3e chapitre

Quand la masse humaine fut à-peu-près toute entrée dans la salle, nos amies purent y pénétrer ensemble, sans être trop bousculé. Tout le monde était éparpillé dans l’immense salle. Ils étaient une centaine, mais c’était tellement grand qu’on ne s’en apercevait même pas.

Il y avait au moins trente mètres du planché au plafond, si ce n’était plus, et la salle était immense. Si elle avait pu regarder en arrière d’elles, en hauteur, elles auraient pu apercevoir la piscine creusée, possédant six allées pour la nage de vitesse, la longueur d’une piscine olympique, et cinq tremplins de différentes hauteurs. Sur les murs qui bordaient la piscine un assortiment de scaphandres et d’équipement de plongé étaient alignés.

Sur chacun des murs, un attirail de machines d’entraînement était installé : des boxings-bags, des appareils de musculation, des altères, d’autres instruments de gym, comme des chevaux sautoirs, des trampolines, et d’autres. Sur des racks, environs cinquante, disposé dans un coin de la pièce, ils y avaient pleins d’armes : des sabres aux épées, en passant par des fleurets et des poignards. Bien entendu, beaucoup d’armes à feu étaient enfermées dans des armoires, à même les racks. Quelques haches étaient accrochées aux murs jouxtés aux autres armes, à leurs cotés, des protections de toutes sortes, pour protéger contres toutes les sortes d’armes imaginables.

En plein milieu, en avant de la pièce, un très grand tapis bleu, d’un pouce d’épais, était disposé pour les pratiques corps à corps. Une grande et très belle femme était debout au centre tapis, et elle regardait vers la porte en souriant aux personnes qui entraient. Elle avait de longs cheveux bouclés, noirs, portés en une grosse queue sur le dessus de sa tête, et ce qui la tenait était une longue tresse qui faisait le tour de la queue six fois, avant de disparaître dedans. Elle portait un genre de pantalon d’inde (tout bouffi avec des élastiques en haut des chevilles et à la taille) du même bleu profond que ses yeux. Un petit gilet du même tissu que le pantalon lui enserrait la poitrine, la mettant très bien en valeur, tout en lui laissant le ventre à nu, comme ses pieds.

Quand nos amies la virent enfin, elles eurent toute la même réaction. Elle stoppèrent leur marche. Manoru, Naru et Motoki, qui n’avaient rien remarqué de spécial, les laissèrent là. Amy parla la première :

- Avez-vous vu ça ?

- C’est incroyable ! s’exclama Mako.

- Mais c’est bien la fille… commença Minako.

- …de la plage ? continua Raya.

- Oui c’est ça !!! s’écria Minako. Merci Raya, je savais que je l’avais déjà vu quelque part, je me rappelais pas où.

- …

- Bunny ? Qu’est ce qui se passe ? Tu te sens mal ? lui demanda Amy.

Bunny ne bougeait plus, elle était figée, accroupie au sol, tenant sa tête entre ses mains. Cela dura un bon trente secondes. Peu à peu, elle reprenait ses esprits et elle se releva, un peu déséquilibrée, mais vivante. Elle regarda la femme avec un regard effrayé, et celle-ci lui rendait un regard ou pointait un mélange de curiosité et d’amusement.

- Bunny ? Tu te sens mieux ? Qu’est ce qui c’est passé ? demanda Minako.

- Ça va mieux, mais il vient de m’arriver la même chose bizarre qu’à la plage.

- Tu croix que c’est la fille qui a fait ça ?

- Oui Mako.

- C’est bizarre ! s’exclama Amy.

- Oui, mais c’était pas vraiment la même chose.

- Mais qu’est ce qui n’était pas pareil cette fois ? dit Mako.

- On aurait dit que ça ne voulait pas m’arracher quelque chose cette fois, mais que ça cherchai plutôt à explorer mes souvenirs, car plein de choses que ça fait très longtemps que j’ai vécu, et que je me rappelais plus, me sont revenues comme un flash. J’ai quand même réussit à la repousser.

