, soutenu par la lecture, la méditation, le partage de la Sainte Ecriture, et par la célébration de l’Eucharistie, de la Réconciliation et de la liturgie des heures.

(CONS1986: 106,01): Todos los Hermanos de la Provincia muestran interés por los jóvenes que están en las casas de formación y por los profesos temporales de las comunidades. Les dan testimonio de fidelidad con su oración y vida ejemplar.

(CONS1986: 106,01): Tous les Frères de la Province manifestent leur intérêt pour les jeunes dans les maisons de formation et pour les Frères profès temporaires en communauté. Ils témoignent de leur fidélité par la prière et par une vie exemplaire.

(CONS1986: 108,01): Los Hermanos formadores, especialmente el Maestro de novicios, serán hombres de oración, experimentados en el discernimiento espiritual e idóneos para formar a los jóvenes en la vida marista.

(CONS1986: 108,01): Les Frères formateurs, particulièrement le Maître des novices, seront des homme de prière, habitués au discernement spirituel et doués pour la formation des jeunes à la vie mariste.

(CONS1986: 116,01): El Hermano de votos temporales que, cumplido el tiempo de su profesión, quisiera dejar el Instituto, es libre de hacerlo después de haber reflexionado y orado.

(CONS1986: 116,01): Le Frère profès temporaire qui, au terme de sa profession, veut sortir de l’Institut, est libre de le faire, après avoir réfléchi et prié.

(CONS1986: 120,02): Quienes gobiernan se dejan guiar por el espíritu de María, la Sierva del Señor. Escuchan, reflexionan y trabajan, al modo de María, para favorecer el crecimiento espiritual de los Hermanos. Recurren a ella con confianza en toda ocasión.

(CONS1986: 120,02): Ceux qui nous gouvernent se laissent guider par l’esprit de la Servante du Seigneur. Comme elle, ils écoutent, réfléchissent et agissent en vue de la croissance spirituelle des Frères. Avec confiance, ils recourent à elle en toutes circonstances.

(CONS1986: 121,02): Como un padre, está cerca de cada uno y se hace todo para todos. Los consulta a menudo para descubrir con ellos la voluntad de Dios. Ora durante mucho tiempo antes de tomar decisiones. Acompaña con firmeza y bondad a los Hermanos a quienes confía alguna responsabilidad.

(CONS1986: 121,02): Comme un père, il est proche de chacun et se fait tout à tous. il les consulte souvent, recherchant avec eux la volonté de Dieu. Il prie longuement avant de prendre une décision. Il accompagne avec fermeté et bienveillance les Frères à qui il confie des responsabilités.