Eh oui, un édito très particulier ce mois-ci, puisque non écrit par un 3° année ! Le coup de pied au c... du mois dernier (bien maladroitement administré...) aura au moins eu le mérite de nous mettre au pied du mur.
Mais la relève n’est pas seulement assurée «journalistiquement». Effectivement, nos collègues mais néanmoins amis de l’ATEM, trouveront quelqu’un à qui transmettre le flambeau : les élections du bureau se sont déroulées il y a quelques semaines et vous trouverez en page intérieure la liste des futurs nouveaux. Nous y sommes plus nombreux que jamais, car tout le monde s’y est impliqué, et nous espérons que nos aînés en tireront autant de satisfaction que nous.
Ces derniers vont bientôt quitter le nid douillet de la MIAGe pour voler de leurs propres ailes, et ce malgré les vents de sens contraire qui soufflent à notre époque. Certains, comme l'alouette, iront se faire plumer la tête ; d'autres iront jouer les aiglons du monde professionnel, et quelques uns enfin, reviendront au nid, même si celui-ci sera perché sur une branche plus haute. |
Quels qu'ils soient, MERCI. Merci, de nous tous, pour votre accueil, pour le bizutage (qui ne fut pas une partie de plaisir que pour vous !),pour les annales, les conseils, les tuyaux, pour les soirées, les apéros,... J'arrête, c'est un édito que j'écris, pas un programme COBOL assurant la gestion des bons moments... Un seul mot donc : merci.
Par contre, à la différence des années précédentes, il ne restera pas en MIAGe une seule promo mais deux ! Nous irons donc noyer notre tristesse ensemble, en réfléchissant déjà au bizutage de l'an prochain : qu'allons-nous donc concocter aux futures première et deuxième années (ricanement sadique) ? Quitte à la faire ressembler à une armée mexicaine, peut-être aurions-nous dû créer au sein de l'ATEM une section "Bizutage" ? Quoi qu'à ce poste là, nous y sommes tous inscrits, et sans se forcer.
Enfin, last but not least, ce journal ne vivra que si nous nous donnons TOUS la peine d’y participer : nous en le publiant, et vous en le commentant. N’hésitez pas à y glisser votre grain de sel, en nous faisant part de vos remarques,
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de vos suggestions, ou même de vos articles si vous vous sentez l’âme d’un journaliste en herbe. C’est un discours qui a un goût de réchauffé (suivez mon regard...), mais ne dit-on pas que la répétition est à la base de l’enseignement ? La grande ambition de cette petite feuille de chou est d’être une des nombreuses composantes de notre dynamisme, celui qui fera de la MIAGe un lieu de travail, oui, mais le plus chaleureux et le plus convivial possible.
Voilà, that’s all folks ! Et recommandons notre âme -et notre foie !- à Cinzano, patron de la MIAGe, si cette Souris reçoit de votre part un accueil enthousiaste.
Nous l’espérons en tout cas de tout coeur.
Olivier Guinart
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