- C’est bizarre, moi aussi ça m'a fait cette impression, dit Raya. Aussitôt que je suis entré dans cette salle, des flash-back de mes passés me sont revenus.

Les filles parlèrent encore un peu, et elles arrivèrent à la conclusion que ça leur était toute arrivé, mais jamais aussi fort qu’à Bunny. Des bouts de leurs anciennes batailles, et de leurs vies sur la lune, et avant, des choses qu’elles n’avaient même pas conscience d’avoir vécus, leur étaient revenus, à peu près en même temps. Malheureusement Naru se retourna pour voir où elles étaient, et quand elle les aperçues à quelque mètre de l’entré, elle courra les rejoindre. Elle les emmena à la place que les garçons avaient réservés, autour du tapis, juste en avant du prof. Aussitôt que tout les étudiants se furent assis tout autour du tapis, la fille se mit à leur parler.

- Bonjour à tous ! Mon nom est Miranda, et je suis votre prof. Je suis également très heureuse que mon cours ait attiré tant de monde. Mais je vous avertis d’avance, ce ne sera pas une partie de plaisir, je n’enseigne pas à des mauviettes. Vous êtes nombreux aujourd'hui, mais d’ici quelque cours, il ne resteras ici que les plus forts. Pour ceux qui vont lâcher, soyez assuré que tout les frais d’inscription que vous avez payé vous seront entièrement remboursés. Y a t’il des questions avant que l’on commence l’entraînement ?

- Oui, moi j’ai une question, dit un jeune homme qui était debout au bord du tapis.

- Je t’écoute.

- Moi ce je me demande, c’est comment une fille de votre âge peut penser avoir les qualifications nécessaires pour donné un cour de cette envergure ?

- Je m’attendait à cette question, répondit la jeune femme. Mais, quel âge croyez-vous que j’ai ?

- La même que moi : 18 ans. Et bien que j’ai fait du kick-boxing, du karaté et du judo depuis que je suis tout jeune, je ne suis pas encore assez bon pour apprendre ces disciplines aux autres. Et vous vous pensé que vous l’êtes…

- Oui, le coupa Miranda. J’ai étudié avec les meilleurs, et j’ai beaucoup plus d’années d’expérience que vous semblez le pensé toi et tes copains.

- C’est ça, une fille de riche qui se pense bonne, affirma le crâneur. Je suis sûr que je pourrais vous battre n’importe quand, avec une main dans le dos et les yeux bandés.

- J’aimerais voir ça. Je comptais vérifier vos capacités après le réchauffement, mais si tu y tient tant, tu peux essayer de te battre contre moi. Je te défis même d’être capable de me toucher.

La bande du garçon l’encouragea, et il marcha droit sur la jeune femme. Il se mis en position, et attendit un peu pour voir qui attaquerait le premier. Voyant que la femme ne faisait pas un geste, il fonça sur elle, point en avant, et au moment même où il allait la frapper, il ne rencontra que le vide, elle était derrière lui. Il se retourna sur un dix cent, et commença à la frapper. Aucun de ses coups n’atteignaient leur but. Elle bougeait tellement vite, qu’il était difficile de la voir. Il s’essoufflait, déjà il était moins rapide. Et d’un simple coup de point, elle l’envoya valser à l’autre bout du tapis, directement sur sa gang. Il était KO, ne pouvant quasiment plus bouger, ses amis le traînèrent au vestiaire, ils ne remirent pas les pieds dans la salle.

- Avant de passer aux réchauffement, y à t’il d’autre volontaires ?

- Oui, moi !

C’était le grand-père de Raya qui s’avançait maintenant sur le tapis.

- Papy ! lui cria Raya.

- Laisse le faire Raya, il ne sera pas satisfait tant et aussi longtemps qu’il ne t’aura pas prouvé qu’il est meilleur que moi, et que tu n’as pas besoin d’un autre professeur de combat que lui.

- Mais comment… ?

- …Ton nom ?…l’intuition féminine ^_^ ! Ne t’inquiète pas, je ne lui ferais pas trop mal.

