Mon histoire commence il y a quelques mois. Etant à la fac et dotée de parents pas spécialement fortunés, je galèrais comme toute étudiante pour arrondir mes fins de mois. Je faisais du baby-sitting, un peu de sondages à loccasion, mais rien de bien rémunérateur. Comme je men ouvrais à lune de mes copines, elle mavoua avoir trouvé un moyen de se faire un peu dargent sans trop defforts.
Jétais bien sûr très intéressée à lidée de pouvoir gagner jusquà 2000F par week-end, cétait ce que jarrivais à gagner en un mois, en période faste ! Je demandais un peu plus dexplications.
Caro ne voulu pas men dire plus, et rendez-vous fut pris pour le dimanche matin à 8h30. Jétais un peu intriguée mais pas plus que cela et le reste de la semaine, je ne ny pensais plus.
Le dimanche matin, fraîche et dispos, car couchée tôt exceptionnellement, je me rendis à ladresse indiquée par Caro. Cétait une maison bourgeoise en banlieue de notre ville de province, sans caractère particulier. Ce fut ma copine qui répondit à lInterphone et actionna linterrupteur de la barrière électrique. Elle mattendait sur le perron, tout sourire. Elle était habillée en puéricultrice avec une blouse rose à fines rayures roses et blanches, une coiffe blanche et un tablier de coton qui lui ceignait entièrement la taille et dont la bavette était épinglée à la blouse par deux épingles à nourrice dorées. Jambes nues, elle portait des sabots blancs aux pieds.
Je la suivis à lintérieur, cette fois-ci vraiment intriguée. Caro me fit monter directement à létage jusquà une petite chambre.
Elle sexécuta et me sortit une blouse identique à la sienne, à la différence quelle était bleu ciel et blanc et un tablier de coton à brettelles croisées au dos. Je commençais à me déshabiller.
Elle semblait brusquement gênée et cherchais visiblement ses mots.
Je nen revenais pas. Je navais jamais entendu parler de cela. Jhésitais entre prendre mes jambes à mon cou et la curiosité de voir à quoi pouvait ressembler ces étranges bébés. Ma copine, voyant mon hésitation, maida à enfiler la blouse et me noua le tablier au dos. Elle ramena mes cheveux en chignon et y piqua la coiffe à laide dépingles. Elle me tourna face à un grand miroir.
Son rire emporta la décision. Je lui dis que jacceptais de rester jusquau soir.
Mon amie mamena à la cuisine pour préparer le petit déjeuner de ses pensionnaires. Là trônaient trois énormes biberons manifestement destinés à des adultes. A côté, trois assiettes de bébé en plastique, décorées de motifs enfantins attendaient manisfestement leur contenu. Caro m'expliqua comment préparer tout cela, bouillie de bébé dans les assiettes et lait chocolaté dans les biberons, additionnés d'une cuillère de diurétique et d'une cuillère de purgatif légers "parce qu'ils sont parfois constipés" comme me l'expliqua ma copine.
Il était maintenant l'heure de réveiller nos pensionnaires et Caro m'emmena au dortoir à l'étage. J'avoue que j'avais maintenant hate de voir ces curieux pensionnaires. Elle ouvrit la porte d'une vaste chambre, à peine éclairée par une petite veilleuse. La tronaient trois grands lits de bébés, bien rangés côte à côte. C'étaient trois vrais lits de bébé à barreaux, aux proportions près, de bois blanc, revêtus de tour de lits représentant des nounours sur fond jaune.
Caro alla ouvrir les rideaux, assortis aux tours de lit. Elle entrepris de réveiller son monde. Dans le permier lit, un gros bébé adulte nous regardait en souriant derrière sa tétine. Il était engoncé dans une douilette en pilou bleu ciel et sels ses bras, revêtus de velours vert en dépassaient.
Dans le lit suivant, il y avait une ravissante pouponne, toute en rose qui nous regardait aussi avec curiosité. Elle portait un joli bonnet de bébé en coton, une chemise de nuit assortie à manches courtes et était couchée dans de jolis draps jaunes.
