Le Kombucha est sans doute un produit précieux dans la mesure où c'est de l'acide glucuronique qui ne coûte presque rien. Néanmoins, il s'agit d'un "bouillon de culture" et, spécialement dans le cas de sidéens avancés, on ne peut pas recommander ce produit en toute tranquillité.
Il existe sur le Web seulement un ou deux sites parlant des problèmes de toxicité de la mixture. Il y en avait un, en français, qui mettait l'accent sur le problème des contaminations possibles par moisissures du type aspergillus. Malheureusement, on ne l'a pas retrouvé. Ces sortes de contaminations se produisent vraisemblablement dans le cas de cultures à trop basse température (- de 25°) mais nous préférons conseiller l'emploi du Guronsan pour des raisons de sécurité.
D'autre part, le kombucha semble contre-indiqué à l'égard des diabétiques puisque du glucose résiduel subsiste en assez grande quantité. Il faut également penser (comme dans le cas du faux "champignon tibétain") au problème que peut poser l'ingestion régulièrement d'un produit très acide: nous avons vu, chez une personne âgée qui avait été traitée pour un cancer de l'utérus, la réactivation d'une cystite carabinée. Il se peut que la patiente ait forcé la dose mais si la dose d'acide glucuronique est de 6 g/l, cela fait à peine 1 g pour un petit verre.
Considérant que de toutes façons, l'assimilation de cette acide n'est pas chose aisée puisqu'il a la réputation de passer difficilement la barrière digestive, il conviendrait de se demander s'il n'est pas préférable de recourir au Guronsan. Ce dernier contient en effet de la glucuronamide qui est transformée par le foie en acide glucuronique.
L'intérêt du Guronsan pour les séropositifs et les sidéens a été signalé par le Dr Avicenne de l'association Positifs (présente sur le Web) et dans le n° 24 de Sida Tout va bien.
L'idée vient du Dr Maurisson du Centre Médical Europe à Paris qui l'avait proposé dès 1993 pour lutter contre la fatigue pouvant survenir à une stade avancé de la maladie. Ce médecin s'est rendu compte plusieurs mois après que la plupart des personnes qui avaient pris ce traitement à raison de un demi à un comprimé le matin présentait une amélioration nette de leurs bilans biologiques.
Ces améliorations peuvent se résumer ainsi :
Cherchant une explication à ces phénomènes, le médecin concerné a été amené à mettre l'accent sur les points suivants:
La glucuronamide contenue dans le Guronsan agirait par l'intermédiaire de l'acide glucuronique en ayant l'avantage sur ce dernier d'être mieux absorbée au niveau intestinal.
Des études anciennes puisqu'elles sont antérieures à l'apparition du virus du Sida avaient prouvé que cet acide améliore les fonctions hépatiques (hépatite, cirrhose) tout en favorisant le passage hépatique de nombreux médicaments notamment lorsqu'ils sont toxiques comme c'est le cas avec les antituberculeux que prennent certains sidéens.
Une hypothèse a été formulée selon laquelle l'acide glucuronique pourrait prolonger l'action de certains nutriments (vitamines, oligoéléments) qui auraient une action sur le virus du Sida ou ses co-facteurs. Ce dernier est présent, dès le début de l'infection, au niveau intestinal où il occasionnerait des troubles asymptomatiques de l'absorption des aliments d'où il résulte que c'est probablement dans cette direction qu'il faudrait chercher l'explications des résultats positifs observés.
L'acide glucuronique et les enzymes qui lui sont associées auraient un double effet, d'une part l'élimination des substances toxiques par effet de conjugaison et ce au niveau urinaire et un autre effet consistant à faire rentrer au niveau du cyle antéro-hépatique des substances utiles qui peuvent ainsi être réabsorbées. La conclusion à tirer de tout ceci est que l'on a intérêt à associer le Guronsan avec un traitement à base de vitamines, si possibles naturelles et l'association Positifs milite en ce sens lorsqu'elle propose certaines listes de produits dont les gens en bonne santé peuvent également tirer parti par une utilisation préventive.
Il n'est pas exclu d'autre part que l'acide glucuronique ou la glucuronamide puissent avoir une action directe sur le virus ou sur ses co-facteurs. la littérature relate un effet intéressant sur les tumeurs malignes, sur certains virus, sur E. coli et un effet sur le venin de serpent Habu étant précisé que certains venins de scorpions et de serpents présentent des similitudes avec des acides aminés constituant la boucle V3, la partie la plus pathogène du virus.
