Les vaccins :
une bombe de l’ère médicale

- Robert Mendelsohn, médecin.


L’auteur, maintenant décédé, a pratiqué la pédiatrie pendant plus de 30 ans. Il a écrit de nombreux livres, a été directeur national du projet Head Start’s Medical Consultation Service, président du comité d’accréditation médicale pour l’État de l’Illinois, professeur associé de médecine préventive et de santé communautaire à l’École de Médecine de l’Université de l’Illinois, États-Unis.

Bien que j’aie moi-même utilisé les vaccins dans les premières années de ma pratique, je suis devenu un opposant farouche des vaccinations de masse à cause des nombreux dangers qu’elles représentent. Le sujet est si vaste et complexe qu’il mériterait tout un livre. Je ne peux donc ici que donner un résumé de mes réticences au zèle fanatique avec lequel les pédiatres injectent aveuglément des protéines étrangères dans le corps de votre enfant, sans savoir quelles conséquences néfastes peuvent en résulter.

VOICI L'ESSENTIEL DES MES ARGUMENTS :

  1. Il n’existe aucune évidence scientifique convaincante prouvant que ce sont les vaccinations qui ont éliminé les maladies d’enfance. Il est vrai que certaines maladies d’enfance qui étaient autrefois fréquentes ont diminué ou disparu depuis que les vaccinations ont été introduites ; personne ne sait réellement pourquoi, bien que l’on pense que c’est l’amélioration des conditions de vie qui en est la cause.

    Car si les vaccinations étaient responsables de la diminution ou de la disparition de ces maladies aux États-Unis, pourquoi donc ont-elles disparu d’Europe où les vaccinations de masse n’ont pas été appliquées ?

  2. On pense habituellement que c’est grâce au vaccin SALK que l’épidémie de poliomyélite qui frappa les enfants américains dans les années 1940 et 1950 a pris fin. Si c’est vrai, pourquoi est-ce que les épidémies ont aussi cessé en Europe où le vaccin POLIO n’était pas utilisé de manière aussi généralisée ? Et pour prendre un sujet d’intérêt plus récent, pourquoi est-ce que le vaccin SABIN est encore administré à des enfants, alors que le Dr Salk affirme que c’est ce vaccin qui cause actuellement la plupart des cas de poliomyélite ? Continuer à administrer ce vaccin est un comportement médical irrationnel qui ne fait que confirmer mon opinion que les médecins répètent constamment leurs fautes. Nous assistons là à une répétition du scénario où l’on voyait la difficulté du corps médical à abandonner la vaccination contre la variole. Ce vaccin resta la seule cause de mort due à la variole pendant trente ans après que la maladie ait disparu. Pensez-y, pendant trente ans, les enfants mouraient après des vaccinations antivarioliques, alors que la maladie elle-même ne comportait plus un risque réel !

  3. Tout vaccin comporte des risques et des contre-indications ; cependant, les médecins les administrent de routine et par habitude, sans avertir les parents des dangers possibles et sans rechercher si tel vaccin serait contre-indiqué pour votre enfant. Aucun enfant ne devrait être vacciné sans qu’on réfléchisse à cela, et pourtant des queues d’enfants sont alignées chaque jour dans les cliniques pour recevoir un vaccin, sans qu’aucune question ne puisse être posée par leurs parents.

  4. On pense de plus en plus que ces vaccins contre les maladies d’enfance relativement bénignes peuvent être responsables de l’augmentation intense des maladies auto-immunes dans notre population. Ce sont des maladies graves comme le cancer, la leucémie, les rhumatismes, la sclérose en plaques, le lupus érythémateux disséminé et le syndrome de Guillain-Barré. Dans les maladies auto-immunes, les mécanismes de défense de l’organisme ne savent plus faire la distinction entre les protéines étrangères et les tissus du corps lui-même, en conséquence l’organisme commence à se détruire lui-même. Allons-nous échanger rougeole contre le cancer et la leucémie ?

