J
Avec Dominique, nous avons très tôt eu des jeux bizarres. Enfants, en jouant aux cow-boys et aux indiens, cétait toujours lui le prisonnier. En jouant au gendarme et au voleur, jétais toujours le gendarme qui le gardait des mercredis après-midi entiers attaché les mains au dos, pour notre plus grand plaisir commun. Nous avions confusément conscience de ne pas entrer dans la norme et, sans jamais lavoir évoqué, nous gardions secrets nos jeux de ficelle. Je ne me souviens pas de la première fois ou Je lai habillé en fille. Nous devions avoir quatorze ou quinze ans. Je me souviens parfaitement, par contre, du plaisir diffus que jai éprouvé à le transformer ainsi. Je crois sans en être sûre que cest ce jour là que jai eu mon premier orgasme, sans quil me touche et encore moins sans que je me caresse. Je nai pas compris sur le moment ce qui marrivait mais je savais que cétait délicieux et que javais envie de recommencer. Ainsi débuta ma longue quête du plaisir défendu, quête qui nest pas terminée, loin sen faut.
Nous ne passions pas notre temps à ce
genre de jeux. Nous avions la vie normale et frénétique des
ados de notre âge, mais régulièrement, les jours de vacances
pluvieux et les mercredis ou lon sennuie, nous
faisions lassaut des armoires parentales et nous changions
de peau et dâme. Je me transformais en princesse, en
bourgeoise, en catin au gré de mon humeur et Dominique se
métamorphosait en soubrette, en écolière ou en petite fille.
Que de jours délicieux avons nous passé ainsi...
Tout naturellement, nous avons continué
après notre mariage. Jai continué à dominer et à
travestir Dominique, pour notre plus grand plaisir. Maintenant
que nous étions chez nous, je lui confectionnais une garde robe
a mon goût. Chaque vêtement fut choisi avec soin, pour un usage
spécifique. En effet, je décidais de reprendre son éducation
à zéro. Dominique aimait de plus en plus sa vie de femme et
avait du mal à reprendre ses habits de garçon. Il évoquait
souvent sa féminité frustrée et préférait la plupart du
temps rester à la maison, habillé en fille, plutôt que de
sortir. Nous en avons longtemps, repoussé l'idée plusieurs fois
mais nous avons fini par nous décider à sauter le pas. Mais
quitte à transformer Dominique en femme, je la voulais épouse,
dame de compagnie, amante et soubrette tout à la fois et son
éducation de garçon, même améliorée par mes soins, ne
pouvait y suffire. Un soir donc, je lui expliquais mon plan
mûrement réfléchi. Jallais le faire régresser
jusquau stade de bébé, puis le faire grandir en le
modelant à mon idée, jusquà ce quil soit
exactement ce que je voulais. Dominique ne fut pas difficile à
convaincre et une fois lidée acquise, fut même
franchement enthousiaste. Il avait depuis toujours
lhabitude se reposer sur moi pour toutes les choses de la
vie quotidienne comme les décisions les plus importantes et les
changements à venir ne lui faisait pas peur.
Peu après, un samedi matin, je me levais tôt et me préparais comme je lavais prévu. Je métais procuré un véritable uniforme de nurse. Jenfilais la blouse à fines rayures roses et blanches, nouais le large tablier de coton blanc à bavette et épinglais une petite coiffe blanche sur mes cheveux relevés en chignon. Avec mes collants blancs et mes talons plats, je faisais une ravissante puéricultrice. Mon mari ne fut pas surpris de me voir habillée ainsi, comprenant que son éducation commençait. Nu comme un ver, je lemmenais dans la salle de bains et là, après lui avoir donné un bain bien chaud, je lui administrais un bon lavement à leau glycérinée. C'est une pratique que nous aimons tous deux depuis longtemps. Puis jentrepris de lépiler entièrement. Cela pris très longtemps, car je voulais mon bébé fille toute lisse. Non pas quil fut très poilu, il était même pratiquement imberbe, à la fois sur le visage et corps, mais épiler complètement quelquun qui ne la jamais été est un sacré travail. Je mattardais particulièrement sur le visage, le sexe et lanus, que je voulais rendre vierge. Je lui épilais entièrement les sourcils, ce qui lui fut très douloureux. Comme il commençait à gigoter, je lui attachais les mains et les pieds avec de larges rubans de soie rose que javais préparé. Quand il fut bien lisse comme un bébé, je lenduis dhuile précieuse pour éviter lirritation et le talquais des pieds à la tête. Pour parfaire la transformation je lui fis un brushing car je voulais une petite fille parfaite. A ce moment, Dominique paniqua un peu. "Je ne vais plus pouvoir sortir dans la rue " sinquiéta t-il. Je lui répondis quun bébé ne sort pas dans la rue et quil ne ressortirait pas de la maison de sitôt. Pour couper court à ses inquiétudes je le mis face au grand miroir de la salle de bain. Quel changement ! Le jeune homme quil était trois heures plus tôt ressemblait à un gros baigneur avec les gros noeuds de soie rose qui lentravait. Je vis son petit sexe tout lisse se tendre instantanément. Javais prévu cela et comme je le voulais pour linstant asexué, je pris sa verge dans ma main et la caressais.