Le troisième lit était occupé par un autre bébé fille adulte, On ne voyait que son visage car elle était emprinsonnée dans une gigoteuse à manche longue en duvet blanc, portait des moufles aux mains et un bonnet de bébé blanc. De plus, je vis que ces mains étaient attachées par un ruban de soie rose et que la gigoteuse était sanglée au lit, empêchant tout mouvement à son occupante. Je remarquais aussi que sa tétine était attachée dèrrière la tête, lui interdisant de l'oter.
Caro me montra comment abaisser les barreaux du lit sur un côté, libérant ainsi les bébés. Après les avoir libérés des turbulettes et leur avoir mis des chaussons, nous les emmenames au salon et Caro alla chercher les biberons. Nous les avions assis directement sur un grand tapis de jeu en mousse, comme on en voit dans les garderie. Caro retira les tétines, noua un grand bavoir au cou de chacun des bébés, bleu pour le gracon et et rose pour les filles et leur tendit un biberon. Chacun d'eux contenait bien un litre
Pas besoin de les encourager, mes gros bébés buvaient de bon coeur, avec force bruit de succion. Je me surpris à sourire , c'est vrai qu'ils étaient mignon. Au moment ou Caro revenait, chargée d'un plateau contenant trois assiettes de bouillie, je remarquais quelque chose. -Regarde Caro, on dirait que la petite Sarah a eu une fuite, son pyjama est tout trempé aux cuisses. En effet, sa grenouillère était foncée et manifestement mouillée en deux longues trainées à l'intérieur des jambes. Ma copine était furieuse.
La petite commenca a pleurer, alors que les deux autres, pas solidaires pour un sou, riaient sous cape mais Caro resta intraitable.
Après cet incident, je donnais la bouillie à Charles pendant que mon amie, plus habituée, s'occupait des deux autres. Il mangeait goulument, se tartouillant allègrement la bouche, et je devais faire attention de ne pas tout mettre par terre. Puis, après lui avoir essuyé la bouche, je le tins contre moi comme Caro me l'avais montré jusqu'a ce qu'il fasse son rot. Il sentait bon le bébé et le lait chaud, bien que l'on devine aussi l'odeur d'une couche mouillée. Le cochon me fit un petit renvoi sur l'épaule de mablouse et la brettelle de mon tablier. Tandis que je m'essuyais, il me fit un si beau sourire que je n'eus pas le coeur de le disputer. Après le petit déjeuner, nous les mimes au pot. Caro avait sorti trois pot de taille adulte en plastique de couleur vive et, les bébés couchés sur le dos, nous otames les couches mouillées. Ilsportaient tous les deux des culottes de plastiques, avec des dessins de nounours pour Charles, roses avec des pressions pour Justine. Caro m'appris à bien essuyer les derrières et les devants imberbes avec des lingettes et du lait. Pendant ce temps, Sarah la punie pleurnichait au coin, les mains attachées au dos.
Elle prit sur la table une boite de médicaments et une paire de gants en latex qu'elle enfila.
En effet, Justine remontait déjà ses jambes, se prêtant à l'intruduction. Caro s'enduit un doigt de crème et l'enfonca sans hésiter dans son anus. Le doigt entra tout seul. Après quelques va et viens, destinés à lubrifier le petit trou, elle introduisit le suppo et rabattit les jambes. Puis elle fit de même avec Charles qui se prêta d'aussi bonne grâce, mainfestement aussi habitué à recevoir son dû. Ensuite nous les assimes sur leur pot et effectivement, après quelques minutes, nos deux bébés, assis l'un en face de l'autre libéraient leus intestincs dans les récipients de plastique.
Je commencais à prendre mon "métier" à coeur et j'avais hate maintenant de voir le sort réservé à la pauvre Sarah. Je ne pensais plus du tout à quitter cette étrange maison mais était au contraire impatiente de connaitre la suite des évènements.
