Salon de coiffure

Bonjour mon nom est christophe.

Cette histoire est vraie et elle fut le début de mon attirance pour les blouses et la soumission.

J'avais 15 ans et comme je n'avais pas de tres bonnes notes ma mere décida de m'inscrire en apprentissage de coiffure, pour cela il fallait trouver un salon qui prenne des stagiaires après plusieurs échecs ma mere me présenta dans un salon pour femmes, la patronne une très grande et belle femme ne voulait que des filles comme apprenties mais devant l'assisstance de ma mere elle céda.

Le lendemain je me suis presenté au salon on me présenta Marie une coiffeuse diplomée et 2 autres filles de mon age qui étaient apprenties. Dès leur arrivée les filles allèrent aux vestiaires et enfilèrent des blouses roses avec un petit col claudine, des manches ballons tres courtes avec des boutons dans le dos.

En les voyant je me mis a rire car elles avaient l' air ridicule la patronne exige que nous portions ces blouses dit la coiffeuse pour nous proteger, mais je n'ai rien pour toi , tu verras cet après midi avec la patronne commment tu dois t'habiller pour venir au salon. La matinée se passa sans ennuis dès 14 heures la patronne arriva il n'y avait plus de clientes , elle salua les filles et dit a Marie

--- " Pourquoi christophe n'est-il pas en tenue ?"

--- "Mais je n'ai pas de tenues pour lui ! " dit-elle

--- " Une bouse est une blouse et s' il veut travailler ici, il doit se plier aux règles."

--- " Bien madame " dit Marie.

--- " Christophe vient avec moi", nous allâmes aux vestiaires, elle ouvrit un placard ou il y avait plein de blouses identiques à la sienne. Elle en deboutona une et me la tendit .

--- " Enfile ça "

--- " Mais je ne peux mettre cette blouse c'est pour les filles " hurlais-je

--- " Tu as entendu la patronne c'est ça ou la porte! "

Et sans hésiter elle m'enfila une petite blouse rose ultra feminine qu'elle me boutonna dans le dos j'essayais de reagir mais je n'arrivais même pas à déboutonner la blouse tout seul.

Lle retour au salon fut une veritable honte, les 2 autres apprenties pouffait, la patronne me toisa et dit " très mignon". Ce fut le début de plusieurs années d'humiliation et le commencement de mon fétichisme.

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Christophe

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