"Oh! La jolie petite poupée que tu as ici, lui dis-je, il ne faut pas la laisser toute nue, nous allons lui mettre une jolie robe." Et joignant le geste a la parole, jemmaillotais bien serrée sa verge et ses testicules dans un fourreau de soie blanche orné de dentelles cousues a cet effet. Ainsi fait, Il ne me restait plus quà le détacher et à lhabiller. Je commençais par lui mettre ses couches. Joptais pour deux couches droites bien absorbantes que je glissais dans un large change complet de nuit avec une culotte en caoutchouc rose, fermée avec des pressions sur les cotés. Cela lui faisaint un adorable derrière bien rebondi. Par-dessus, je lui enfilais un body de coton blanc puis une grenouillère toute rose en coton, fermée aux poignets et aux chevilles par de jolis rubans bleu ciel que javais cousu moi-même. Avec un bandeau blanc dans les cheveux, javais devant moi une charmante pouponne.
Je parlerais désormais de Dominique au
féminin car à partir de ce jour, je ne lai jamais
considérée que comme une fille, au point que je ne
limagine même plus comme ayant été un homme. Cela me
fait limpression dêtre une existence antérieure et
extrêmement lointaine. Je lui expliquais les termes de sa
nouvelle condition : "A partir de maintenant, tu es une
petite fille. Tu tappelles Suzie et je serais ta nounou
jusquà ce que tu grandisses. Je serais intraitable sur la
propreté et sur lobéissance mais si tu es gentille et
bien sage, tu auras plein de bisous. Mais maintenant, il est
lheure daller te coucher." Il était à peine
onze heure du matin et je lemmenais à quatre pattes
jusquà la chambre denfants. Cette chambre était
déjà aménagée quand nous avions acheté la maison et était
tapissée dun joli papier bleu ciel avec des petits
nounours. Nous y avions installé un lit dune personne pour
les amis. Je la couchais sur le lit et sortis du placard la
gigoteuse que je lui avais cousu dans un sac de couchage. Je la
glissais dedans, lui passais les bras dans les trous prévus à
cet effet, remontais la glissière et serrais la ceinture
élastique. Ainsi ma petite filleJe lui attachais à nouveau les
mains, pour quelle ne se blesse pas et lui mis une tétine
dans la bouche que jattachais derrière la tête pour
quelle ne puisse pas la perdre. Quelle était
adorable ainsi, entravée dans la turbulette, a ma plus entière
merci. Je lembrasais tendrement et sortis.
Je la laissais comme cela pendant deux
heures. Vers treize heures donc, jallais ouvrir ses volets.
Ma bébé était réveillée et me regardait. Je la fis monter
sur la table à langer improvisée sur la commode de la chambre.