Après avoir fait couler le bain de mes deux enfants sages, je les emmenais dans la salle de bain. Ils me tenaient la main, comme deux vrais bébés, en riant et en disant des bêtises. Je du les disputer en les déshabillant et les menacer de la fessée pour les calmer. Une fois dans le bain, je leur donnais des petits jouets en plastique et protégeais les cheveux de Justine sous une charlotte en plastique. Elle me réclama une tétine mais je la lui refusais. Cela ne me paraissait pas très hygiénique de suçoter une tétine dans le bain. Je leur fit promettre d'être sage et j'allais rejoindre ma copine.
Je m'approchais et me penchais pour étudier son petit sexe. Complètement lisse, il était tout petit, d'environ trois centimètres et son scrotum ne formait qu'une seule petite poche accroché à la verge, comme chez un enfant dont les testicules ne sont pas descendus. Sous mes doigts, la petite verge s'érigea à moitié, tout en gardant sa taille ridicule.
Caro tapa dans ses mains, toujours gantées de latex.
Si je me doutais bien qu'une bonne fessée attendait la petite Sarah, je ne m'attendais pas à la donner moi-même. Une douce chaleur que je connaissais bien m'étreignit le bas-ventre et je sentais ma culotte se mouiller délicieusement. Caro avait sorti un tablier de caoutchouc blanc qu'elle noua à la taille. Je me laissais faire sans comprendre.
Elle fit asseoir sur une chaise droite et plaça Sarah, toute nue, en face de moi.
Satisfaite, mon amie la placa en travers de mes genoux. On voyait que la punie avait l'habitude car elle ramena elle-même ses mains derrière son dos et écarta les jambes. Seuls le bout de ses doigts de pieds touchaient encore le sol.
Elle prit un ruban de satin rose et attacha les mains de la punie, puis je commençais à fesser. Je commencais doucement, en prenant mon temps entre chaque coup, pour lui laisse le temps d'apréhender chaque claque. Puis j'accélérais progressivement. Les claques sonnaient divinement sur son joli derrière et je sentais mes joues s'empourprer, tant par l'effort que par l'excitation. Les fesses rougissaient au fur et à mesure, et je m'appliquais à ne pas laisser un centimètre carré de peau blanche. Sarah geignait au rythme de mes claques mais je voyais bien qu'elle n'osait pas crier. Elle devait avoir l'éxpérience de punition plus douloureuse encore en cas de cris intempestifs. Le fessierv était maintenent écarlate mais j'attendis que ma copine me dise d'arrêter pour stopper la correction. Caro me regardait d'un air admiratif pendant que Sarah pleurait sans bruit.
Elle aida la punie à se remettre sur ses jambes et je compris alors pourquoi Caro m'avait mis un tablier de caoutchouc. La petite cochonne s'était oubliée sur mes genoux. Une petite tache de sperme s'étalait en plein milieu du tablier et sur le ventre de la punie. Caro apercut ma grimace.
Vaincue par les arguments de mon amie, je tapotais les fesses rougies de la jolie Sarah.
Quelques temps plus tard, je soufflais un peu. Ouf! Enfin, tout le monde était propre et lisse. Les trois bébés étaient assis bien sagement sur la moquette de la chambre, la tétine bien vissée dans la bouche, bien au chaud tout emmaillotés dans d'immenses serviettes de bain blanches. Nous ouvrîmes la grande armoire pour y prendre de quoi habiller nos petits. D'abord Charles, le plus petit. Je l'aidais à grimper sur le lit et l'allongeais sur l'alèze pacée au milieu du lit. J'avais mis des gants de caouchouc et je lui enduis les fesses de crème grasse pour bébé. Pas de danger d'être inrrité avec cette protection. Je lui glissais une couche propre sous les fesses, et lui fermais sur le ventre, sous l'oeil atte,tif de Caro. Je fis bien attention de lui mettre le zizi vers le bas, pour que le pipi ne s'échappe pas par le haut de la couche en cas d'accident. Je veillais aussi à la symétrie des adhésifs, il aurait été dommage de gacher l'esthétique de ce joli derrière bien rebondi. Après la couche, je lui enfilais une culotte de plastique. Bleu foncé, elle était garnis de larges bandes élastique blanches à la taille et aux cuisses. Elle était très épaisse et bruissait au moindre mouvement. Je lui passais ensuite un body de coton blanc dont je fermais les pressions à l'entrecuisse puis un sweat-shirt jaune orné d'un clown. Je finis avec une culotte courte de bébé bleu ciel, bouffante et munie de brettelles et de pressions à l'entrejambe. Des socquettes blanches, des chaussons jaunes, un grand bonnet de bébé attaché sous le menton et mon grand bébé, tout sourire, était prêt à aller jouer. Il semblait ravi de mes services.