- Comment oses-tu jeune fille. C’est pas parce que tu es mignonne comme tout que je vais pour autant me laisser rabaisser.

Ils se mirent tout deux en position de combat, et tournèrent comme des fauves l’un autour de l’autre, quelques temps, comme pour déceler une faille dans la défense de l’autre. Soudain, il bondit, visa sa tête de son pied. Elle l’évita, et lui abattit son poing sur la nuque. Il accusa le coup, et, en se retournant, lui rendit une succession de coup de pied et de coup de poing. Elle les para tous, et d’un simple bond, se retrouva à sept mètres du vieillard. On la vit soudains disparaître, et le vieil homme parcourir la salle en voltigeant, à la même seconde, Miranda réapparaissait à l’endroit même où le grand-père de Raya se trouvait avant son départ précipité vers le fond de la pièce. Le vieillard atterrit sur le dos au bout du tapis, d’un mouvement vif, il se retrouva de nouveau sur ses deux pieds.

Il avança vers Miranda, immobile, à l’endroit même où elle était miraculeusement apparue. À moins un mètre d’elle, il s’arrêta, ils se serrèrent la main, et pendant un instant, leurs forces intérieur s’affrontèrent, un sourire fugace apparu sur son visage. Il lâcha la main de la jeune fille, et il parti en direction de la sortie. En passant à côté de sa petite fille il lui glissa à l’oreille :

- Je te laisse, elle est pas pire ce prof, elle bouge vite, elle frappe fort, elle pourrait peut être t’apprendre quelque chose de nouveau. Je retourne au temple. À tantôt !

Raya était toute retourné : son grand-père lui donnait sa bénédiction pour suivre un cour de combat, dont il n’était pas le professeur ! C’était parfait ! Le seul petit problème : que cette fille soit capable de battre un jeune crâneur de 18 ans, pas de problème, c’était normal, mais combattre contre son grand-père et en sortir sur ses deux jambes, c’était autre chose, pire, il avait déclaré forfait ! Là les filles eurent la frousse, elles même n’avait pas la force nécessaire pour se battre contre lui, elle, elle l’avais battu.

Ne leur laissant pas le temps de comprendre tout ce qui venait de se produire, Miranda commença à donner son cours avec entrain.

- Pour commencer, nous allons faire des étirements, pour ce qui va suivre, vous en aurez besoin.

Ils étirèrent leurs jambes, leurs bras, et toutes les autres partie de leurs corps. Ensuite, elle leur montra un couloir délimité par deux bandes rouge, qui faisait le tour complet de l’immense salle.

-Maintenant, vous allez courir tout autour de la salle dans le couloir pendant 20 minutes. Vous courrez, mais pas question de vous brûlez dans les première minutes, allez-y à votre rythme. Bon, je part le chronomètre…Go!!

Tous partirent à courir, quelques jeunes morveux partirent en sens inverse, mais tant que le réchauffement était fait, peu importe les moyens. Plusieurs athlètes en herbes partirent loin devants, pendant que le monde plus " normal " allaient un peu moins rapidement, et que ceux qui n’avaient pas fait d’exercice depuis le début des vacances allaient très lentement en arrière de tout le monde. Raya, Minako et Mako courraient bien en avant de tous, elles étaient suivies d’à peine quelques mètres par Motoki et Manoru, et après beaucoup de monde, venais Bunny accompagnée de son amis Naru et d’Amy, et après tout le monde, venais Umino et son cousin.

Quand tout le monde ce fut un peu éloigné, Miranda partit à leur suite, en moins de deux, elle était à côté de Bunny.

- Pourquoi ne courrez vous pas plus vite, vous êtes capable, je le sais, alors si vous n’accélérez pas, vous aurez droit à vingt minutes de plus.

- Vous avez dit de courir à notre rythme, protesta Naru.

- Oui, mais vous courrez toutes trois au rythme de l’autre, qui ralenti car elle croit qu’elle vas trop vite pour l’autre, et l’autre fait pareil, ainsi de suite jusqu'à ce que Umino et son cousin vous rattrapes. Je pense pas, vous allez courir le plus vite que vous pouvez pendant ces prochaines minutes, et n’essayer pas de vous suivre, ou vous allez le regretter.

