Hou Lala, chaud devant !!! Ce joli texte m'a été envoyé par une correspondante qui souhaite rester anonyme. Savourez et, comme moi, mourrez de jalousie…  

 

 

Cela faisait plusieurs fois que Karine me tendait la perche. Une fois aux sports d’hiver, elle avait insisté pour que je porte ses collants de laine noirs sous ma combinaison de ski, prétextant le grand froid qu’il régnait ce jour là. Une autre fois, pour une soirée costumée, elle aurait voulu que je m'habille en femme. J’avais refusé avec véhémence, non pas que l’idée ne me plaisait pas, mais au contraire parce que j’avais trop peur qu’elle découvre l’émoi que cela m’aurait procuré. Je me rends compte maintenant combien c’était stupide.

C’était une fin de soirée d’hiver banale. Nous discutions devant la télé en sourdine, comme nous en avions l’habitude. J’étais en jean et tee-shirt et Karine portait sa combinette de satin vert d’eau, avec le peignoir assorti. Cette fois-ci, ma femme ne paraissait pas décidée à ce que j’élude le sujet.

- J’ai bien remarqué comment tu lorgnes mes jupes, disait-elle en riant, ne me dis pas que tu n’aimerais pas en porter aussi.

Je protestais, assez mollement.

Nous continuâmes a jouer ainsi à jouer au chat et à la souris, jusqu’à ce j’accepte, " pour lui faire plaisir ", de tenter une expérience avec elle.

Dans la chambre à coucher, Karine me sortit sa plus belle parure. D’un bleu marine très profond, la soie scintillait et bruissait sous ses doigts, rehaussée par les incrustations de dentelle blanche. Je me déshabillait en silence et Karine se plaça derrière moi pour agrafer le soutien gorge et le porte-jarretelles. J’étais rouge de confusion et d’excitation mêlées. Elle se baissa pour me faire enfiler la large culotte et je sentis sa respiration courte et saccadée. Je bandais comme un fou et Karine s’en amusa, tassant ma verge sur le côté de la culotte. Au contact de sa main sur ma verge, je crus défaillir. Enfin, elle fixa une paire de somptueux bas blancs aux jarretelles et se recula pour admirer son œuvre. Je me sentais légèrement mortifié et terriblement vulnérable à ce moment.

- Tu es merveilleux comme ca, me dit-elle, on croirait que ca a été fait pour toi.

Elle me poussa sur le lit et m’allongea sur le dos. Là, sans un mot de plus, elle se plaça à califourchon sur moi et d’une main, sortit ma verge toute raide de sa prison de soie. Sans plus de préliminaires, elle s’assit dessus en gémissant. Je rentrais d’un coup, le vagin était tout humide et si chaud. Je laissais échapper un râle. Karine s’agitait doucement, en se mordant les lèvres, profitant de chaque seconde de jouissance. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir et ses spasmes me serrèrent tant le sexe que j’éjaculais à mon tour, submergé par le plaisir.
 
Après avoir repris nos esprit, j’étais un peu mal à l’aise mais ma femme dissipa toute gêne.

- C’était si bon, me dit-elle. Tu vois que j’avais raison j’étais persuadée que cela te plairait.

Je l’embrassais tendrement.

- Je dois avouer que c’était délicieux, lui avouais-je. Et c’est vrai que tes dessous m’ont toujours fait un effet incroyable.

- On ne trompe pas sa femme comme cela, me lança t’elle en riant. Je l’avais deviné. Maintenant, fais-moi plaisir. Porte un truc a moi pour cette nuit. Ca nous rappellera comme on a bien fait l’amour.

J’acceptais, vaincu et je dormis donc cette nuit là en nuisette de satin jaune d’œuf. Le contact du vêtement me rendis aussitôt mon érection, ce que remarqua Karine du premier coup.

- Demain matin, si tu es sage, Je verrais ce que je peux faire pour toi, dit-elle en caressant ma verge.

Au matin, en effet, je fus réveillé de la plus délicieuse façon. Elle avait emprisonné mon sexe dans un pan de la chemise de nuit et me faisait une fellation au travers de du satin. Il me fallut encore moins de temps que la veille pour éjaculer dans l’étoffe. Je n’avais jamais senti une sensation comme celle là. C’était tellement merveilleux que j’avais failli tomber dans les pommes.

Je le dis à ma tendre épouse.

- Si tu es toujours aussi gentil, tu n’as pas fini d’avoir du plaisir, me répondit-elle sérieusement. Maintenant occupe toi de moi, Tu ne vas pas me laisser dans cet état. Elle prit ma main et la posa sur son minou. Touche comme je suis toute mouillée.

En effet, elle l’était, et bon prince, je pris les choses en main.
 
