Annie, Maîtresse idéale.

 

 

 


Il y a dix ans j’ai rencontré une maîtresse presque idéale. Elle se prénommait Annie. Elle avait juste 20 ans et moi 30. Au début de notre relation j’ai essayé d’initier Annie a mon activité favorite de l’époque : la soumission féminine. Annie s’y prêta par jeux mais un soir elle renversa les règles.
Je me suis retrouvé attaché, en son pouvoir pour un interrogatoire en règle. Elle était très jalouse. Je dus lui avouer toutes mes tentatives et expériences avec d’autres femmes. Elle me caressait sans m’accorder le droit de jouir. Je devais lui donner tous les détails, plus j’avouais plus sa jalousie s’exacerbait. Elle était elle aussi très excitée.
Elle voulut aussi savoir si j’avais déjà trompé mon ex-femme. J’essayais de lui mentir mais elle s’en aperçut.
Cette nouvelle la mit en colère.
- Si tu as trompé ton ex-femme, qu’est-ce qui me dit que tu ne me tromperas pas moi aussi ?
- Tu es une queue qui traîne ! Je ne veux pas d’une queue qui trempe dans tous les coins ! Je crois qu’il faut que je prennes des dispositions.
Elle décida dans un premier temps, pour me punir, de me laisser là, attaché pour le reste de la nuit. Elle téléphona à une copine et planifia une soirée en boîte. Elle s’habilla avec soin, en faisant tout ce qu’elle pouvait pour m’exciter.
- Suis-je assez belle ? Que penses tu de cette mini jupe ? Es-ce que l’on remarque trop mon string ? Ce décolleté, encore un bouton ?…
Ce fut ma première nuit d’attente.
Annie rentra vers 4 heures du matin, épuisée. Elle avait du danser toute la nuit. J’étais encore très excité.
- hum, je vois que tu bandes encore ? Elle me prenait dans sa bouche, se montrait câline. Puis elle serrait mon sexe durement :
- Hum
- Celui là il va falloir l’éduquer !
- …
- Comment tu te sens mon chéri ? Tu sais j’ai eu une soirée magnifique, et toi, comment était ta soirée ?
Je lui avouait que j’avais eu des pulsions tout la soirée. J’étais déjà soumis. Pour moi ce fut une découverte. Cela devait se sentir dans ma voix. Je me montrais aussi très câlin, beaucoup plus amoureux.
- Tu as l’air d’aimer ça ! dit-elle. Tu vas rester encore un peu. Je crois que tu est plus sexy quand tu est en manque… Et ne me demandes rien sur ma soirée compris ?
Je ressentais une forte jalousie mêlée de désir. Pourquoi ne se servait-elle pas de moi en ce moment ? Pourquoi refusait-elle de me laisser lui caresser la chatte ?
Je restais ainsi attaché sur la moquette. Elles s’en alla dormir. Ce fut ma première nuit d’attente.
Le lendemain, au réveil, j’étais toujours aussi excité. Annie me détacha et me dit :
- J’ai pris une décision cette nuit. Je veux que tu me sois mon valet. C’est à prendre ou à laisser. Je n’aurai plus confiance en toi avant longtemps. Si tu n’es pas d’accord, je te largues. Tu seras souvent attaché en mon absence, comme hier soir. Comme cela tu ne risques pas de faire des bêtises. A partir de maintenant, c’est moi qui décide de ce qui est bon pour toi. Je serai exigeante. Si tu te montres à la hauteur, je serais aussi très câline. Je sais maintenant que ta petite tête commande chez toi autant que la grande. Je veux que tu me fasses une promesse : interdiction formelle de jouir sans ma permission, quelle que soit le moment, même si tu n’es pas attaché.
Annie commençait à ressentir le plaisir de dominer et le moyen d’y parvenir : le désir et la frustration.
J’acceptais, excité au possible.
Depuis ce jours là, ma vie fut complètement chamboulée. Annie organisa tout. Elle me séquestra mon porte monnaie et même mes papiers.