C'était au tour de Justine. Etant plus grande, elle grimpa toute seule sur le lit et présenta ses jolies fesses. Là encore je commencais par lui l'enduire de crème pour bébé, insistant bien sur le sexe rasé et le petit trou. Caro me montra comment introduire l'index, d'abord dans le minou puis dans son anus pour bien protéger le tout. Comme elle commencais à se tortiller, elle eu droit à une bonne claque sur la fesse et elle se tint tranquille. Après le change complet, elle aussi eu droit à sa culotte de plastique translucide, rose cette fois ci. Je cachais le tout sous une paire de collants blancs opaque puis avec une grande culotte de satin rose avec de ravissants rangs de satin blancs cousus sur le derrière. Justine descendit du lit pour la suite.Un petit tee-shirt de coton blanc sans manche pour le confort et je boutonnais à la taille un jupon bouffant de tulle blanche. Je l'aidais alors à passer sa robe. Quelle merveille! Toute de soie rose et de dentelles blanches, elle arrivait juste au dessus des genoux en un tomber impeccable. Boutonnée au dos par de gros boutons de nacre, elle était ajustée à la taille par un énorme noued de satin bleu ciel, formant une large ceinture. Justine tremblait d'excitation au contact de la robe. Je lui fis enfiler une paire de vernis noirs à bride et lui nouais un gros noeud de soie rose dans les cheveux et l'amenait enfin devant le miroir. Elle était rouge de plaisir et moi-même, j'avais du mal à réaliser que cette petite fille modèle n'avait pas deux ans. Bien sûr, sa taille était celle d'une adulte, mais le reste était tellement parfait que l'impression était extrèmement étrange. Je lui arrangeait les plis de sa robe et elle demanda à me faire un bisou que je lui accordais bien volontiers. Caro prit un malin plaisir à la faire redescendre de son petit nuage.
C'était maintenant au tour de Sarah. Je me doutais qu'elle aurait un traitement spécial et en effet, dès que ce fut son tour, ma copine pris les choses en main. Allongée sur le lit, elle aussi fut enduite de crème sur le sexe et l'anus puis Caro lui mit une couche culotte dans laquelle elle avait insérée deux couches droites à l'entrejambe. La couche était la plus épaisse qui soit et quand elle se mit debout, cela lui faisait un derrière énorme. Par dessus, mon amie lui enfila une grosse culotte de caoutchouc rose, puis un justaucorps à manche courtes de la même matière. Il montait jusqu'au cou et était serré en bas juste au dessus du genou. Il était fermé par des pressions au dos mais Caro, impitoyable, bloqua le col par un petit cadenas, pour être sûre que ce grand bébé adulte ne puisse pas l'enlever. Par dessus tout cela, mon amie lui fit encore porter une robe de caoutchouc bleu ciel et un tablier blanc, de caoutchouc lui aussi. Socquettes blanches, vernis blancs, et Sarah était fin prête.
Les grands bébés partirent en courant jouer dans la salle à manger.
Après avoir tout rangé et fait la vaisselle du matin, il était déjà temps de préparer le repas de midi. Décidément, les journées passaient vite ici ! Je restais à surveiller les petits, tout en relisant mes cours, pendant que Caro préparait le repas. Pour les faire manger, nous avions noué des tabliers en plastique transparent à usage unique par dessus nos tabliers de coton pour éviter les projection de nourriture. Bientôt, nos trois bébés adultes étaient installés bien sagement dans leur chaises hautes. Une fois encore, je ne pouvait mempêcher dadmirer le sens du détail du propriétaire des lieux. Hormis la taille, ces chaises étaient la réplique exacte de chaises de bébés. Tablette, coussins ornés de nounours, boulier, tout y était, y compris un harnais de cuir blanc pour attacher les petits et éviter quil se blessent en tombant. Ce harnais était composé de deux bretelles croisées au dos attachées à une ceinture, elle même fixée au dossier de la chaise. Je nouais un grand bavoir au cou de chacun de nos bébés et quand je nouais celui de Sarah, elle croisa delle même ses main derrière le dossier.
