Entre 14 et 19 ans, jai passé les plus moments de ma vie dans une troupe de scoutisme. On était environs une trentaine de jeunes (filles et garçons dans des patrouilles de 5 ou 6 non mixes) plus 4-5 moniteurs. Cest à cette époque que jai eu mes premiers rapports sexuels avec des garçons. Le deuxième jour de juillet lors du grand camp dété de 15 jours, les moniteurs avaient décidé que lon irais nager dans la rivière qui se trouvait à +-2Km de là, à cette époque, jétais encore puceau. Ma patrouille était constituée de 5 jeunes. Au moment denfiler nos maillot de bains, s'est notre aimé qui fut le premier à poil et tout en prenant bien son temps pour mettre son maillot (pour que lon admire sa queue), il nous lâche un « grouillez-vous bande de petite bittes ».Quelques instants plus tard, me voici en compagnie de 3 autres garçons complètement à poil, pour ma part je commençais à bander. Nous prime à notre tour tous le temps pour enfiler nos maillot de bains de telle façon à ce que chacun puisse admirer (non innocemment) les autres. Cétait François (18a) qui avait la plus grosse, je voyais la direction des regards de mes autres copains qui admiraient en silence sa grosse bitte décalottée qui devait être en semis érection. Tous à leau. Pendant le bain, me vient une folle envie de pisser, je sort de leau me dirige vers le bois et menfonce un peu je me soulage, mais au moment de rejoindre les autres, jentend quelques longs soupires, je mavance un peu quand japerçois Jérémie (mon copain de tente) en train de se branler, aussitôt jessaye de mapprocher pour mieux lobserver (jétais en train de bander si fort que mon gland ressortait de mon maillot). Je le voyais en train de sastiquait la queue, une branche qui craque me trahit, il se retourne et me sourit en voyant mon érection, il me dit : « tu viens te branler avec moi ? » je vais masseoir à coté de lui et commence à me branler. J'avais la bitte bien plus grosse que lui, en la voyant, Jérémie redouble la cadence, après quelques instant, il se met à me toucher le sexe et les couilles, puis finis par me branler et fait de même. Tout en se branlant mutuellement, on se pose des questions « hot », il était encore puceau aussi et il me dit quil se branlait 2X par jour mais lorsquil était au camps sétait pas évident... Cette fois-là, on en est resté à la branlette et à léjaculation en pleine nature mais je savais que notre complicité nen resterait pas là...la suite me donna raison....A Suivre...