Une vie en fille
Bonjours à tous et à toute, mon nom est Geneviève.
dabord j'aimerai remercier Vanda pour cette place donnée aux travestis et transexuels de Suisse et de pays francophones. Celà me manquais de ne pas avoir un seul journal français traîtant ce sujet.A l'instar des autres, pour ce que j'ai pu lire jusqu'à maintenant dans cette revues, je ne suis pas travestie mais transexuel ou bien pluôt femme maintenant. J'ai 33 ans, j'habite Genève comme Alice et je suis mariée depuis peu à un homme qui semble comblé. J'ai changé d'identité sexuelle il y à 11 ans, et celà m'a pris plusieurs anées pour arriver jusqu'au bout de tout les traîtements et opérations. Je ne laisserai pas mon adresse internet car mon but n'est pas de rencontrer d'autres personnes, mais de vous encourager à en parler et à passer à l'acte.
J'ai vecu depuis toute petite chez ma tante Elise. Mes parents étaient décédés alors que je n'étais qu'un bébé. Ma tante avait perdu elle même coup sur coup son mari et sa petite fille de deux ans. J'aitais pour elle une deuxième chance envoyée par le ciel. Mais le hic, c'est qu'elle m'avais calquée sur sa fille décédée. Alors j'étais sa petite fille. Je ne me souvient pas que celà aie pu me géner dans les premières années de ma vie. Elle m'apellait sa petite colombe, et je ne voyais aucune différence avec les autres fillettes. Je jouais à la poupée, j'avais des nattes, et pour tout le village j'étais la fille de la veuve Elise. Ayant une santé un peu fragile, je ne participais pas au activités sportives.
Les choses se sont gatés à l'âge de douze ans. J'ai eu mon premier petit copain, comme les autres amies. Et pour son âge il était un peu trop entreprenant à jouer au docteur.Il s'étais rapidement aperçu de la supercherie. Scandale au village, renvoie de l'école, et je ne comprenais pas pourquoi. Je me sentais une fille à par entière. J'étais leurs amie, et plus personne ne me parlais. Ma tante du m'expliquer la cause de ce désagrément, mais je n'arrivais pas à la comprendre. Dans ma tête tout était troublé. Elle voulu me couper les cheveux et me faire porter les pantalons. Mais comme jusque là je n'en avais jamais mis, je trouvais que celà était une torture et je ne voulais pas me plier à coupe de mes long cheveu, de plus je me considérais et elle aussi surement comme étant sa fille. La solution fu trouvée pour que je continue l'école. Elle m'inscrit dans une école privée de la ville toute proche. Nous n'avions plus de contacts avec le village. Tous les jours elle me conduisait à l'école, vêtues de mon uniforme marine, chemise blanche et nattes à neuds rouge. Et tous les soirs elle venait me reprendre. J'avais du lui promettre de ne plus avoir d'autre petit ami pendant toute ma scolarité et en contre partie je pouvais continuer à jouir de mon identité de femme.
A l'âge de 19 ans, mon papier en poche, je me suis inscrite à l'université. Pour l'armée j'avais été déclarée inapte par le psychiatre militaire. J'avais choisis langues modernes. Les cours se passais bien, j'avais un petit problème côté voix, qui avait un peu muée mais ça ne se remarquait pas trop. Ma tante avais quand même pris la décision de me faire aller chez un médecin qui me préscrit quelques pillules après avoir lu le raport de mon psy. Ma voix devin plus féminine et les quelques poils que j'avais disparurent. Cette situation me convenu pendant plusieurs années. En ayant pris de l'indépendance, je pu avoir à nouveau des relations avec d'autre jeunes de mon âge. A ce sujet je voudrai vous raconter une anécdote.
J'avais environ 22 ans, un garçon du nom de Ludovic lorgnait toujours sur moi. Il m'avait accompagnée plusieurs fois devant la porte de mon studio. Mais comme il était timide, il n'osait jamais me demander de sortir avec lui. Ce soir la donc, je l'invitais à venir chez moi souper. Il arriva avec un grand bouquet de roses. Pour l'occasion j'avais vêtu ma robe noir courte, des talons haut, et comme je pensais aller plus loin, j'avais enfilé des bas noirs un guêpière et noir avec son slip assorti. Nous avions bu une bouteille de bordeaux avec le repas et l'air était devenu électrique. Nous allames sur le divan pour le café. Je me frotais à lui pour l'exiter. Il posa une main sur mon épaule et j'en posais une sur sa jambe. En un bref instant, ma main était déjà sur la couture de son pantalon. Tétanisé, il se laissait faire.Déjà mes lèvres envellopaient son pénis et faisaient un va et vien autour du champignon violacé. Lui gémissait. Je m'arrêtais pour reprendre mon soufle. Le voilà qu'il lui voulu prendre l'initiative. Sa main glissait le long de ma jambe, pour aller frenétiquement se faufiler entre mes jambes. Il ne savait rien de ma situation. Il leva ma jupe et voulu m'enlever la culotte. Ho surprise ! Il avait les yeux écarquillés et ne savait plus que faire. J'approchais ma protubérence de sa bouche. Au début il résistat, mais le désir fit vite place et il l'avala gouluement. Notre petit jeux de main ne s'arrêta pas à ces préliminaires. Ma chambre et surtout mon lit lui furent tout dévoués. Luduvic me pénétra d'un coup sec. La douleur fut vive au premier coup. Mais après celà la sensation pris le dessus sur la douleur . J'étais à quatres pattes sur le lit et lui me chevaucher . Son geste était puissant. Quand il vint en moi, il se fit sacadé. Ludovic se retira doucement et s'étalla sur le lit comme un athlète après un marathon. Alors je me retourner au dessus de lui et j'enfilai mon gland entre ses lèvres. Je ne mis pas beaucoup de temps avant d'exploser litéralement dans sa bouche. Ludovic fut mon amant le temps de nos études, puis nous nous perdîmes de vue
Geneviève