- Si on t’arrête, tu me téléphonera depuis le poste de police. Je viendrai te chercher. Quand à l’argent, tu n’en as pas besoin, je m’occuperai de ton argent de poche la voiture, c’est moi qui en dispose…
Mon éducation fut assez longue. J’étais un vrai petit macho et ne savait presque rien faire. Annie fit un programme d’éducation à long terme. J’appris à faire la vaisselle correctement, à laver le linge sans l’endommager, à étendre la lessive, à ranger l’appartement. Mais cela ne se fit pas du jours au lendemain.
Elle conserva quelques habitudes comme le café au lit le matin. J’étais tellement dur au réveil et de toute façon j’étais dorénavant attaché pour dormir, chaque nuit dans une position différente, parfois au pied du lit, parfois dans la pièce d’a côté. Elle me réveillait très câlinement, jugeait de l’excitation de mon sexe et me détachait. Puis je devais lui préparer un copieux petit déjeuner, que je devais lui servir à genoux, avec les menottes encore jointes, tenant le plateau pendant qu’elle me donnait les instructions pour la journée en tâtant mes testicules, ou en dégageant mon sexe de sa calotte.
Je devais ensuite m’habiller selon ses instructions et venir quémander mon argent de poche pour la journée. A chaque fois c’était une petite enquête :
- Tu as déjà dépensé les deux francs d’hier ? Tu veux boire une verre avec tes collègues de bureau vendredi ? Mais mon chéri, il faut pour cela que tu économises, sinon tu vas passer pour un mauvais payeur…
Je l’embrassais ensuite et me rendais à mon travail pendant qu’elle faisait un petit somme supplémentaire. Elle ne travaillais que vers huit heures trente.
Annie entretenait soigneusement mon excitation. Elles faisait en sorte d’apporter chaque jours de nouvelles instructions aussi diverses les une que les autres. Cela allait de la manière de me tenir en passant par la façon de baisser les yeux devant elle, jusqu’à la manière de me comporter en public, surtout en sa présence ou en présence d’autres femmes.
Durant la première semaine je fis pas mal de progrès et eut droit à une récompense le samedi après-midi. Je dus faire des efforts considérables pour lui donner du plaisir sans jouir. Annie fit toutefois attention de me garder excité et juste légèrement insatisfait.
Pendant ces instant d’amours tendres Annie me parlait beaucoup. Elle me câlinait d’une façon presque maternelle. Me faisait un peu la morale sur mes efforts, m’encourageait à m’améliorer, me promettais aussi de me punir en cas de faute. J’étais à la fois très excité et envoûté par cette « maman institutrice » à la fois tendre et sévère.
- Es-tu toujours prêt à devenir un bon valet de chambre, soumis et plein d’attentions pour sa maîtresse ?
J’acceptais. Elle m’expliqua alors que je devais faire des progrès en matière de comportement. Dorénavant tu te déshabillera immédiatement dans le hall d’entrée.
- Tu porteras toujours tes bracelets aux main, au chevilles, ton collier autour du cou et ta ceinture très serrée à la taille, même pendant la pause de midi, sauf quand quelqu’un d’autre se trouve dans l’appartement.
Cela devait lui faciliter la tâche pour me mettre en immobilisation lorsqu’elle prévoyait de ne pas avoir besoin de mes services pour un moment.
- Je veux aussi que tu te présentes devant moi les yeux baissée avec les mains dans le dos si elles ne sont pas attachées. Je te donnerai alors un baiser ou une gifle, ou les deux, cela dépendra de mon humeurs et aussi de ton comportement.
Elle pensait, à juste titre d’ailleurs, que cela me mettrait en condition. En plus de ces marques d’affection, Annie décalottait systématiquement mon sexe. Elle ne manquait pas une occasion de me rendre jaloux.
- Mon ex etait comme cela, je préfère que ton gland soit à l’air… Ce soir j’ai un dîner particulier. Mais pour le moment, sers donc le dîner, ensuite je te montrerai comment tu dois me servir le café et faire la vaisselle pendant que je le bois.