Je lui ôtais la grenouillère et changeais sa couche. Elle avait
fait pipi dedans et sa poupée était tachée durine. Il
faut dire que le matin, je lui avais fait boire deux bons litres
deau, pour quelle élimine bien. Je décidais de
sévir sans attendre. Je la couchais en travers de mes genoux et
lui administrais une bonne fessée. Elle se tortillait mais je
narrêtais pas avant que les fesses soient bien rouges. Sa
petite poupée était toute dressée mais de quelques bonnes
claques, je lui fis baisser la tête. Pas darrogance avec
moi ! Pour ma part, je sentais la pointe de mes seins se presser
contre ma blouse de nurse et ma culotte était toute chaude et
humide. Je nen laissais toutefois rien voir car je voulais
être une éducatrice parfaite. Jemmaillotais à nouveau sa
poupée avec un fourreau de soie que javais cousu le matin.
Je serrais bien cette douce camisole en lui expliquant que
cétait la punition de sa mauvaise attitude. Une fois
nouée, sa poupée aurait été bien en peine de se redresser.
Ensuite je talquais ses fesses rosies et lui remis une couche,
une culotte en plastique et sa grenouillère. Ainsi habillée, je
lemmenais manger. Après lui avoir noué un bavoir autour
du cou, je lui donnais un bon biberon de lait, assise sur mes
genoux. Puis je lui donnais à la cuillère une bouillie et un
yaourt. Comme elle avait bien mangé, pour la récompenser, je la
couchais sur le ventre dans le canapé et lui passais une
cassette de Babar. Pour éviter quelle ne tombe et ne se
blesse, je lui repliais les jambes de façon à ce que ses pieds
touchent ses fesses et je lui attachais les mains aux chevilles
avec les rubans roses. Je lui remis aussi sa tétine car les
bébés aiment se sentir en sécurité. A la fin de la cassette,
hop au lit ! Je la recouchais pour trois heures. Puis le soir à
nouveau, biberon, bouillie, yaourt et après deux heures dans le
canapé, je la mis au lit pour la nuit.
Ainsi se passa la première journée de la nouvelle vie de Suzie. Sa vie de bébé dura six mois. Elle resta couchée, attachée dans sa gigoteuse la plupart du temps même si de temps en temps, je la laissais laprès-midi enfermée dans sa chambre avec ses jouets. Dans ce cas, je lui attachais les chevilles et les repliait sur ses cuisses pour les y attacher ensembles. Je ne voulais pas quelle marche tout de suite et ainsi ligotée, jétais tranquille. Pendant tout ce temps, elle ne me vit jamais habillée autrement quen nurse et ne mappela que nounou. Avant de partir travailler le matin ou en rentrant le midi et le soir, jallais dabord mettre ma blouse et mon tablier blanc avant dentrer dans sa chambre. Là, je la changeais, lui donnais à manger, la câlinais ou la punissait si ces couches étaient mouillées puis la recouchais. Pendant ces six mois, elle ne marcha qua quatre pattes et ne parla que comme un bébé. Elle essaya bien au début de parler comme une grande mais à chaque fois je lui lavais la bouche au savon noir puis la bâillonnais pour la journée. Elle abandonna bien vite. Tous les matins, je lui administrais un suppositoire de glycérine et la mettais au pot car je ne voulais pas changer de couches souillées de caca. Les quelques fois ou cela arriva, je lui donnais un bon lavement puis lui bouchais lanus avec un godemichet quelle gardait la journée et la nuit suivante. Elle appris bien vite à régler ses intestins et les trois derniers mois, pas une seule fois elle ne fit caca dans sa couche. Sa verge aussi resta emmaillotée pendant six mois et pas une seule fois elle neut de le droit de la soulager. Le soir, elle venait se pelotonner contre moi. Je la sentais chaude et moite, rouge d'excitation, mais malgré mes envies je ne cédais pas et la laissais mariner des états déternelle frustration.
Après un mois de ce traitement, je trouvais régulièrement la robe de sa poupée, comme je lappelais, souillée de semence. Dans ce cas, je la montrais a Suzie et elle savais que là aussi, elle aurait droit au lavement et au godemichet. Pour moi au contraire, la vie sexuelle était on ne peu plus active. Je me masturbais chaque jour et je collectionnais les aventures. Jamenais mes amants ou amantes chez moi pour me faire lamour et penser a ma pauvre petite fille attachée et couchée dans sa chambre me mettais dans des états dexcitation incroyables. De temps en temps, pour moccuper de mon bébé, je portais des boules de geisha sous ma blouse et je moffris ainsi quelques beaux orgasmes que je lui dissimulais bien sur.
