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Some of you who have been to Asian countries especially in Japan must have noticed that the legs of Japanese lady are slightly bandy-legged (bowleg). I have been trying to figure out why the legs are shaped that way and found 2 answers to it. The first one is that it's because of the traditional way the Japanese sit on tatami (Japanese mattress). When you sit, you have to put your butt on the heels with the shin on tatami. It comes from Zen practice. This peculiar way of sitting hinders the development of necessary muscles to keep the legs straight. But recently, the tradition itself is outdated and there are parents who don't let their children sit in that way so you can find Japanese girls with beautiful straight legs. I anyway I think this is why the Japanese legs are bandy-legged.When you see the magazines for young women, you can find tons of advertisement on how to make the legs straight and slim. If you're interested I'll put the add on here.
The second explanation is simply the matter of the way the body is build. The Asians have genes that make legs fended. But I don't buy it.
........J'ai une idée psychologique sur la cause qui provoque le voyeurisme envers les jambes, et, sans doute toute forme de voyeurisme fétichiste envers les jambes ou les 'upskirts'. Peut-être que cela ne t'intéresse pas, mais au cas oû, je te l'écris, tu as le choix de ne pas lire la suite. Le voyeurisme des jambes est provoqué par un déséquilibre affectif intérieur du voyeur et par son histoire avec sa mère. Premiàrement, le voyeur ressent un vide, une insatisfaction, une frustration permanente qui se canalise plus facilement à travers le voyeurisme qu'à travers l'effort, le travail. Il se peut aussi que ce vide et cette insatisfaction, cette tristesse soient provoquée s par sa vie de tous les jours, au travail, ou en famille. Ce déséquilibre porte le voyeur à trouver une satisfaction physique et psychique dans la contemplation de la beauté de la jambe. Deuxièmement, le voyeur a eu un probleme particulier dans son enfance : sa mère n'a pas su lui donner l'affection adequate à sa personnalité et n'a pas donné cette affection au moment ou, enfant, il en avait grand besoin, et pour des raisons qui me sont encore inconnues, cette frustration-traumatisme s'est fixée sur les jambes de la mère. En effet, il me paraît évident que l'enfant pour trouver sa mère doit d'abord trouver les jambes de celle-ci, alors les jambes peuvent se transformer en symbole de la mère et de son affection. Le manque d'affection se fixe alors inconsciemment dans l'enfant sur les jambes. Une fois adulte, quand le voyeur sera triste, frustré, il reproduira naturellement, inconsciemment, sans même se rendre compte, ce qu'il avait ressenti enfant. Pour trouver le reconfort, il doit chercher les jambes de sa mère dans celle de toutes les femmes, et, puisqu'il est devenu adulte et dote de goût, il choisira celles qui lui paraîssent les plus belles et les plus attirantes pour son instinct sexuel. Ce que je dis là n'est pas revolutionnaire, mais peut l'être pour quelqu'un qui ne connaît pas un peu de Freud, cela peut même provoquer un degoût profond. Pourtant, ce que je dis n'est pas degoûtant. L'enfant aime sa mère et a besoin de son amour, il va donc vers elle, vers ses jambes, puisqu'il est encore petit. Si la mère ne comble pas le besoin d'affection de l'enfant, il en souffre et reste durant sa vie d'adulte, à moins qu'il ne fasse une psychanalyse, à la recherche de sa mère. De plus, une fois adulte, il subit des agressions du monde et des autres, ( et l'agression que provoque en lui le voyeurisme, car il se transforme uniquement en objet, en instinct, rejetant au moment de l'acte voyeur son esprit et son coeur - en effet il n'aime pas la personne qu'il regarde, il se sert d'elle et de son regard pour satisfaire une frustration ) et alors cela lui rappelle inconsciemment sa souffrance passée avec sa mère, et il la recherche inconsciemment à travers le voyeurisme des jambes des femmes. En bref, le voyeur est voyeur pour des raisons d'instinct sexuel naturel de reproduction, de manque de satisfaction physique et psychique dans sa vie actuelle, de manque d'affection dans son enfance.