Nous avons continué quelques mois comme cela. Karine voulait maintenant que je me maquille et que je porte des talons avant de faire l’amour. Je faisais mine de renâcler mais en fait, jamais je n’avais été aussi bien dans ma peau. De même, je m’épilais à la cire trois fois par semaine. C’était un peu pénible mais le fait de sentir glisser les bas sur des jambes lisses valait largement l’effort à fournir. Mon amour ne se lassait pas de m’acheter de nouveaux sous-vêtements et nous faisions parfois l’amour dès les paquets ouverts. Je me promenais maintenant sans complexe dans la maison en sous-vêtements féminins et bien souvent, je regardais la télé vêtu des plus affriolantes lingeries.
 
 Un samedi matin pourtant, le jeu changea encore. Ma femme s’était levée avant moi et m’apporta le petit déjeuner au lit. C’était assez inhabituel car c’est plutôt moi qui avait l’habitude de lui faire ce petit plaisir. Je portais une longue chemise de nuit de satin bordeaux et le déshabillé était posé sur ma chaise. Je l’enfilais pour me protéger du froid.

Après le petit déjeuner, Karine alla jusqu’au placard et en sortit plusieurs paquets cadeaux. Je réalisais aussitôt. C'était mon anniversaire ! Comment avais-je pu oublier ? J’embrassais ma petite femme comme il se doit et, tout sourire, déballais le premier paquet. Je ne fus pas réellement surpris quand je sortis la jupe droite de drap gris du paquet et je la tendis devant moi pour l’admirer. Je me tournais vers ma charmante épouse.

- Tu es sûre que c’est ma taille ? , M'inquiétais-je. Je ne voudrais pas a avoir à faire un régime pour rentrer dans ma première jupe.

Nous fumes alors pris d’un fou rire qui mit bien longtemps à s’éteindre.

Karine avait bien faite les choses, comme à son habitude. Après m’avoir maquillé avec soin, nous commençâmes l’habillage. Outre la jupe, elle m’avait acheté un chemisier blanc à manches longues. Après la douche, place aux essayages. Karine commença par cacher ma verge et mes testicules sous une espèce de coquille de plastique rose qu’elle attacha comme un string, avec une ficelle à la taille et l’autre entre les fesses. Elle fit remonter d’un geste adroit les testicules dans l’aine pour qu’il ne prennent pas de place et confina mon sexe dans cette prison de plastique. Ma queue était complètement plaquée contre mon ventre.

- C’est parce que la jupe se porte très serrée, c’est pour qu’on ne voit pas ton petit machin, me dit tendrement mon épouse. Regarde, on dirait un joli mont de Vénus, comme pour une fille.

C’est vrai que c’était joli, mais j’espérais surtout que je n’allais pas me mettre à bander, car la situation pouvait vite devenir très inconfortable, serré comme j’étais là dedans. Comme c’était un grand jour, Karine continua à m’habiller. Soutien-gorge, dorénavant rembourré par des prothèses assez réussies, porte-jarretelles et culotte en satin rose pour commencer, avec des bas gris fumé très fins et des trotteurs noirs à talons de sept centimètres. J’étais face au miroir et je ne pus m’empêcher de plaquer une main sur mon nouveau minou. L’impression était très étrange et très agréable. Sous le satin de la culotte, il ne semblait y avoir qu’un sexe de femme.

Puis vint le tour du chemisier et de la jupe, qui en effet était très ajustée. Elle descendait juste au-dessus des genoux et je sentais la doublure frotter à chaque mouvement contre mes bas. J’eu bientôt un début d’érection bien vite stoppée par sa prison de plastique. Ma verge poussait contre la coquille sans pouvoir en sortir.

Je me plaignis à mon épouse qui ne voulut rien entendre.

- Aujourd’hui, tu es une fille, me répondit-elle dans un mouvement d’humeur. Les fille n’ont pas ce genre de problème, que je sache.

Sidéré par tant de mauvaise foi, je décidais de prendre sur moi.

Je croyais que nous en avions fini mais Karine sortit un dernier paquet. Dedans ce trouvait une merveilleuse perruque châtain clair. Je m’assis pour qu’elle l’ajuste sur ma tête. Elle formait un carré parfait qui tombait dans le cou, avec une frange droite sur le front.

Karine me fit me lever et tourner devant le miroir, manifestement fière de son œuvre. Je n’en croyais pas mes yeux. Une vrai femme me faisait face dans le miroir. Ni trop grande, ni trop petite, ni grosse, ni maigre, juste une jeune femme banale, habillée comme pour aller au bureau. J’embrassais ma femme pour la remercier et quand je sentis ses mains me peloter les fesses au travers de l’étoffe de la jupe, j’eu l’impression que mon sexe allait bondir hors de sa cage de plastique. En vain, il resta emprisonné sans espoir de se développer.