- Mais tu te prends pour qui…commença Bunny.

Miranda était déjà partie, à la vitesse de l’éclaire, elle poussa quelque étudiants, mais arrêta sa course folle à la hauteur des deux garçons.

- Qu’attendez-vous pour dépasser ces filles, j’en revient pas, c’est pas parce qu’elles sont mignonnes comme tout que vous devez forcément courir en arrière d’elles, plaisanta la jeune femme en envoyant un clin d’œil à notre blond Motoki.

Avant qu’un des deux Casanova puissent répondre à cette allégation, elle était déjà partie voir nos trois athlètes.

- Alors les filles, on a fait beaucoup d’entraînement, vous courrez vites, mais pas encore assez à mon goût.

- C’est quoi votre problème, on cour le plus vite qu’on peux, et on est en avant de tout le monde, alors c’est quoi le problème ? demanda Raya.

- C’est vrai ça ! s’exclama Mako et Minako en cœur.

- Vous verrez, avec l’entraînement que vous aller subir, dans moins de trois semaine, si vous tenez le coup, vous pourrez courir et bouger dix fois plus vite que maintenant.

Elles auraient bien voulut lui dire quelque chose, mais elle était de nouveau partie à tout te vitesse.

Tout les reste de la course se déroula sans incidents majeur, sauf que nos sailors avaient l’impression qu’elles allaient de moins en moins rapidement; qu’il était plus dur d’avancer. Elles se faisaient doubler par tout le monde, y compris les amis qu’elles avaient emmener.

- Bunny, qu’est ce qui ce passe, tu n’arrête pas de ralentir, force-toi un peu, il ne reste que cinq minutes !! Cria Naru, très loin devant.

- Je peux pas, je cours le plus vite que je peux !!! répliqua Bunny.

- Bon ben, on se revois à la fin !!!

- Correct !!!

Les seuls de notre bande qui restaient devant, étaient Manoru et Motoki, qui semblaient ne rien percevoir de précis. Même s’ils trouvaient bizarres d’être avant tout le monde. Miranda quant à elle, faisait ses tours tellement vite que personnes ne semblait s’apercevoir qu'elle était passé près d’eux, jusqu’à ce qu’elle s’arrête pour leurs parler. Ce qu’elle fie justement en arrivant à la hauteur de Bunny, qui était pas mal seule.

- T’arrive plus à courir blondinette ?

- Lâche-moi patience !!! Je fait de mon mieux…

- Ne soit pas impolie jeune fille, dis moi ce qui ne vas pas.

- Ce qui ne vas pas !!! je vais vous le dire, c’est vous qui n’allez pas. Vous apparaissez tout d’un coup dans nos vies, puis, vous disparaissez… personne vous connaît…

- Arrête ! Je sais que tu as un conflit de personnalité avec tes profs, mais là ça devient maladif.

- PROFS… Vous avez même pas l’âge pour être prof !!! Attela t’elle.

- Vraiment, t’es bouchez toi ! On dirait vraiment pas à te regarder que t’es Sailor Moon, encore moins une princesse.

- Comment ??? Cria Bunny en arrêtant d’un seul coup de courir.

- Quoi ?

- Qui t’a dis ???

- Toi, c’est tellement facile de lire dans vos esprits, vous ne cachez rien, on dirait que vous…

- Lire dans nos esprits ??? l’interrompue Bunny, Vous êtes qui vous au juste ? Une ennemie, une alliée ???

- Aucune idée, je sais même pas qui sont vos amies et vos ennemies, comment pourrais-je affirmé appartenir à un groupe que je ne connais pas ?

- Mais que nous voulez vous alors ?

- M’amuser.

- T’amuser ?

- Oui, j’aime me battre, mais je ne trouve plus personne à ma hauteur, alors je vais vous formez pour que vous soyer assez forte pour vous battre contre moi ^_^ .

