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Flash n° 417 du 15 mars 2006
Attention ! Notre réunion statutaire est remplacée par la
Réunion de Zone
organisée par le LC Gossellies Airport
à la Ferme de la Pitance à Thiméon
Soirée open (pour
tous et toutes) avec
projection des festivités du 27/12/205
dernier
le MARDI 28 mars 2006 à 20h00 précises
Réunion des comités à 18h30
Veuillez avertir Jules BOULARD
de votre absence et surtout du nombre de présences
au plus tard le 24 mars au soir
Tél.: 071 - 39 50 83 - GSM 0478 - 29 44 60 ou par courriel
julesboulard@hotmail.com
Nous vous rappelons que les articles marqués **
qui figurent sur la copie papier ou sont adressés par courriel
aux Membres
ne sont lisibles sur le site du Sextant qu'en pages
réservées, accessibles par mot de passe.
Dernière insertion : n° 404 du 15 septembre 2005 - page 3
Le mot du Président 11 mars 2006
Attention à lire attentivement !!
Quelle réunion !
Riche, variée, constructive.
En substance voici ce qu'il en ressortLA GRANDE CONFERENCE :
Celle-ci est annulée à la date du 12 avril et reportée au mardi 23 mai.
Conférencier : Jean-Michel JAVAUX
Titre : "Etre jeune et entrer en politique ?"
Voyez à ce propos le document émis par Marc M. Il est très complet.
La participation est fixée à 35 euros
Auditoire : il est demandé à chacun de vous de 'garnir' la salle bien sûr, mais j'agirai personnellement pour faire un peu de 'retape' lors de la prochaine réunion qui est une réunion de Zone le 28 mars au club de Gosselies (ferme de la Pitance). Nous essaierons également les formules d'échange avec les clubs Vauban et Gosselies. Par exemple : notre réunion du 10 mai est annulée et remplacée par une présence massive de nos membres auprès du club Vauban (8 mai) pour sa conférence 'Mozart', à charge pour ce club de venir assister à notre réunion, et nous essaierons le même type d'échange avec le Club de Gosselies Airport lors de sa conférence 'la climatologie' de Mr Berger le 25 avril en reportant notre réunion là-bas. Eléments plus concrets à suivre
Nous ferons également quelques mails vers les autres club.
LE VOLET ELECTIONS :
Bel engagement de tous, le débat fut là aussi constructif.
Notre bureau 2006/2007 sera composé de :Président : Gérald T.
1er Vice Président : Jean-Louis L.
2e Vice Président : Bernard L.
Secrétaire : Bernard L.
Trésorier : Maurice R.
Censeur : Jules B.
Maître de bouche et Protocole : Jean D.
La composition des différentes commissions est laissée à l'organisation de Gérald.
Merci à Marie-Paule et à Bernard pour leur présentation.
Amitiés
Jean-Michel
Le monde appartient à ceux dont les ouvriers se lèvent tôt !
Vieux proverbe
Oeuvre Nationale
Excellente nouvelle.
Ce lundi, à 21h30 (!), j'ai reçu un coup de téléphone m'annonçant la bonne nouvelle: notre dossier était accepté.
Cette information m'a été transmise par Tony De Man du club de Waasmunster Scaldia.
tél.: 03/7752003 Fax: 03/7752109.
Il nous est demandé d'organiser la visite de l'uvre pour le samedi 25 mars à 13h00 pour 9 personnes.( sandwiches et boissons) et de bien vouloir procurer un plan d'accès.
Malheureusement, je serai personnellement absent à cette date.
Bravo à Marc et Guy pour cette réussite
Paul
Bravo !!
Félicitations à tous les intervenants pour cette bonne nouvelle et cette réussite.
Seul problème, qui n'en est peut-être pas un finalement, le 25 mars est la jour de la fête du printemps au Maillon.
A voir avec Jean Mayeur et Monsieur Sala ...! Pas de souci pour le plan d'accès par la même voie...
Marc à toi de communiquer vers Sala et Jean Mayeur.