Jattachais donc cette petite fille si spéciale. Les chevilles furent dabord dabord entravées aux pieds de la chaise haute, puis jattachais ensemble les poignets derrière le dossier et je reliais le tout à la ceinture du harnais. Ainsi, la pauvre ne pouvait pratiquement pas bouger.
Caro déposa les assiettes de plastique sur les tablettes. Nos pensionnaires avaient droit à une purée de légumes et jambon mélangés. Jy goutais par curiosité. Beurk ! Sans sel ni poivre, on ne peut pas dire que cétait très bon. Je donnais une petite cuillère à Charles et Justine qui attaquèrent leur assiette avec appétit pendant que je nourissais Sarah à la becquée. Elle gobait chaque cuillèrée avec bonne volonté mais pendant ce temps, les deux autre en profitaient pour manger comme des cochons. Justine avait complètement sali bavoir, tablette et mains et sa figure était verte de purée. Charles nétait pas mieux et les deux rigolaient comme des fous. Mon amie qui revenait juste de la cuisine avec les biberons de lait poussa les hauts cris.
Les deux crapules se regardèrent et continuèrent à pouffer. Sarah, voyant cela, ne put sempêcher de rire à son tour, recrachant sa bouillie sur son menton.
Cette fois, la moutarde me monta au nez.
Son ton acerbe eut le don de faire taire tout le monde en une seconde et les bieberons de taille adulte, contenant pourtant chacun un litre furent avalés en quelques minutes. Je donnais celui de Sarah qui le pris sans histoire, bien quelle commencait à regarder sa nounou avec appréhension.
En effet, il ne fallait pas compter sur Caro pour oublier cette rebellion. Après le repas, tout ce petit monde fut déshabillé et mis au à genoux face au mur, les uns à côté des autres, juste vêtus de leur couche-culotte et les mains attachées au dos, une tétine dans la bouche en attendant les préparatifs de leur punition. Je regardais faire mon amie avec curiosité.
Elle avait fait chauffé de leau à laquelle elle avait ajouté un peu de glycérine, puis rempli trois espèces de bouillotes en caoutchouc rouge vif munies dun robinet à la base. Elle prépara alors un tube de vaseline et de longs tuyaux de caoutchouc blancs , denviron un centimètre de diamètre et terminés par une extrémité bombée et percée. Je ne posai pas de questions, préférant voir leur usage sur le vif et en profitait pour préparer deux longs tabliers de caoutchouc blanc. Cette fois-ci, je me doutais que nous en aurions encore besoin.
Caro revint dans la salle ou attendait nos punis.qui se faisaient tout petits dans leur coin. Il faut dire que nous étions assez impréssionnantes, avec nos tabliers tombant jusquaux chevilles, gantées de caouchouc et la mine fermée.
Les épaules de nos pensionnaires daffaissèrent dun coup à lénoncé de la sentence. Mon amie pris Justine qui voulu protester mais, baillonnée par la tétine, ne put émettre que des gargouillis ridicules. Jétais très curieuse de voir cela de près. Je navais jamais vu de lavement et assister à celui de mes bébés adultes me passionnait.
Justine fut donc la première à subir la punition. Bien calée en travers des genoux, la couche otée mais toujours baillonnée par sa tétine, la petite reçu une magistrale fessée. Mon amie ne sarrêta que lorsque ses fesses furent rouges écarlate, de la taille au haut des cuisses. Justine fut ensuite reconduite par mes soins à son mur ou elle sagenouilla, tremblante et en pleur. Les deux autre eurent droit à la même dose. Caro était infatigable. Elle ne sarrêta que quand les trois paires de fesses furent uniformément rouges.
