L’auteur, maintenant décédé, a pratiqué la pédiatrie pendant plus de 30 ans. Il a écrit de nombreux livres, a été directeur national du projet Head Start’s Medical Consultation Service, président du comité d’accréditation médicale pour l’État de l’Illinois, professeur associé de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, États-Unis.
Bien que j’aie moi-même utilisé les vaccins dans les premières années de ma pratique, je suis devenu un opposant farouche des vaccinations de masse à cause des nombreux dangers qu’elles représentent. Le sujet est si vaste et complexe qu’il mériterait tout un livre. Je ne peux donc ici que donner un résumé de mes réticences au zèle fanatique avec lequel les pédiatres injectent aveuglément des protéines étrangères dans le corps de votre enfant, sans savoir quelles conséquences néfastes peuvent en résulter.
VOICI L'ESSENTIEL DES MES ARGUMENTS :
Car si les vaccinations étaient responsables de la diminution ou de la disparition de ces maladies aux États-Unis, pourquoi donc ont-elles disparu d’Europe où les vaccinations de masse n’ont pas été appliquées ?
CE QU’ILS ONT DIT DE LA VACCINATION…
Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. Il est responsable d’un grand nombre de mortalités et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. Chez les enfants prédisposés à la maladie, cela bousculera de fond en comble leur système immunitaire, les conduisant ainsi à un dommage cérébral irréparable ou à de sévères attaques ou même à des cas de mortalité à partir de maladie, telles que la pneumonie, la gastro-entérite, etc.
Dr Archie Kalokerinos
Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.
Dr William Frosehaver
C’est une grand insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui.
Dr Moskiwitz
Une grande partie des millions d’enfants américains, souffrant d’autisme, d’attaques d’arriération mentale, d’hyperactivité, de dyslexie et d’autres formes de maladies appelées «incapacité mentale », le doivent à l’un ou l’autre des vaccins administrés pour combattre les maladies de l’enfance.
Harris Coulter, historien médical américain
Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir, les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite… Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d’autres pays… Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts.
Dr Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)
Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer.
Professeur R. Simpson de l’American Cancer Society
Le vaccin modifie le terrain du vacciné, le rendant alcalin et oxydé, c’est-à-dire le terrain du cancer. Ce fait ne peut plus être ignoré.
Revue de pathologie et de physiologie Clinique, France
Des montagnes de preuves révélées lors de ce Congrès ou disséminées dans la littérature scientifique ont montré la présence de virus, d’agents oncontiques et de leurs antigènes et anticorps dans des tissus soi-disant normaux provenant de primates et de non primates utilisés comme source de cellules pour la reproduction des virus nécessaires à la fabrication de vaccins pour l’homme.
O.N. Fellowes, Plum Island Animal Disease Laboratory
Aujourd’hui, près de deux siècles après les premiers essais de Jenner, la médecine est obsédée par les vaccins ; on en cherche même contre la carie dentaire, comme si l’hygiène buccale ne suffisait plus. Pourtant, leur apport n’est guère impressionnant si ce n’est pour leurs fabricants.
Robert Sharp
Les vaccins et sérums sont également dangereux car ils ne font pas disparaître les causes profondes des troubles ; ils attentent à la spécificité humorale de l’espèce humaine ; ils sont la cause de réveils d’affections latentes et de maladies de dégénérescence très graves.
André Passebecq
QUE FAIRE ?
Nous avons le droit fondamental de refuser tout traitement médical et le vaccin ne fait pas exception. Tout individu a le droit d’être vacciné ou pas, même lors «d’épidémie ». L’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte Québécoise et à l’Article 7 de la Charte Canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une «épidémie » de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite «épidémie ».
Pour voyager à l’étranger sans vaccinations, vous pouvez déclarer simplement une exemption sous la Clause 84 du Code Sanitaire de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et adoptée par tous ses membres. (La seule exception à cette clause peut avoir lieu si vous arrivez d’une région infectée).
Cet article se lit comme suit :