Amitiés à tous
Jean - Michel
Quand je hurle, toute la vallée frissonne, dit le loup
Quand je rugis, toute la savane tremble, dit le lion
Quand j'éternue, toute la planète fait dans son froc, dit le poulet !Proverbe du jour envoyé par M.R.
Réunion du 28 février 2006
Le président accueille Georgette D. (PZ) et Carine B. (P Marcinelle Bruyères), de même que le conférencier du jour, Pierre DEBATTY.
Guy R. a la charge du toast mais comme il a oublié son papier (Ndr. Ce qui veut dire qu'il pourra remettre ça ), il improvise très bien en levant le verre à ceux qui ont choisi le pinceau plutôt que la parole et nous font partager ce bonheur-là.
Présentation de l'orateur : elle est double.
Jules B. rappelle que les soucis du Sextant sont de deux natures : le service et l'humanisme qui permet de « faire le point ». L'artiste de talent qu'est Pierre DEBATTY nous propose une vision du monde dans une uvre qui appartient à cet humanisme-là.
Paul P. évoque une triple visite d'exposition qu'il a faite autrefois, d'abord en compagnie d'Alphonse Darville, puis avec Marcel Debatty, pour accomplir un troisième parcours seul qui faisait la synthèse des deux commentaires en ouvrant de larges perspectives porteuses d'espérance dans lesquelles se situe, à présent, le conférencier, Pierre, fils de nos amis Christiane et Marcel.
La conférence
Pierre DEBATTY nous invite à suivre sa réflexion sur trois axes : le rôle, la fonction et l'évolution de l'artiste peintre, du général au particulier.
1. La vision communément répandue est de considérer l'artiste comme un illuminé, un marginal (« maudit », « écorché » ). C'est surtout un être humain sensible plus que d'autres aux bons ou mauvais côtés de la société. Il réagit et exprime cette réaction avec ses matériaux d'expression, en relation avec la culture du temps : il a donc sa place dans la société. C'est donc un « sensibilisateur » qui dénonce ou valorise (comme le firent les expressionnistes). Selon les époques, on le magnifie ou on le dénigre ; le monde contemporain critique : le fait qu'on en parle beaucoup est un signe en soi.
2. Le peintre est un artiste parmi d'autres. A certaines époques il jouit d'une image quelque peu mythique (son attitude « romantique », son « atelier » ) mais, en vérité, c'est d'abord l'homme d'un métier, qui a fait un choix de vie, et qui s'y engage. En réalité, tout le monde est un peu artiste dans le fond de soi. Certains peuvent se réaliser complètement dans cette activité (pour le conférencier c'est son propre cas, grâce à la compréhension de ses parents), d'autres s'y livrent en amateurs. L'art pictural remonte à la nuit des temps au cours desquels il assume des fonctions diverses (au service de la religion, ou encore en idéalisant l'homme de la renaissance, ou en magnifiant une vision colorée des choses selon la lumière, etc.) Mais c'est surtout un métier parce qu'il implique des connaissances techniques notamment en matière de « recettes » de fabrications des couleurs &endash; parfois secrètes ). Il y aura toujours des artistes, affirme l'orateur, et, aujourd'hui la présence du peintre, en particulier, est inconfortable parce que nous vivons une société dans laquelle l'image est prolifique. Cette multiplication des sources et moyens oblige l'artiste à davantage de connaissances. Ainsi, les fonctions du peintre sont-elles de montrer, poser des questions, interpeller, faire rêver, permettre d 'échapper à la réalité, ouvrir à une vie intérieure, éventuellement à fuir