J’appris donc à débarrasser la table selon ses directives et à lui servi un petit café, sur un tout petit plateau, à marcher sur mes genoux les 3 derniers mètres lorsque je m’approchais d’elle pour lui apporter sa boisson ou quelque chose d’autre. A venir chercher des câlins de la même manière lorsque j’avais terminé mon travail, à essayer comme un petit chien de mériter le droit de sentir son odeur, à être rabroué ou accepté dans mes tentatives. Bref j’apprenais la frustration sans cesse renouvelée par un désir de plus en plus exacerbé. Annie me fit aussi arrêter de fumer.
Le soir, Annie rentrait de son travail après moi. D’ailleurs, depuis ma mise en « apprentissage », je ne pouvais plus traîner après le travail. De plus je n’avais sur moi que les quelques francs d’argent de poche non dépensés les derniers jours. Quand à elle, il lui arrivait souvent de s’arrêter boire un verre ou d’accepter une « dîner particulier » dont je ne savais toujours pas à quoi ils aboutissaient.
Je devais ranger soigneusement la maison et préparer la table pour le souper. J’avais généralement du linge à laver et à repasser. Sans compter ses dessous fins que je devais laver à la main, à genoux dans la salle de bain, un baquet posé à même le sol. Je n’avais pas toujours terminé si elle rentrait tôt de son travail.
Il lui arrivait de rentrer de mauvaise humeurs, ou de constater que j’avais omis de suivre l’une de ses instructions. Elle saisissait alors une cravache et me donnait quelques coups sur les fesses pour « m’activer » comme elle disait.
Mais les vraies punitions et le dressage sévère ne viendront que plus tard.
Annie faisait les repas. Elle à bien essayé de m’apprendre mais je suis très nul dans ce domaine. De plus elle aimait faire à manger. Elle aimait aussi beaucoup recevoir. La différence c’est que maintenant c’est moi qui fait les travaux ingrats (pommes de terre, carottes, légumes etc.…)
Généralement les repas étaient l’occasion de parler de tout et de rien. Annie ne me considérait pas toujours comme un esclave. Il nous arrivait de sortir en amoureux et de nous comporter d’égal à égal ou avec des amis. Mais elle avait toujours le droit de reprendre les rennes à n’importe quel moment et s’en servait. Lors d’une de ces sorties il lui arrivait de dire
- Tu dois être fatigué mon chéri…
C’était le signe clair que je devais inventer un prétexte quelconque pour rentrer avant tout le monde. Je rentrais alors à la maison et attendais près du téléphone les instructions qu’elle pourrait me donner pour le reste de la nuit. Je ressentais toujours un pincement de jalousie mêlé d’excitation, surtout lorsque je la laissait en compagnie d’autres hommes.
Si ma maîtresse ne rentrait pas, elle me téléphonait pour s’assurer que j’étais en attente. Je devais alors m’attacher moi-même selon ses instructions. En général, lorsqu’elle ne rentrait pas ou qu’elle ressortait, je l’attendais dans une position peu confortable, à un anneau du mur, dans la buanderie ou dans la cave. Annie ne m’attachais dans sa chambre que lorsqu’elle dormait avec moi. Pourtant, au début, je n’ai jamais vraiment pensé qu’il y aurait un autre homme.
Mon éducation avançait avec des hauts et des bas. Il arrivait qu’Annie perdes patience. Je me défendais comme je pouvais lorsqu’elle me reprochait de ne pas être suffisamment appliqué. Un jours elle me demanda de décider vraiment si je désirais lui appartenir complètement et sans condition. Je lui fit la promesse d’être plus malléable et de tout accepter. Je lui fit remarquer que c’était à elle de me dresser, que je ne pouvais pas tout anticiper, tout deviner. Elle me gifla, m’attacha et partit furieuse de cette impertinence pourtant pertinente…
Elle revint tard dans la soirée avec un petit fouet et une ceinture de chasteté.