Au bout de six mois donc, jestimais quelle était prête à passer a la suite de son éducation. Sa docilité et son obéissance étaient de bonne augure et je décidais de la transformer en petite fille. Ses cheveux avaient poussé et lui tombaient maintenant sur les épaules. Jétais sûre quelle serait absolument ravissante. Un matin donc, jentrais dans sa chambre habillée normalement. Je portais juste un tablier sur ma jupe. Ma bébé me regarda, lair étonnée. Une fois détachée, je la mis debout au milieu de la chambre. Cétait la première fois depuis six mois et elle était un peu chancelante. "Voila, ma petite Suzie, il est temps que tu grandisses et que tu deviennes une grande fille, luis dis-je. Jespère que tu seras aussi sage que tu las été jusquà présent." Suzie hocha la tête, nosant répondre. "Tu as le droit maintenant de parler, lui signifiais-je, je tapprendrais à avoir une voix de jolie petite fille." Suzie navait pas parlé du tout pendant ces six mois. Je l avais obligée à vagir et à pleurer si elle désirait me faire comprendre quelque chose. Cela avait aussi très dur pour moi, bien que je fus consciente de cette nécessité. Je décidais que pour les étapes suivantes de sa transformation, elle aurait droit de parler autant quelle le voudrait. Au départ, jétais un peu réticente car il sagit tout de même dune règle importante de lobéissance, mais le fait dêtre toujours au contact de Suzie, quelle me dise au dur et a mesure de ses changements tout ce quelle ressentait à se sentir transformer en ma petite femme aimante ne me lon jamais fait regretter. Et puis j'ai trop vu de maisons silencieuses ou les esclaves n'ont pas le droit de parler. J'ai toujours trouvé cela un peu triste.
Javais amené avec moi un paquet
contenant ses vêtements. Après lui avoir remis couche, culotte
en plastique et fourreau de soie sur sa poupée, car elle était
encore petite, je lui enfilais un panty de Nylon blanc, des
collants blancs opaques, un chemisier blanc à col Claudine et
une robe chasuble écossaise sur un jupon de dentelles blanches.
Avec des petits vernis rouges et un ruban dans les cheveux, elle
était adorable. Je lembrassais tendrement en lui montrant
son image dans la glace. "Comme je suis jolie, me dit-elle,
on dirait une petite fille modèle". "Cest ce que
tu vas être, je te le promets, lui répondis-je".
Cest comme cela que Suzie appris à
être une petite fille. Si elle avait désormais le droit de
manger autre chose que des laitages et des bouillies, elle
saperçut bien vite que les contraintes étaient
nombreuses. Elle ne pouvait toujours pas sortir, il y avait
maintenant six mois quelle vivait enfermée, et les
premières semaines, je lui liais les chevilles chaque matin avec
une fine chaîne chromée de trente centimètres. Comme cela,
elle apprit a faire de petits pas. La nuit, elle ne dormait plus
entravée dans sa turbulette mais je lui attachais les mains au
montants du lit pour éviter quelle ne puisse tripoter sa
poupée. Elle portait pour dormir de ravissantes chemises de nuit
de coton que je lui mettais après le dîner. Dans la journée,
elle portait des habits de petite fille : kilts et jupes
plissées courtes ou robes chasubles et le dimanche, de
merveilleuses robes romantiques, en mousseline, pleine de volants
et de rubans. Je commençais aussi à lui apprendre la
discipline. Dabord, les bases: ne jamais me faire répéter
un ordre, ne jamais me couper la parole, ne jamais être
insolente, être toujours impeccable. Javais acheté un bon
martinet dont jusais largement. Culotte baissée, jupe
relevée, les mains attachées au dos, je la fouettais
énergiquement avant de lenvoyer au coin, parfois a genoux
sur une règle. Elle restait les fesses a lair le reste de
la journée et comme elle ne portait pas de couches et
quelle navait pas le droit dutiliser les
toilettes, elle devait me supplier pour se soulager. Je la
laissais quelquefois se mouiller sous elle et elle était
obligée de venir me le dire en pleurnichant. Cest ainsi
quelle fit connaissance du cabinet noir. Cétait un
réduit sous lescalier ou je rangeais les balais. Jy
enfermais Suzie, en chemise de nuit, mains et pieds attachés
ensemble, Une cagoule de soie noire sur la tête et un godemichet
entre les fesses. Elle y restait la journée entière et parfois
même la nuit à se morfondre et à regretter ses bêtises.