3. Y a-t-il une évolution ? Certains la nient en prétendant même que l'art est en recul.
Si, affirme Pierre Debatty, il y a un progrès, en tout cas une évolution liée à la société. L'art donne le reflet d'une époque ; elle est « difficile » ; il choque. C'est une attitude normale par rapport au monde actuel, et en adéquation avec ce qui se passe ailleurs. Le changement va vers la sobriété, pour repenser l'univers par les étapes successives de la contemplation, du trouble. Il évoque alors la totale indifférence du monde telle qu'elle se manifeste dans la Chute d'Icare de Breughel, puis le paysagisme qui renaît aux XVIII et XIXe siècles. Vient ensuite l'intervention de la photographie qui va « libérer » la peinture par rapport au réel (cadrage, utilisation de la lumière, libération de l'imagination) à la charnière du XXe siècle. Quant à la peinture de l'époque actuelle, de nouvelles tendances « libérées » se succèdent et s'entrechoquent : l'abstraction, le pop art, l'art conceptuel, le retour à l'expressionnisme, le neo-pop, etc. formes auxquelles s'ajoutent les possibilités offertes par de nouvelles techniques comme les images de synthèse.
Un incident technique (projection) interrompt l'exposé au moment où l'artiste va présenter ses propres uvres. Il reprendra un peu plus tard en regrettant le désordre intervenu dans son montage.
Et, si l'on peut résumer ici l'essentiel de son travail sans l'appui visuel, il faut insister sur un acheminement qui le conduit, de toile en toile, à exprimer une vision de la terre, selon les lieux et les moments (par exemple l'exposition présentée au Bois du Cazier, et celle en préparation à l'Abbaye de Villers)
Pierre Debatty répondra ensuite avec beaucoup de sincérité et de générosité aux différentes questions posées sur « la signification » des toiles, de même que sur « l'émotion » qui sous-tend la création et « l'achèvement » de l'uvre.
Applaudissements nourris et dédicace de l'ouvrage « Terres ».
Conclusion
Ndlr. Ainsi que nous l'avons fait pour annoncer et préparer cet exposé, voici, pour permettre à chacun de poursuivre par sa propre réflexion, quelques extraits des propos tenus jadis par Alphonse Darville., lesquels, bien entendu, n'engagent que lui.
- Les théoriciens de l'art me parurent toujours inutiles et sans doute dangereux. René Huyghe me disait un jour : « Quand on voit un médecin entrer dans une maison, c'est qu'il y a un malade. Quand on voit apparaître les théoriciens de l'art, c'est que celui-ci est au plus mal ! » C'est bien le cas aujourd'hui et sa maladie est celle du siècle.
Plus exactement, les chancres de l'art sont les symptômes d'une pathologie sociale. Nous devons les interpréter comme le clinicien observe les signes sur la peau du malade. Les écologues, les sociologues et plus encore les futurologues nous inquiètent fort. S'il est question de santé physique, et maintenant il s'agit de la survie de nos petits-enfants., nous sommes remplis d'alarmes. Mais il semble que notre santé mentale et morale nous préoccupe infiniment moins. Et pourtant c'est, en fin de compte, le même problème. Pour la sauvegarde et le partage des biens matériels nous sommes tous d'accord. Mais pour la responsabilité, ce qui implique une éthique, nous sommes rarement disponibles. Or toutes les libérations si âprement voulues, tous lestabous témérairement renversés, toutes les remises en cause si légitimes ne peuvent exclure l'engagement, et l'execice d'un art est un engagement puisqu'il est aussi un grand partage.
(Suivent alors des considérations sur « la morbidité et l'insolence verbale » passées dans les arts plastiques)
Notre société matérialiste, qui ne fait confiance qu'au rationnel, nous a amputé de ce que certains appellent une âme. On nous a privé du droit de rêver, alors nous délirons. Nous sommes précipités dans l'agitation, sorte de mouvement perpétuel s'engendrant lui-même, qui fait naître l'angoisse d'un devenir sans espérance. L'art peut-il nous sauver ? Je n'ose plus y croire.
Alphonse Darville évoque alors l'art d'autrefois et, ensuite oppose la sérénité des villes d'autrefois à l'inhumanité des villes d'aujourd'hui) (Il cite ensuite plusieurs extraits du livre de Jean GOULARD, La Mort des Beaux-Arts. Ed. du Seuil) Et il termine en disant :
L' « uvre » est achevée. Elle est ce dont on ne peut rien retrancher, ce à quoi l'on ne peut rien ajouter : le devenir en est exclu. Il arrive qu'une esquisse soit présentée comme uvre, mais c'est que l'uvre s'est trouvée « achevée » plut tôt que ne le prévoyait l'artiste
J.B.