- Si tu veux te battre contre nous, t’es une ennemie. C’est logique.

- Si c’est ça que tu veux, c’est ton choix, alors je suis votre pire cauchemar à partir de maintenant.

- C’est pas ça que je voulait dire !! Cria Bunny à la jeune fille qui s’était remise à courir.

Bunny couru rejoindre de peine et de misère Miranda.

- Je sais, lui répondit-elle, mais ça m’amuse, Alors toi et tes cinq amis, vous n’aurez aucun répit avant de m’avoir battu, où que je me tanne et que je vous tues.

- T’es malade !

- Ne t’inquiète pas, au début je vous ferai pas trop mal.

- Mais qu’est qu’on t’a fait bon dieu ???

- Rien, je te l’ai dit, je fait ça pour m’amuser.

- Je joue pas le jeu, on n’est pas du genre à se battre pour rien.

- Ça ne dérange pas, je ferai en sorte que vous ne puissiez vous dérober. Mais que vous serez dans cette place, je ne vous attaquerez pas, mais le jeu commence au moment ou vous franchissez cette enceinte. Si tu as une dernière question à me posé, vas y maintenant, le vingt minute est presque passé, et je ne voudrais pas faire attendre mes étudiants.

- Oui, j’en ai une. Pourquoi c’est de plus en plus dure d’avancé ?

- Ho ! J’ai simplement augmenté la force gravitationnelle autours de vous.

- Comment ?

- Facile, si tu te servais de tes pouvoirs correctement, tu pourrais en faire tout autant. Aussi, je ne l’ai pas augmenté de beaucoup, ça va augmenter aux prochain cours.

- Comment, j’arrive à peine à mettre un pied devant l’autre !

- T’es vraiment beaucoup plus poche que je ne pensais. Si la gravitée terrestre est 1, je qualifierais celle dont je t’ai entourée d’à peine 1,3. Celle de Raya, Minako et Mako sont presque le double de celle de la terre. Alors ne vient pas te plaindre.

Elle partit sur c’est mots. Quelques secondes plus tard, la cloche de la fin retentit et les étudiants revirent au milieu de la salle autour du grand tapis.

- Pour ceux qui ont trouver cet exercice trop difficile, je vous dit tout de suite que les autres vont êtres beaucoup plus durs, et que les prochains cours, ce ne sera plus vingt minutes de course, mais trente, puis quarante. Je vous répète qu’il est toujours temps d’abandonné, et tout vos frais vous seront remboursées.

Il y a quelques personnes qui quitte la salle, courbaturées et pliées en deux. Malheureusement, Umino et son cousin ne sont pas de cette bande.

- Maintenant que les moins forts sont partit, nous pouvons continuer. Je vais commencé par vous faire faire de petits exercices qui vous qualifierons dans différentes classes. Pour commencer, mes assistants vont mesurer votre force de frappe avec des machines spécialisées.

Une vingtaine d’hommes arrivèrent d’en arrière, avec des espèce de gros blocs carré avec collé devant, des grands coussins. Sur le coté de cette chose, un tableau indiquait la force du coup reçu.

- Vous allez vous mette en rang devant les machine, et vous frapperez de toute vos force sur le gros coussin. Ensuite mes assistants vous donneront vos pointages sur de petits cartons. Gardez-les, ils vous serviront à la fin de l’été pour pouvoir voir vos progrès.

Et tous se mirent en rang, Quand ce fut le tour de nos amies, Amy s’essaya en premier. Elle se concentra, et donna un coup de pied en plein au milieu de coussin, elle avait un score de 53. Ensuite fut le tour de Naru qui frappa un beau 24. Mako eu un 134, Raya s’en sortie avec 97, Minako avec 116, Bunny avec un beau 78, son chum avec 142 et le beau Motoki avec 113. Ils crurent qu’avec des scores aussi éloignés elles ne seraient sûrement pas dans le même groupe, mais elles se trompaient, elles étaient toutes classées ensemble. Mais elles n’étaient pas seules, quinze autres personnes étaient avec elles.

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