- Il faut te trouver un prénom, me dit alors Karine, on ne va pas continuer à t’appeler Alain habillé comme tu l’es.

J’étais assez d’accord mais n’avais aucune idée, n’y ayant jamais réfléchi.

- Que penses-tu de Aline, c’est mignon, c’est très féminin et c'est très proche de prénom d'homme.

L'affaire était entendue, je m'appellerais désormais Aline en version féminine.
Je passais une journée fantastique. Je me sentais si bien en femme. La jupe droite m'enserrait délicieusement les cuisses et à chaque mouvement, me rappelais ma tenue de fille. A chaque fois que je passais devant une glace, je ne pouvais m'empêcher de m'admirer, ce qui faisait bien rire Karine. Le matin, je l'aidais dans les tâches ménagères ou plutôt comme à l'accoutumée, Karine me donna un coup de main car parmi les nombreuses qualités de ma femme ne figure pas le goût des travaux domestiques. Elle avait mis une robe courte sans manche noire qui la rendait très désirable et chaque fois qu'elle le pouvait, elle s'arrangeait pour me frôler les fesses quand elle ne me pelotait pas, tout simplement. Après le repas, mon épouse voulut aller se promener. J'étais prêt à me changer mais elle ne voulut rien entendre, malgré mes protestations. Elle exigeait que je sorte habillé en femme ! J'étais à la fois terrifié et excité par cette lubie. Karine me prêta son imper, un sac à main et, avant que j'ai vraiment réalisé avait mis son manteau et me poussai dans la voiture.

En sortant du parking souterrain du centre-ville, j'étais rouge comme une pivoine. J'étais persuadé que tout le monde allait deviner la supercherie et je m'apprêtais à m'enfuir sous les quolibets. En fait, rien n'en fut. Personne ne faisait attention à moi. Il faisait plutôt frais et assez vite, il se mit à bruiner légèrement. Heureusement nous avions un parapluie et nous passâmes une bonne partie de l'après midi à faire du lèche-vitrines, bras-desssus, bras-dessous, comme deux copines. J'étais au Nirvana. Sentir le vent s'insinuer sous ma jupe, entendre le bruissement de la doublure sur mes bas, me sentir entièrement femme de la tête aux pieds, c'était le plus beau jour de ma vie.

Comme il commençait à faire frais, nous sommes allées prendre un thé dans une brasserie. Je fis attention de me taire quand le serveur pris la commande, ma voix étant restée celle d'un homme. Le serveur s'attarda plus que nécessaire à notre table, tout sourire et je compris qu'il nous draguait doucement. Cette sensation était vraiment étrange et pas si désagréable.

C'était ma première journée en femme et j'en garde un souvenir ému. D'un commun accord, nous avons décidé que je passerais désormais tous mes week-end et les vacances habillé en fille et très rapidement, c'est aussi les soirs de la semaine que je passais en femme. J'adorais mon nouveau rôle de petite femme d'intérieur. En effet, Karine qui est médecin et surchargée de travail, me légua la tâche d'entretenir la maison. Pour acheter mon assentiment, elle m'offrit de jolis tabliers et des livres de cuisine. A ma grande surprise, je m'avérais plutôt cordon bleu.

Au bout d'un an, j'avais acquis une aisance qui me permettait de sortir seule. Le seul problème était ma voix et j'étais toujours obligé de simuler une extinction de voix quand j'avais à m'exprimer. Aussi quand Karine me proposa un traitement hormonal sous son contrôle, j'acceptais sans hésiter. Je ne pensais pas alors aux conséquences et me fichait que cela soit irréversible. J'étais dans une spirale qui me poussait toujours plus en avant. Bientôt, j'en sentis les effets. Mes seins commencèrent à pousser, pour mon plus grand bonheur, ma voix mua progressivement, mes hanches s'épaissirent et j'eu à m'épiler moins régulièrement. Je changeais physiquement mais aussi psychologiquement. Je me sentais de plus en plus femme, au point de renier l'homme que j'avais été. Je me dégoûtais habillé en homme et n'aspirais plus qu'a vivre en femme. Mon épouse, elle, avait pris la responsabilité du ménage et ne manquais pas de me le faire sentir mais j'adorais tant mon nouveau rôle de petite femme modèle que je ne lui en voulais pas. Je m'habillais sexy pour lui faire plaisir, je lui portais son petit-déjeuner en dessous de satin sous mon tablier et je la déchaussais quand elle rentrait de son cabinet le soir pour lui passer ses mules. Je découvrais une autre partie de ma personnalité qui ne se révélait que dans le plaisir de mon épouse.