- Je te donnes trop de tendresse ! il faut que je trouve un meilleur équilibre entre le dressage et les encouragement ! Et puis tu à encore trop de privilèges.
Ce soir là je reçus ma première correction : vingt quatre coups de fouets sur les fesses, gambes écartées, la tête enfouie dans ses cuisses. Cela me fit presque capituler.
- Ne t’avises pas de capituler maintenant. Je serai intraitable si tu craques. Tu as le droit de gémir et de pleurer si tu veux. Mais restes bien dans mes bras sinon tu peux faire tes valises !
Elle me laissa réfléchir une heure à genoux et revint me demander ma décision. Je lui promis encore une fois de tout accepter si elle me disait qu’elle m’aimait. Elle le fit.
- A partir de maintenant je vais être plus sévère. Tu seras régulièrement fouetté. Depuis combien de temps n’as tu plus eu le droit de me faire l’amour ?
- Une semaines…
- A partir de maintenant cela sera parfois encore plus rare. Le désir te va mieux. Ton seul privilège garanti sera de caresser ma chatte tous les jours avec ta langue, mais dans le dos. Ce sera vraiment ton seul privilège. Pour le reste il faudra le mériter. De plus, je veillerai à ce que tu te contentes de beaucoup moins pour ton excitation. Plus de straptease dans la salle de bain tous les jours, je serai beaucoup plus pudique ou habillée. Tu auras de moins en moins l’occasion de me voire nue. Je mettrai des jupes plus longues mais quand même fendues et tu n’auras pas le droit de regarder plus haut que mes genoux lorsqu’elles seront dévoilées. Il en sera de même pour mon décolleté. Quand à ma chatte, tu la lèchera sans la voire, sous ma jupe ou sous les draps. Je veillerai aussi a ce que tes mains connaissent de moins en moins les contours d’une femme. C’est quand la dernière fois que tu as pu me caresser avec tes mains ?
Cela faisait plus d’un mois, j’avais toujours les mais attachées ou derrière de dos. Plus Annie m’imposait de privations, plus mon désir d’elle se fortifiait. Elle le savait.
Elle ne me demanda pas de confirmer une fois encore mon acceptation. Mon sexe était tendu de désir et frémissait à l’idée qu’elle le prendrait dans sa main ou dans sa bouche pour l’exciter encore plus.
Annie se fit plus sévère mais aussi plus câline. Elle maniait sans cesse le chaud et le froid. Elle commençait à m’appeler « son énuque chéri ».
J’ai passé plusieurs mois à ce régime sans avoir le droit de jouir d’aucune façon. Annie me prenais souvent dans ses bras et permettait à mon sexe d’entrer en elle. Elle me câlinais ou me faisait souffrir alternativement pendant de longs moments. J’avais le droit de demander la permission de jouir mais elle me le refusait à chaque fois. Elle me parlait souvent dans ces moments là des progrès que je devrais encore faire, des erreurs que je commettais…
- Cela fait combien de jours ?
- 15 jours maîtresse
Puis cela fit 30 puis 60 puis 100 jours que nous fêtâmes par une soirée entière durant laquelle elle m’enferma dans la cave, alternant caresses bucardes ou manuelles avec le fouet toutes les heures pendant toute la soirée.
Au terme de cette soirée Annie décida de faire le point. Elle m’avait excité au point que ma volonté était complètement asservie à la sienne. Elle me demanda si je voulais continuer. Les termes de notre accord était toujours les mêmes. J’avais le choix mais pas sans conséquences. En fait j’étais très heureux de ma nouvelle vie. Elle me prédit alors une épreuve de plus.
- Depuis que tu es privé du droit de jouir, tu as fait de gros progrès mon énuque chéri. Il faut maintenant que tu apprennes ce que ressent vraiment un nuque…
L’idée sous entendue m’affolait et m’excitait en même temps. Je protestait que  j’avais peur de perdre ma virilité pour toujours. Que j’étais heureux avec elle, que je pourrais accepter de ne plus jamais avoir le droit de jouir, mais que j’avais encore trop peur de devenir un véritable énuque. Annie éclata de rire et me rassura.