CE QU’ILS ONT DIT DE LA VACCINATION…

Le pire vaccin de tous est celui contre la coqueluche. Il est responsable d’un grand nombre de mortalités et d’un grand nombre de dommages cérébraux irréversibles chez les nouveau-nés. Chez les enfants prédisposés à la maladie, cela bousculera de fond en comble leur système immunitaire, les conduisant ainsi à un dommage cérébral irréparable ou à de sévères attaques ou même à des cas de mortalité à partir de maladie, telles que la pneumonie, la gastro-entérite, etc.
Dr Archie Kalokerinos

Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même.
Dr William Frosehaver

C’est une grand insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui.
Dr Moskiwitz

Une grande partie des millions d’enfants américains, souffrant d’autisme, d’attaques d’arriération mentale, d’hyperactivité, de dyslexie et d’autres formes de maladies appelées «incapacité mentale », le doivent à l’un ou l’autre des vaccins administrés pour combattre les maladies de l’enfance.
Harris Coulter, historien médical américain

Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir, les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite… Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux États-Unis et dans d’autres pays… Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie… Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts.
Dr Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)

Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaques, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer.
Professeur R. Simpson de l’American Cancer Society

La vaccination cause, de plus, l’explosion des cas de leucémie.
Dr Duperrat

Le vaccin modifie le terrain du vacciné, le rendant alcalin et oxydé, c’est-à-dire le terrain du cancer. Ce fait ne peut plus être ignoré.
Revue de pathologie et de physiologie Clinique, France

Des montagnes de preuves révélées lors de ce Congrès ou disséminées dans la littérature scientifique ont montré la présence de virus, d’agents oncontiques et de leurs antigènes et anticorps dans des tissus soi-disant normaux provenant de primates et de non primates utilisés comme source de cellules pour la reproduction des virus nécessaires à la fabrication de vaccins pour l’homme.
O.N. Fellowes, Plum Island Animal Disease Laboratory

Aujourd’hui, près de deux siècles après les premiers essais de Jenner, la médecine est obsédée par les vaccins ; on en cherche même contre la carie dentaire, comme si l’hygiène buccale ne suffisait plus. Pourtant, leur apport n’est guère impressionnant si ce n’est pour leurs fabricants.
Robert Sharp

Les vaccins et sérums sont également dangereux car ils ne font pas disparaître les causes profondes des troubles ; ils attentent à la spécificité humorale de l’espèce humaine ; ils sont la cause de réveils d’affections latentes et de maladies de dégénérescence très graves.
André Passebecq

Vacciner c’est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle.
Simone Delarue

QUE FAIRE ?

Nous avons le droit fondamental de refuser tout traitement médical et le vaccin ne fait pas exception. Tout individu a le droit d’être vacciné ou pas, même lors «d’épidémie ». L’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte Québécoise et à l’Article 7 de la Charte Canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une «épidémie » de rougeole, les parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite «épidémie ».

Pour voyager à l’étranger sans vaccinations, vous pouvez déclarer simplement une exemption sous la Clause 84 du Code Sanitaire de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et adoptée par tous ses membres. (La seule exception à cette clause peut avoir lieu si vous arrivez d’une région infectée).

Cet article se lit comme suit :

  1. L’Administration Sanitaire peut demander à une personne en voyage international qui ne montre pas suffisamment l’évidence d’une protection par vaccination ou par une atteinte antérieure de variole, de posséder à son arrivée, un certificat de vaccination contre la variole. Toute personne semblable qui ne peut produire un certificat peut être vaccinée. Si elle refuse la vaccination, on peut la mettre sous surveillance pour au plus 14 jours.

  2. Une personne sous surveillance ne doit pas être isolée, mais pourra circuler librement. L’officier de santé peut lui demander de le visiter si nécessaire, à des intervalles spécifiques, durant la période de surveillance.

Reour ( Mythes et Réalités )

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