Peu de temps après, je me suis fait licencier. Je ne saurais jamais si cela a un rapport avec mon changement physique, mais il est vrai que sur la fin, je croisais des regard amusés de la part de mes collègues. J'avais de plus en plus de mal à cacher ma poitrine naissante et avec mes sourcils épilés et ma voix qui commençait à changer, j'étais de plus en plus mal à l'aise. Karine pris très bien mon licenciement, au contraire, elle avait déjà des plans pour moi.

- Ca tombe plutôt bien en fait, m'expliqua t'elle, car Nadège, mon assistante, va bientôt me quitter pour suivre son mari muté à Paris. Tu vas la remplacer et comme cela, je t'aurais toujours sous la main.

Et en effet, quelques semaines plus tard, j'étais devenue assistante médicale. En blouse blanche sur mes tenues de secrétaires modèle, je dus me mettre à l'accueil téléphonique et au traitement de texte. Moi qui sortait d'un poste d'encadrement, la chute était rude. Surtout que Karine était devenue incroyablement exigeante. Elle adore me faire passer pour une cruche devant les patients et ne loupe jamais une occasion de m'humilier devant eux. Un jour ou j'avais taché ma blouse (car je fais le ménage en plus du secrétariat), elle a même dit à une cliente que j'étais sale et négligée. J'étais écarlate de honte. Ou alors elle me fait porter des jupes ultracourtes avec des bas et me fait passer pour une catin. Je n'ai alors pas le droit de boutonner ma blouse et je suis obligée de tirer sur ma jupe à chaque fois que je me lève de ma chaise. Le femmes me fusillent du regard et les hommes me regardent avec des yeux ronds. C'est horriblement gênant.

A la maison ce n'est pas mieux : je sers à la fois de bonniche et d'objet sexuel. Matin et soir, un tablier noué sur robe, je m'active pour servir Madame. Les remontrances sont moins rares que les compliments et bien souvent c'est une paire de gifle que je reçois comme récompense. Je sèche alors mes larmes dans mon tablier et je viens demander pardon, abjecte de soumission. Karine, triomphale dans son rôle de maîtresse de maison, m'autorise alors parfois à la lécher pour me faire pardonner. Si elle est vraiment de mauvaise humeur, c'est alors le coin, où alors je suis envoyée au lit sans manger où parfois même je suis fessée comme une gamine, couchée en travers de ses genoux et troussée jusqu'à la taille.

En fait ce qu'elle voulait et qu'elle a obtenu, c'est une petite femme d'intérieur, soumise et effacé. Je n'ai quasiment plus voix au chapitre. Il y a quelques jour, Karine, toute fière, m'a montré notre nouvelle voiture. Je n'étais même pas au courant ! Au niveau financier ce n'est pas mieux. Je n'ai ni chéquier, ni carte bleue. Karine me donne chaque semaine du liquide pour les courses, point. Je la soupçonne de le calculer exprès au plus juste et si je le dépasse, je n'ai pas de quoi payer à la caisse. Morte de honte, je dois laisser des produits sous le regard amusé des autres clients. Je n'ai pas le droit de m'acheter des vêtements toute seule et c'est toujours mon épouse qui choisit pour moi, du manteau au soutien-gorge. Grâce aux hormones j'ai d'ailleurs eu de vrais petits seins et Karine m'a faite opérer pour en avoir de plus gros. Je fais maintenant un bon 90c. J'ai une petite vie bien remplie et bien réglée et c'est vrai que si parfois j'aimerais un peu plus de liberté, j'y trouve un réel confort. Entre mon travail d'assistante médicale et mon activité d'épouse dévouée, je n'ai pas le temps de chromer. Je suis debout aux aurores pour faire du repassage ou du ménage et je ne m'endors qu'après avoir effectué mon devoir conjugal.

Karine ne manque pas d'idées sur la question. Comme mon sexe est maintenant trop petit pour la satisfaire, je dois utiliser principalement ma langue et mes doigts pour lui donner du plaisir, mais aussi des godemichés qu'elle ne manque jamais de me planter dans l'anus après lui avoir servi. Je dois avouer que j'adore cela et que de temps à autres, quand elle me fait porter un plug pour la nuit ou en journée, seule la punition qui m'attend si je suis surprise à me masturber me retient de me caresser. D'ailleurs, après avoir joui, mon épouse me permet toujours de me soulager pendant qu'elle s'endort. Parfois, dans ses bons jours, elle me masturbe elle-même et plus exceptionnellement elle me suce délicieusement.

Je me plains, je me plains mais en fait je crois que je suis parfaitement heureuse et que Karine le sait. Je m'épanouis à l'ombre de ma femme pour notre plus grand plaisir. Ce soir, à la maison, je mettrais ma plus jolie nuisette et je sais qu'en femme soumise et dévouée, je donnerais le meilleur de moi-même pour satisfaire mon épouse.

 

1