Mer-Ados
***
***du 28 juillet au 3 août 97 à Sanary-sur-Mer (France)
Mixte de 14 ans révolu à 17 ans
Responsables de camp : Pierre-Nicolas Meier et Dan-Henri Weber
***
Après de longues heures dans un train où le mot climatisation tenait plus du rêve que de la réalité, les 23 participants et 4 responsables de cette semaine inoubliable ont enfin pu s'immerger dans l'eau délicieusement fraîche de la mer. C'était le début d'une belle aventure.
Durant la semaine, certains de ces jeunes et intrépides aventuriers ont pu s'essayer aux joies du kayak, d'autres à celles de la planche à voile, d'autres encore aux acrobaties du ski nautique. Mais l'attraction de la semaine fut pour la majorité d'entre eux la course effrénée en bouée derrière un bateau qui ne voulait pas se laisser rattraper. Des souvenirs inoubliables !
Inoubliable également l'excursion à l'île des Embiez... puisque celle-ci à été remplacée au pied levé par une visite de la petite ville de Cassis et de sa plage, suite à l'annulation de tous les transports pour les Embiez pour cause de vent trop fort.
Les soirée ? Chut ! Top secret. La seule information autorisée, c'est que l'un des chefs de camp n'est pas doué pour se raser... les jambes. Il porte par contre très bien le soutien-gorge et son rouge à lèvres est éclatant.
Suite à une enquête très sérieuse (si, si !) de la police française... enfin suite à un canular organisé de main de maître par l'équipe des responsables, les deux chefs de camp se sont fait ligoter, recouvrir de mousse à raser et de dentifrice, raser et asperger au tuyau d'arrosage. Quant aux monitrices, qui étaient les vraies responsables (à ce qu'il paraît, car je dormais) des taches apparues pendant la nuit sur le visage des campeurs, elles ont eu la joie de goûter à des douceurs telles que du sucre au piment, des smarties à la moutarde, de l'eau délicieusement saupoudrée de sel, de poivre et de sucre, etc.
Mais le départ restera également dans toutes les mémoires. Le bus nous ayant lâchés, c'est entassés dans les voitures privées des responsables du centre (pilotées par des chefs de camp légèrement stressés) et en catastrophe que nous avons rejoint la gare de Toulon.
Un chef de camp rasé de près... mais pas aux jambes !