Ils est reconnu que, dans l'industrie en général, les animaux servent de
cobayes et fournissent les matières premières à la fabrication de plusieurs
produits. Sur les deux millions d'animaux torturés dans les laboratoires
canadiens, plusieurs milliers sont sacrifiés pour tester des cosmétiques en
divers produits ménagers.
Des lapins, des cochons d'Inde, des rats, des souris, des chiens, des singes
sont quotidiennement brûlés, empoisonnés et mutilés. On a recours à eux pour
tester des produits de beauté tels que shampoings, fards, mascaras, parfums,
rouges à lèvres, huiles solaires, vernis à ongles, laques, teintures, etc.;
et des produits d'usage courant et de nettoyage comme les encres,
peintures, eau de Javel, détergents, nettoyeurs à four, cire à plancher,
etc.
COMMENT RÉALISE-T-ON CES TESTS SUR LES COBAYES QUE SONT LES ANIMAUX ?
À l'aide d'une sonde oesophagienne, on gave les animaux ( en général des
rats et des souris ) de substances chimiques - shampoings, cire à plancher,
etc. - afin d'en éprouver le degré de toxicité le plus aigu. 50% de ces
animaux en meurent. Pendant deux semaines, voire un mois, ils souffrent bien
sûr, de vomissements, de défécations abondantes ou de diarrhées chroniques,
des saignements des yeux, du nez, de la gueule, de convulsions et de
paralysies. Cela entraîne également de graves lésions internes, étant donné
la violence des doses.
Les «survivants» seront examinés, tués ou recyclés! On leur fera subir
encore d'autres tests: injections, pulvérisations ou inhalations de vapeurs
toxiques, comme les laques pour cheveux.
LES IRRITATIONS CUTANÉES
On pratique des incisions sur la peau rasée de l'animal, sur lesquelles on
applique ensuite des substances chimiques. Autre exemple, on fabrique des
suppositoires à base de rouge à lèvres qu'ont introduits dans le rectum des
lapins durant deux semaines. Les expérimentateurs pensent qu'il y a
«similitude physiologique entre le rectum des lapins et les lèvres des
femmes». ( ! )
LE TEST DE DRAIZE
Om maintient la tête de l'animal dans un carcan puis on lui verse
directement dans les yeux les produits à tester. On lui garde parfois les
yeux ouverts en permanence grâce à des pinces de métal. On a recours au
singe, au chien mais le plus généralement au lapin à cause de la structure
de son oeil: il ne peut pas se débarrasser des corps étrangers qui
l'obstruent. Mais pourtant son oeil est très différant de celui de l'humain:
une cornée d'environ 3% plus mince; un PH de larmes plus élevé ( lapin:
8,2 - humain : 7,1 à 7,3 ); et il a de la fourrure autour de l'oeil. Certain
détergents ne causent pas de réactions chez l'animal, mais provoquent de la
souffrance chez l'humain et des modifications de la vision. Où se trouvent
donc les similitudes avec l'oeil humain ?
Ni la beauté ni la santé ne peuvent justifier ces souffrances cruelles
infligées aux animaux : irritation de la cornée, perforations de l'oeil,
infections, brûlures internes et externes, démangeaisons, etc.; les lapins
hurlent et tentent vainement d'échapper aux brûlures atroces causées par les
produits.
ANIMAUX ET MATIÈRES PREMIÈRES
Les sous-produits d'animaux (comme le gras de boeuf ou de porc), récupérés
dans les abattoirs, servent d'ingrédients de base à la fabrication de divers
produits de beauté ou de nettoyage. On y retrouve aussi certain fluides,
liquides ou autres substances de provenance animale.
L'industrie des cosmétiques au Canada se chiffre à quelque 2 billions $.....