Elle s'approcha ensuite des trois punis. Son tablier émettait à chaque pas un bruit lourd et menaçant. Elle accrocha les récipients de caoutchouc rouge à un piton que je navais pas remarqué. Il y en avait un au-dessus de la tête de chacun des punis, à un mètre cinquante environ. Elle fixa ensuite les tuyaux aux bocks . Elle prit ensuite chacun bébé adulte et lallongea sur la moquette, repliant ses jambes en chien de fusil, les mains toujours attachées au dos. Elle enduit alors ses doigts gantés de vaseline et força les petits trous, arrachant au passage quelques gémissements, dont on ne savait trop sils étaient de plaisir ou de douleur. Alors, elle prit lextrémité de chaque tuyau blanc et lenfonça dans les fesses de chaque puni. Jétais stupéfaite de la longueur de tube quelle parvenait à entrer dans leur anus. Elle procédait lentement mais avec sûreté. Quand elle avait fini avec lun, elle le remettait à genoux face au mur, prenant soin de les placer sur une alèze et passait au suivant et bientôt , les trois pénitents se retrouvèrent alignés en rang doignon, les fesses rougies par la fessée, un tuyau blanc sortant des fesses et rejoignant le récipient placé au dessus de leur tête.
Alors leur impitoyable tortionnaire actionna les petits robinets. De petits gargouillis se firent entendre au fur et à mesure que les intestincs se remplissaient. Sadiquement, mon amie appuyait de temps en temps sur les bocks pour augmenter la pression. Nos trois bébés adultes navaient pas lair de trouver ca si désagréable et je voyais même Sarah sourire béatement. Je trouvais assez injuste quelle prenne plaisir à sa punition et je le dis à mon amie.
Au bout de quelques minutes, les bocks étaient vides et nous nous assimes sur des chaises pour discuter et profiter du spectacle. Très vite, les trois punis commemcèrent à se tortiller. On les voyait serrer les fesses spasmodiquement et gargouiller dans leur tétine. Leffet était assez comique et nous commentions en riant les attitudes de chacun. Quelques gouttes perlaient de temps en temps, heureusement absorbées par les alèzes. Je mapprochais alors de Justine et lui tatais le ventre. Il était tout gonflé et brulant. Elle me regardait en me suppliant du regard. Je me tournais vers la punisseuse en chef.
Je dénouais les liens qui retenaient les tétines et demandiat sils étaient près à sexcuser. Ils ne se firent pas prier et le firent platement et promptement. Alors chacun son tour, nos bébés furent emmenés aux toilettes.
Quel travail ! Après tout cela, il avait fallu les relanger et les rhabiller, puis nous les avions envoyés a la sieste, trop contentes davoir un peu de calme. Lexcitation que mavait causé toutes ces aventures mavait exténuée et quand mon amie me proposa daller faire nous aussi une petite sieste, japprouvais avec entrain. Naïvement, je pensais que nous allions nous reposer, mais telle n'était pas l'idée de ma copine.
Quand elle proposa de dénouer mon tablier, j'acceptais benoîtement mais quand je sentis sa main remonter sous ma blouse, je me retournais vivement, surprise. J'allais protester mais Caro me ferma les lèvres d'un baiser. Je ne suis pas spécialement lesbienne mais j'étais dans un tel état d'excitation que non seulement je me laissais faire, mais, sans plus réfléchir, je répondis avec enthousiasme à ses avances. Je sentais le pointe durcie de ses seins au travers de l'étoffe et, glissant a mon tour les mains sous sa blouse, je lui pelotais les fesses comme un soudard en maraude. Quelques secondes plus tard, nous étions nues sur le lit, vêtues uniquement de nos coiffes d'infirmières, et nous nous léchions goulûment, découvrant avec délice le goût salé de la peau de l'autre.