Echos de la réunion du 8 mars 2006
Nldr. Grand merci à Maurice R. pour avoir pris la peine de rédiger le compte-rendu qui suit.
Le 8 mars étant la journée de la femme, il revenait à l'une d'elles de porter le toast, ce que fit Nelly avec dextérité, puisqu'elle emprunta aux dictées de Bernard Pivot , à qui le toast était dédié à l'occasion de sa retraite, nombre de mots étonnants, dont ce paulownia qui fleurit dans les jardins du mayeur à Mons.
Nelly remet ensuite le Melvin Jones qu'Oak Brook attribue aux clubs ayant soutenu de façon substantielle l'action « tsunami », à Paul G. pour sa participation sans faille aux activités du Sextant. Toutes nos félicitations et notre amitié à toi, Paul .
Au cours du repas, Marie-Paule et Bernard, deux jeunes du club ( si, si ! ), nous firent part de ce qui constitue leurs préoccupations professionnelles de tous les jours.
Marie-Paule nous expose d'abord tous les métiers qu'elle doit assurer dans sa fonction de chef d'un établissement scolaire, en l'occurrence l'athénée de Marchienne, qui accompagne les jeunes de la maternelle à la fin des humanités.
Il y a bien entendu la préoccupation de développement des élèves, qui la conduit à faire uvre innovatrice dans les projets de l'école, dont ce projet de lecture « Boule de neige », qui implique tout le monde dans l'établissement et qui amène les élèves de 2ème professionnelle par exemple à lire 40 livres par an, mais qui démarre dès la maternelle par des présentations de livres aux plus petits.
Il y a l'aspect chef d'entreprise : 1200 personnes dépendent directement de la gestion de l'école, sans compter les parents d'élèves, qui comptent beaucoup sur l'école même s'ils n'en dépendent pas directement !
Il y a l'aspect « éducatrice », pas à destination des élèves contrairement à ce qui semble logique, mais bien à destination des parents, car dans beaucoup de familles de ses élèves les enfants ont pris le pouvoir dévolu normalement aux parents
Il y a l'administration, que Marie-Paule a mentionnée presque en dernier mais dont le poids est manifestement terriblement élevé dans son emploi du temps.
Et puis il y a tous les autres métiers : assistante sociale (immigrés, quart monde sont des réalités tangibles pour Marie-Paule ), avocate ( pour plaider de nombreuses causes ! ), maman ( il n'y en a souvent plus à la maison pour ses élèves ), infirmière, diététicienne, publiciste ( la concurrence entre établissements est un fait dont il faut s'accommoder, sous peine de voir disparaître certaines classes ), écrivaine ( combien de notes en sens divers par jour ? ), conseillère ( de tout le monde ), comédienne ( il faut toujours sourire, quelles que soient les insomnies de la nuit ) etc.
Finalement, Marie-Paule veut jouer le rôle de berger ( j'ai renoncé à utiliser ici le féminin du nom, je ne sais pourquoi ) avec pour objectif d'amener son école vers la paix, objectif simple mais si difficile .
Bernard prend la suite et parcourt avec nous le chemin qui l'a mené de la Faculté Polytechnique de Mons au Fonds du logement des familles nombreuses de Wallonie, une société privée agissant dans le cadre d'un contrat de gestion avec la Région Wallonne.
Son diplôme d'ingénieur architecte en poche, il se lance comme architecte indépendant au milieu des années 80, une période caractérisée par la crise dans la construction ! Après 15 ans d'une vie particulièrement stressante, Bernard entre début 2000 au FLW dont question ci-dessus, pour s'occuper de l'aide locative et il prend en charge la gestion du patrimoine immobilier de la société ( 250 logements à l'époque, répartis dans les entités de Charleroi, Binche, La Louvière, Châtelet et Morlanwez).
