La première sortie en fille s'était avérée très exitante, mais trop peu satisfaisante. En effet, je n'avais fait que sortir et me promener en voiture, puis dans un parc où je n'avais rencontré personne. Ce soir là, j'étais rentrée sans trop m'attarder. L'expérience m'avait donné l'envie d'aller plus loin et d'oser plus.

Je me rendis tout d'abord chez une amie estéticienne. Cloé est une amie très complice qui connaît depuis fort longtemps mes envies de féminité. Elle procéda d'abord par une épilation de mes jambes à la cire d'abeille puis à un nétoyage de la peau. L'opération términée, nous nous rendimes chez moi pour la suite. Cloé commença par m'appliquer les faux ongles, puis les limas et leur appliqua le rouge à ongles (Nr.20 de Chanel). Elle s'attaqua ensuite au maquillage du visage. Elle me mis fond de teint, poudre, fard à joues, rouge à lèvres Chanel, fard à paupières. Elle s'appliqua a faire disparaître toute trace de virilité. Je la remerciais pour cette préparation fort réussie, et elle pris congé de moi. Je me rendis dans la chambre pour y achever ma transformation. Je fixais mes bijoux de famille contre mon stérnome à l'aide d'une lanière de cuire fabriquée à cet effet. Je choisis une petite culotte de soie noir brodée, une guêpierre noire à dentelles et des bas noirs à couture. La robe, je la choisis noir, moulante et courte juste ce qu'il faut. Je me rendit dans la salle de bain pour y enfiler ma coiffe, une perruque brune bouclée aux cheveux long. Je me parfumais de quelques goutes de Venezia (Laura Biagiotti). Enfin j'étais prête à sortir, enfin presque. J'enfilai dans le vestibule mon manteau de fourrure et mes talons noirs laqués haut de 10 cm. Je regardais que mes voisins de palier ne fussent pas la à m'épier. Ouf ! personne, je m'empressais de monter dans mon auto et je pris l'autoroute direction Lausanne.

Arrivée à la rue de Genève, j'enfiais ma voiture dans un parking discret. Après un check up minutieux de mon sac à main, je me rendais sur la rue de Genève. La d'avant en arrière des femmes habillées de façon provoquante, faisaient les cents pas. J'observais un long moment un bout de trotoir qu'aucune des ces femmes n'avait arpenté. Après dix bonnes minutes d'attente, je decidais de mi rendre et de l'occuper. Pas une autre dame de nuit ne se trouvait à moin de 50 mètres de ma position. Je me mit à immiter la cadence du pas et les gestes de ces dames expérimentées. Le premier automobiliste ne tarda pas à arriver. Il avençait au pas, fenêtre baissée, en me regardant, mais il resta silencieux et s'en alla non sans avoir fait crisser les pneus. Je continuais mon manège quand une Renault twingo s'avança à son tour, avec à son bord deux jeunes hommes, garçons devraige dire plutôt, car j'appris par la suite que l'un avait dix-huit ans et l'autre seize.

"C'est combien ?" me lança le plus agé, timidement. Je le regardais droit dans les yeux et lui répondit "Cent franc pour la pipe et deux cents cinquante pour la totale, mais comme vous êtes deux je vous fais un prix, quatre cent pour les deux." Un peu surpis par ma voix basse, le plus jeune me demanda "Tu es trans ?". Je lui rétoquais "Non travesti". Le plus vieux dit alors à l'autre "laisse tomber" et ils démarèrent. Mais il n'avaient pas fait dix mètres qu'ils s'arêtèrent et firent marche arrière. "Ok, on connait un squat pas loin d'ici, on t'emmène, monte!" Je ne me fit pas prier.

En effet après cinq minutes en voiture, nous arrivions devant la grille d'un parc au bout duquel se trouvait une maison ancienne apparament abandonnée. Nous franchîmes la grille. Rentrés à l'intérieur ils m'invitèrent à les suivre dans ce qui devait être un salon à l'époque. Le plus jeune, Stéphane, alluma un feu dans la cheminée. De son côté, Marc, commençait à me pelloter. De toute évidence ils connaîssaient bien l'endroi et devaient y venir souvent. "Mon cadeau dabord" leur lançaige. Marc s'en alla un moment et revint avec une liasse de billets. Le compte y était. Je leur ordonnais de se dévétir totalement. Ils s'exécutèrent. Leurs membres étaient rédis. Je m'assis sur une chaise. "Aprochez-vous que je les vois de plus près". Je leur caraissais les fesses, leur palpais leur membre, et regardais avec amusement leurs expressions d'envie. Je pris deux preservatifs dans mon sac, que je déroulais sur leur protubérence violacée. Les deux jeunes garçons ne tenaient plus en place. Je pris Marc par les fesses et aprochais son pénis de ma bouche. Mon exitation se trouvais au comble. Je n'oubliais pas pour autant Stéphane que je branlais de ma main habile. Je fini vite par altérner entre ces deux garçons qui ne demandaient que d'être comblés. Je leur proposais de pousuivre nos ébats sur le matelas posé à terre. J'ordonnais à Stépane de se mettre à genoux devant moi et de lever ma robe. "Enlève ma culotte." Il le fis sans réclamer. Je défis la lanière et mon falus apparus juste à hauteur de sa bouche. Marc lui lança : "Suce la!" Il sauta bouche ouverte sur ma queue et la goba. Marc nous regardais en se masturbant. "C'est assez maintenant!" lui ordonnaige.

La je fis coucher Marc sur le dos. Je me mis accroupie sur son bas ventre et j'invitais Stéphane à me sodomiser. Il me pénétra sans trop de difficultés, vue la grosseur de son falus, et entama lentement un vas et vien de mon petit trou. Moi je m'occupais du gland de Marc. Je stoppais Stéphanne avant qu'il ne vienne. Nous changeament de position. Stéphane dessous et moi dessus nous nous mimes en position du 69. Marc me cavalca et fit des mouvents plus violants. Exitée par les assauts de Marc et les caresses bucales de Stéphane je me tortillais dans tous les sens et ronronnais de plaisir. Je ne sais pas le temps que pris cette épopée. Mais quelle apotéose ! Nous jouîmes tous trois à la fois. En entendais plus que des ralement de plaisir.

Nos explois terminés nous nous endormîmes pour quelques minutes affalés les uns sur les autres. A mon reveille je renfialais ma lanière et ma culotte, réajustais ma coiffure et reveillais les petits angelots. Il me reconduisirent à notre lieux de rencontre et me quitèrent non sans me lancer un sourire de satisfaction.

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