Caro avait une expérience certaine et elle menait les débats avec célérité. Sans aucune retenue, moi qui suis d'ordinaire plutôt réservée dans les jeux de l'amour, je dévorais son minou pendant qu'elle croquait le mien. Même après mon premier plaisir, j'en voulais toujours plus. Je sentais que mon amante déployais tout son savoir pour me contenter. Tout cela ne dura que quelques minutes mais d'une telle intensité que je me souviens de chaque geste, de chaque coup de langue.
Nous nous sommes endormies dans les bras l'une de l'autre quelques minutes seulement mais quand je me réveillais, j'étais a nouveau en pleine forme. J'allais prendre une douche et quand je revins dans la chambre, mon amie avait un change complet à la main.
L'idée me parut d'abord saugrenue mais la curiosité faisait déjà son uvre. Je n'étais pourtant pas encore convaincue.
Je pouffais aussi.
Je m'allongeais sur le lit, les mains derrière la tête, pour ne pas en perdre une miette. Mon amie, toujours habillée de sa seule coiffe et de gants de latex transparents, glissa une serviette de coton sous mes fesses et enduit ma minette d'une épaisse couche de crème. Vicieuse, elle insista sur mon petit trésor, retirant son petit capuchon jusqu'à me faire pousser de petits gémissements. Puis elle fit subir la même chose à mes fesses, ouvrit mon petit trou de ses doigts agiles et, forçant mon intimité, m'amena une fois de plus au bord du plaisir. Enfin satisfaite, elle souleva mes fesses pour passer la couche. Elle rabattit le devant et, d'une main experte, fixa les collants sur les côtés du change. Elle me tapota les fesses, comme pour nos bébés.
Je me levais et fis trois pas jusqu'au grand miroir de la chambre. Je sentais une certaine gêne à l'entrejambe, due à l'épaisseur de la couche, mais sinon c'était plutôt chaud et confortable. Me voir dans le miroir me fit une drôle d'impression mais je me trouvais plutôt sexy comme ca. En tout cas, devant ma copine, je n'étais pas du tout gênée.
Elle me déposa un baiser dans le cou.
Comme promis, nous changeâmes de tenue. J'avais trouvé dans le placard des nurses une longue blouse bleu ciel à manches courtes et col rond, boutonnée au dos, avec une grande poche sur le devant. Sans tablier ni ceinture pour cintrer la taille, on avait du mal a imaginer ce que je portais dessous. La blouse était douce sur ma peau et sentait le propre. Caro, elle, portait une blouse de coton blanc boutonnée devant par des pressions, sur laquelle en avait noué un de ces grands tablier blanc à bretelles croisées au dos. Elle avait troqué ses claquettes pour des trotteurs et portait des collants blancs.
Quelques instants plus tard, fraîches et pimpantes, nous préparions le quatre heures. Javais jeté un il dans leur chambre et vu quils sagitaient dans leur grand lits de bébés. Les couches étaient mouillées mais nous ne les changerions qu'après le quatre heures. Il fallut détacher Sarah qui avait dormi attachée comme pour la nuit. Caro lui avait attaché pieds et chevilles chacun à un coin du lit avec un lange et la tétine avait été encore une fois nouée autour du cou. Ils furent tout content de nous voir et si l'un d'eux s'aperçut que je portais une couche, il s'abstint de toute remarque. Ils mangèrent leur bouillie proprement cette fois-ci, les bavoirs restèrent presque propre et les biberons furent vidés dans la bonne humeur et sans un cri. J'avais pour ma part très chaud dans mes couches, je sentais la crème dans mon minou et entre mes fesses qui me chauffait. La sensation était délicieuse. J'avais à la fois l'impression de m'exhiber car seule ma blouse cachait mon secret et celle d'être en totale sécurité, dans la douce moiteur de l'enfance. A deux reprises, de manière anodine, Caro s'arrangea pour frôler mon derrière enveloppé. Cela me fit frissonner de plaisir.
Une fois dans la cuisine pour débarrasser, elle souleva carrément ma blouse pour vérifier si j'avais fait pipi. Après avoir constaté que j'étais sèche, elle me dit:
C'est vrai que je j'avais envie depuis un moment. Il faisait au moins 24° dans la maison et j'avais bu pas mal d'eau. Je me forcais à ne pas être timide.