- Je ne veux pas te castrer mon chéri. Comment te tiendrai je en mon pouvoir si tu ne bandes plus ?
Annie m’expliqua alors que mon éducation lui faisait perdre beaucoup de chose, notamment le plaisir de faire l’amour librement.
- Si je te laisses me faire l’amour aussi souvent que j’en ai envie, tout redeviendra comme avant tu comprends ? Non, il me faut autre chose. Tu vas devoir apprendre que ta maîtresse chérie ne peut pas se priver de ce dont elle te prives, tu es comprends ?
Sur ces bonnes paroles, elle me donna pour instruction de ne plus prononcer un seul mot durant tout le week-end.
Elle m’attacha dans son lit et me fit des câlins très tendres. Elles s’habilla très sexy,  cherchant la tenue la plus provocante possible, en me demandant mes impression. Je ne pouvais les lui donner puisque j’étais contraint au silence. Mais ce que je voyais disait clairement qu’elle s’habillait pour séduire. Juste avant de partir, elle ôta son string et le posa sur le coussin.
- Bonne nuit mon énuque chéri. Je t’appellerai. Si le téléphone sonne 1 fois cela voudra dire que je suis accompagnée. S’il sonne trois fois c’est que mon compagnon me plais. S’il sonne 5 fois, cela veut dire qu’il va découvrir qu’il manque quelque chose sous ma jupe… Le répondeur est réglé sur 7 sonneries avant de décrocher automatiquement, ainsi tu pourras entendre les éventuels messages. Bisous et à plus tard…
Cette nuit là j’eus droit à trois coups de téléphone, puis un quatrième :
- Bonsoir chéri, (bruits de souffles dans sa nuque) je ne penses pas rentrer, je vais chez une copine pour terminer la nuit et je penses dormir là bas…Attends un peu s’il te plait.
- « Arrêtes, je suis au téléphone avec mon mari, (il ne t’entends pas ?) non, je cache le microphone, mais je ne peux pas le laisser au bout du fil sans rien lui dire…
-  Il sait ?
- Non bien sur, mais depuis qu’il est impuissant, il ne me pose plus trop de questions…
- Chéri ? oui, voilà, (re silence) écoute, (re bruit de frou-frou), je penses que je restes pour la nuit avec Annick, tu sais ma copine. Bonne nuit mon chéri…
Annie avait pris soin de laisser un entrefilet afin que je puisses entendre ce qu’il se passait. Le qualificatif d’impuissant fut très humiliant, mais l’humiliation provoquait aussi un désir renouvelé.
J’eus de très fortes pulsions cette nuit là, mêlant jalousie, humiliation et désir.
Lorsque Annie rentra cette nuit là, je sus qu’elle avait l’intention de me garder malgré son nouvel amant.
- tu es devenu son énuque chéri pour de bons.
Mais elle se montra aussi très affectueuse. Pour elle pas de problème : j’étais son valet de chambre, elle avait un amant pour remplacer ce qu’elle ne m’autorisait plus. Elle me racontait tout. Elle me rendait très jaloux en mettant souvent ses performances en regard de ma soumission, mais ses récits m’excitaient eux aussi. J’eus de moins en moins le droit de pénétrer ma maîtresse mais elle m’accordait de temps en temps le droit de me masturber devant elle. Naturellement c’est moi, et personne d’autre, qui nettoyait sa chatte, comme avant…
Annie rencontra son amant 2 à 3 fois pas semaine pendant deux ans. Je fus également très heureux durant cette période.
Puis il lui fit en enfant. Ce jours là Annie fit un choix. Ce fut très dur pour moi…C’est la vie… J’ai vécu un amour formidable pour cette femme qui à duré 7 ans.

Si vous avez envie de refaire complètement mon éducation, vous pouvez me contacter à :
N_Dom@hotmail.com. Je sui libre aujourd’hui…

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