Créée il y a 20 ans pour répondre à un besoin de logements pour les familles nombreuses en état de précarité, l'aide locative a pour objectif de faire passer dans la réalité l'article principal du Code wallon du logement, qui veut que chacun ait droit à un logement décent et salubre.
Dans ce cadre, Bernard a passé le plus clair de son temps depuis 18 mois à rechercher des appartements susceptibles d'être achetés puis réhabilités de façon la plus économique possible.
Enfin, last but not least, Bernard fait partie d'une troupe de théâtre amateur, qui le conduira fin de l'année sur les planches à l'occasion de deux pièces dont les répétitions ont démarré.
M.R.
Quelques aphorismes - ou citations en passe de le devenir - glanés par nos amis de Royal-Lieu, dignes de(s) maxime(s) de La Rochefoucauld
La supériorité de la télévision sur la radio : vous n'entendez pas seulement les parasites mais vous les voyez.
A. NonymeL'homme ordinaire ne se préoccupe que de passer le temps, l'homme de talent que de l'employer.
SchopenhauerS'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.
CourtelineHâtons-nous de succomber à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne.
EpicureAppuyez-vous sur les principes, ils finiront bien par céder !
Oscar WildeIl vaut mieux être bête comme tout le monde que d'avoir de l'esprit comme personne.
Anatole France- - - - - - - - - - - - - -
Un journal financier, lu par tous les chefs d'entreprise français refuse absolument les annonces matrimoniales.
C'est pourquoi une jeune fille a choisi la rubrique « objets perdus » pour y publier le texte suivant :"Perdu, Saint-Philippe-du-Roule, briquet métal doré. Par demoiselle, 22 ans, blonde, 1,69 m., séduisante, distinguée, bonne cuisinière, tour de taille 58, tour de poitrine 95. Récompense. Téléphoner à n'importe quelle heure à ce numéro "
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Lois de Murphy
Loi de la confiance
" La confiance dure tant qu'on ne comprend pas la situation. "
Bénédiction
" Béni soit celui qui n'attend rien de la vie, car il ne sera pas déçu. "
Béatification
SEXTANT
GRANDE CONFERENCE
Responsable
Conférencier
Jean-Michel JAVAUX
Titre proposé
" Etre jeune et entrer en politique?"
M.Mossay
Date
reportée du ma 12 avril au ma 23 mai, suite au retard pris dans l'organisation
recontacter JM Javaux
M.Mossay
Réservation salle
Accord du Business Hôtel
J.Delahaut
Repas
Menu et timing
J.Delahaut
Vins
JM Jaeger
Invitations, supports
A réaliser ( se concerter avec M.Mossay, après contact avec JM Javaux )
F.Foucart
Présentation
du conférencier
M.Mossay
Cadeaux
Fanion + ( à déterminer : chope? )
M.Mossay
Message aux autres clubs
Echanges croisés : Participation à la conférence du 10 mai ( Choi Vauban)
Jacqueline Cochet.
Message aux autres clubs
Idem : participation à la conférence de Gosselies Airport du 25 avril
JM Jaeger
Info à la Zone
Réunion de Zone du 28 mars
JM Jaeger
Info à la presse
J.Delahaut
Info par mail
sur base de l'invitation numérisée
TOUS
Prix du repas
35 euros¨ par personne ( àpayer le jour même )
M.Roch
Engagement des membres
Invités personnels des membres pour atteindre un nombre de participants important
TOUS
Sono
M.Mossay
Le carré blanc de la
Tribune libre du Sextant
Faut-il encore le rappeler ?
La rédaction tient à rappeler avec insistance que les propos tenus dans une Tribune libre n'engagent que leur auteur ; il importe donc qu'ils soient signés. Il ne faut les confondre en rien avec un éditorial mais il importe également que cette démarche soit respectée comme la concrétisation de la liberté de pensée sur laquelle se fonde un véritable « esprit Lions », de même que la pertinence d'un « droit de réponse ».
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