Je riais, un peu nerveusement.
J'avais donc remonté ma blouse jusqu'au nombril, les jambes écartées au dessus du miroir, mon amie à genoux devant moi qui pouffait de joie, quand je sentis ma vessie se libérer. Un long jet d'urine s'insinua dans la couche, frayant son chemin jusqu'à mon entrejambe, et remonta jusqu'à mouiller le bas de mes fesses. C'était chaud, humide, et très agréable. Je voyais une large tache jaune se former de l'entrejambe aux fesses et s'étaler doucement. Caro était littéralement fascinée. Elle se mordait le pouce sans s'en apercevoir. Il y eu comme cela un instant magique ou sans un son, nous avons juste regardé le pipi faire sa place dans la couche, puis j'ai rabaissé ma blouse, l'ai défroissé d'un geste machinal et suis retourné vers nos petits comme sortant d'un rêve. Caro me suivit sans un mot.
C'était l'heure du change et, en attendant, les petits jouaient gentiment sur le tapis. Cest à ce moment quune odeur désagréable memplit les narines. Je fronçais le nez et mapprochais de Justine, la ou lodeur était la plus forte. Elle était couchée sur le ventre, jouant aux cubes avec Sarah, juste vêtue de son tee-shirt et de sa culotte. Je baissais la culotte de satin sans attendre. Mon odorat ne mavait pas trompé ! Sous la culotte de plastique, on voyait clairement une masse marron dans la couche au niveau des fesses. Cette petite dégoûtante avait fait caca dans sa couche et, pas plus gênée que cela, continuait a jouer. Je prévins Caro sans attendre
Joignant le geste à la parole, Caro attrapa Justine par l'oreille et la força ainsi à la suivre, la tête penchée, sous les quolibets de Charles et Sarah. Je leur jetais un regard sévère qui les fit taire et suivit mon amie. Elle laissa Justine a genoux sur la moquette de la chambre, la laissant sous ma surveillance. Justine gardait la tête baissée et les mains aux dos, comme indiqué. Caro revint quelques secondes plus tard.
Elle amenait une sorte de barboteuse-short en caoutchouc qu'elle entreprit d'enfiler à la petite, après lui avoir oté son tee-shirt. Le vêtement avait trois rangs de d'élastiques aux cuisses, garantissant son étanchéité et formait comme une chemise à manches courtes. Jugeant sans doute que ce n'était pas suffisant, elle lui passa aussi un ample pantalon de plastique transparent, lui descendant jusqu'au genoux. Elle finit par le haut assorti en plastique transparent, à manches longues et qui s'attachait au pantalon avec des pressions. Alors, pour immobiliser la punie, mon amie entreprit de l'emballer entièrement dans du Cellophane alimentaire. Les bras plaqués le long du corps, Justine fut emmaillotée par des dizaines de tours de film transparent, formant en tout une camisole extrêmement solide. La punie fut ainsi momifiée de la tête aux pieds. Elle ne pouvait pas bouger d'un pouce et seul son visage était encore découvert, que son bourreau couvrit d'une cagoule de caoutchouc noir, laissant seulement la bouche et le nez dégagés. Justine était ainsi aveugle, en plus d'être totalement paralysée.
Pendant que je recouvrais son matelas d'une épaisse alèse de caoutchouc beige, Caro la força à boire un bon litre de lait dans lequel elle avait versé une double dose de purgatif. La nuit prochaine promettait d'être active pour ses intestins. Nous fumes obligées de la porter pour la mettre au lit car elle était incapable de faire un mouvement. On aurait dit un bout de bois.
La petite acquiesça d'un tout petit oui.
Quel suspense insoutenable !!!
Justine saura-t-elle résister à l'appel de ses sphincters ? (ca m'étonnerais !!)
Charles passera-t-il toujours au travers des gouttes ? (oh, le fayot !)
Sarah aura-t-elle droit à un nouveau lavement ? (oh oui !!!!!!!)
Ne manquez pas la suite des passionnantes aventures de Isabelle Baby-sitter
A SUIVRE...