Sûrement qu'avec un tel chiffre d'affaires, il serait possible d'innover et
de tester de manière non-violente, même à moindre coût:
- utilisation de tissus cellulaires in vitro;
- analyse par ordinateur , etc., surtout que nous n'avons pas encore de
preuve irréfutable
- que les résultats de ces tests cruels et violents puissent s'appliquer à
l'organisme humain;
- qu'une véritable corrélation existe entre l'organisme humain et celui de
l'animal;
- et surtout que le rat ou tout autre animal soit un humain en
Aucune loi oblige des compagnies comme Gillette, Clairol, Proctor&Gamble,
Johnson&Johnson, etc., à tester de façon aussi archaïque et
cruelle. Les manufacturiers qui testent, le font bien plus par peur
d'éventuelles poursuites légales que par souci du bien-être des
consommateurs.
En fait, il serait plus simple d'employer des ingrédients naturels. Ces
produits ont fait leurs preuves depuis des années, même depuis des siècles:
plantes, fruits, légumes, huiles, essences de fleurs, etc. De plus ces
produits sont biodégradables!
La commercialisation de nouveaux produits chimiques ne devrait même pas être
permise. Nous ne savons plus que faire de tous ceux qui menacent déjà toute
forme de vie sur notre planète.
CEUX QUI ONT FAIT UN AUTRE CHOIX
Druide, Body Shop, Beauty without cruelty, General Nutrition et plusieurs
autres ont prouvé que les les produits testés autrement que sur les animaux
et fabriqués à partir d'ingrédients naturels sont absolument inoffensifs
pour les humains.
«Le test DL-50 est un massacre rituel qui n'a aucune utilité.»
«Il y a actuellement environ 70 000 produits chimiques en circulation dont
on ne connaît à peu près rien. Tout ce qu'on connaît, c'est leur formule et
dans certains cas qu'ils sont toxiques à fortes doses sur les souris. Autant
dire qu'on ne sait rien.»
Expérimentation animale : Une science sans cobaye
Association de chercheurs et de médecins en faveur des méthodes
scientifiques alternatives
VIVISECTION:
Vivisection : crime de l'humanité
LA MASCARADE D'UNE PSEUDO-RECHERCHE SCIENTIFIQUE
SITE ANGLAIS:
Alternatives to animal testing ( anglais )
Validation of alternative methods ( anglais )
Validation of biomedical testing methods ( anglais )
Marjolaine Jolicoeur
L'INDUSTRIE ET LES TESTSÀ noter que les tests barbares décrits ci-dessous, sont toujours réalisés
sur des animaux conscients ( c'est-à-dire effectués sans anesthésie
préalable). De plus, ces tests ne garantissent en aucun cas la sécurité des
consommateurs!
LE DL-50 ( DL=DOSE LÉTALE )
L'industrie du parfum en est une qui a également recours aux substances
animales pour la fabrication de ses produits.
À titre d'exemple:
POURQUOI TANT DE VIOLENCE, ALORS, QU'IL EXISTE DÉJÀ DES ALTERNATIVES!
miniature (!)
«Les résultats du DL-50 varient dramatiquement de laboratoires en
laboratoires, dépendant de la race, du sexe, de l'âge, de l'espèce des
animaux et leurs extrapolations aux humains est discutable.»
- Dr Gill
Langley
- Dr Robert
Sharp
- Dr Pierre Gosselin
LIENS:
« Au nom de l'Homme, des millions d'animaux sont l'objet d'expériences dans les laboratoires européens. La science, la médecine, l'industrie pourraient-elles se passer de ces pratiques? Le troisième Congrès mondial sur les alternatives et l'utilisation des animaux en sciences de la Vie, organisé à Bologne à la fin de l'été dernier, a permis de dresser un état des lieux de la question. Et suscité d'amples débats... »
http://www.europa.eu.int/comm/research/rtdinfo/fr/24/03.html
http://perso.wanadoo.fr/proanima/
Un système mafieux
http://membres.tripod.fr/vivisection/
http://www.vivisection.fr.st/
La Rage au Coeur
http://www.ragecoeur.itgo.com/vivimedia.html
http://www.cordis.lu/innovation-smes/vips/en/src/en-pr-054.htm
http://ihcp.jrc.it/theihcp/Activities/ACTVali.html
http://ihcp.jrc.it/theihcp/Organisation/VBTM-ECVAM/Vindex.html