L'auteur de l'article avait donc conclu que le Guronsan est précieux à plus d'un titre et non pas seulement en tant qu'anti-asthénique mais aussi en tant qu'hépatoproctecteur et par la potentialisation des nutriments absorbés par ailleurs. C'est pourquoi nous avons de bonnes raisons de penser que la base d'un traitement conservateur dans le cas de séropositifs consisterait en les trois points suivants :
Dans le n° 24 de Sida tout va bien on annonce pour le n° 25 une étude plus complète tandis qu'une information intéressante est donnée: 7 personnes ayant arrêté le Guronsan pendant plus de 3 mois ont présenté ensuite une perte du gain en lymphocytes T4. Il s'agit donc d'une confirmation de l'effet imputé à la glucuronamide et ceci indique que le traitement au Guronsan ne doit pas être arrêté.
Sur notre demande, Riom Laboratoires Cerm nous a fourni un document bibliographique portant sur des substances dérivant (ou contenant) de l'acide glucuronique testées pour leurs effets immunologiques.
Ces substances contenant des polysaccharides dont l'acide glucuronique sont assez nombreuses, en voici une liste certainement non exhaustive:
L'étude la plus complète portant sur cette dernière plante.
Le Guronsan souffre, hèlas, d'une assez mauvaise presse puisque les couche-tard, l'utilisent pour faciliter leurs tournées nocturnes, les étudiants en période d'examen pour se doper, et les drogués pour potentialiser l'effet de toutes sortes d'autres substances qui elles sont toxiques. C'est ainsi que l'on entend parler de ce remède comme d'un "doping".
L'auteur a tenu a expérimenter ce produit et dispose à cet égard d'un recul d'environ un an. Très sensible au café, il n'a remarqué que très rarement des effets secondaires (au delà de 3 comprimés par jour et seulement dans des circonstances particulières). Ces effets secondaires consistent en une gêne au niveau cardiaque qui est due à la caféine contenue dans le remède. Quelques rares utilisateurs ont noté des maux de tête qui semblent, selon nous, être en rapport, du point de vue de la médecine chinoise, avec une carence du Yin du Foie.
C'est bien au niveau de la sphère hépatique que le remède agit principalement comme un détoxicant. Il est donc utile de le prendre par cure discontinue et spécialement à la saison du Bois, c'est-à-dire à partir du début de l'année chinoise qui se calcule comme étant la nouvelle lune la plus proche du 4 février. Ainsi l'année passée nous avons vu apparaître une éruption sur la jambe ayant la particularité de suivre le trajet du méridien du Foie, éruption qui est partie sans laisser de traces en 5 ou 6 jours.
Peu sensible aux "toniques" en général (telles que les forumes à base de Ginseng) nous avons constaté, avec le Guronsan, une moins grande fatiguabilité sans qu'il en découle d'excitation. Aussi l'employons nous régulièrement environ 15 à 20 jours par mois pour activer le métabolisme et avons constaté un mieux être. Nous avons également constaté, en association avec l'abandon du vin et des produits alcoolisés pendant plusieurs mois à partir de septembre dernier, une perte de graisse superflue assez spectaculaire puisqu'elle a suscité l'envie des secrétaires de notre entourage... Cette désassimilation des graisses excédentaires a été très manifestement favorisée par l'apport régulier d'acide glucuronique métabolisé à partir de la glucuronamide.
Conclusion: si le Guronsan peut constituer une aide chez les séropostifs et dans les sidas avérés, à combien plus fortes raison aidera t-il les personnes relativement bien portantes à préserver leur capital santé. Dans ces conditions, non seulement il doit faire partie de tous les traitements de la plupart des maladies chroniques comme soutien à la détoxication mais il aidera des gens sains à conserver leur capital santé pourvu que l'usage en soit correctement rythmé.
Il serait souhaitable pour finir de pouvoir trouver une formule ne comprenant pas de caféine où la glucuronamide serait associée à quelques vitamines et oligo-éléments en proportions harmoniques et, si possible, de provenance naturelle et ne comportant pas de Zinc à cause de l'incertitude qui règne, dans le cas des sidatiques, au sujet de cet élément qui, selon, certaines études, serait plutôt nocif.