Afin den faire une future parfaite petite femme, ce qui était le but final, je léduquais chaque soir. Je lui appris à marcher, à parler, à se tenir droite, à sasseoir, les milles choses quune fille sait faire. Je suis par nature extrêmement perfectionniste et patiente et elle passait des heures, parfois au bord de la crise de nerf à effectuer le même geste. Elle avait maintenant les ongles des mains et des pieds faits en rouge et je lui perçais les oreilles pour lui poser de jolies boucles. Ce ne fut pas douloureux mais ma douillette était terrorisée. Je lui faisais aussi une queue de cheval ou des nattes tous les matins, dans lesquelles je nouais des foulards ou des rubans, rendant ses coiffures le plus fragile possible. Je commençais aussi à lui apprendre les tâches ménagères qui seraient son lot en tant que femme. Je navais pas lintention de lui faire sa lessive toute sa vie. Je lui appris donc à repasser parfaitement, à coudre, à tricoter, à faire la lessive et le ménage. Elle portait pour toutes ces activités de jolis tabliers blancs à bretelles volantées et croisées au dos, noués a la taille par de gros noeuds de satin amidonné. Elle les cousit elle-même, un pour chaque jour de la semaine , et jexigeais que ce tablier soit toujours immaculé et sans un pli, ce qui était loin dêtre évident avec les corvées que je lui donnais. Chaque tache et chaque faux pli étaient sévèrement sanctionnés et punis. Humilité, obéissance et ordre étaient mes leitmotiv et je les lui enseignais chaque jour, chaque minute, pour la conditionner à sa prochaine condition de parfaite femme dintérieur. Je réglais ses journées de manière à ne lui laisser aucune minute de répit.
Le matin, après avoir fait au pot pendant que je lui préparais son biberon, je la détachais puis la lavais et lhabillais pour la journée. Je commençais par bien lui emmailloter la verge et je lui tirais maintenant entre ses cuisses, bien au chaud dans sa couche et sa culotte de caoutchouc. Ensuite, je lui faisais enfiler par dessus un panty de latex couleur chair, très fin, bouffant à la taille et serré aux cuisses sur quinze bons centimètres. Il était fermé à la ceinture par un minuscule cadenas chromé, et ainsi jétais tranquille pour la journée, tant au niveau de son hygiène que de sa chasteté. Ensuite je la laissais shabiller seule avec les vêtements que je lui avais choisi. Elle se coiffais, se maquillais puis venais se présenter devant moi.
Si le moindre détail clochait, Suzie avait
droit au cabinet noir pour la journée, sanglée et bâillonnée
jusquau soir. Une fois linspection terminée, elle
recevait à genoux, les yeux baissés, les mains croisées sur le
devant de son tablier, ses ordres pour la matinée. Ménage,
lessive, repassage et repas du midi, elle ne chômait pas. Le
midi, elle apprit à me servir le repas debout en uniforme de
bonne, avec robe noire, tablier de dentelles, coiffe et gants
blancs. Elle prenait soin de précéder mes moindres désirs et
avant de repartir, je lui donnais à nouveau ses ordres.
Laprès-midi, je la faisais le plus souvent coudre et faire
des devoirs. En effet, javais trouvé comme support
pédagogique un traité déducation du début du siècle.
Je lui faisait recopier et apprendre des chapitres par coeur,
quelle me récitait le soir jupe troussée et fesses à
lair, pendant que je rythmais sa récitation à coups de
martinet. Le soir, bien au chaud dans sa chemise de nuit de coton
romantique, assise sur le tapis à mes pieds, nous discutions en
regardant la télé pendant que je lui brossait les cheveux. Elle
avait maintenant une magnifique chevelure noire et brillante qui
lui arrivait au milieu du dos, très fournie avec une frange
toute droite.
Il fallut cette fois-ci presque un an avant que je sois satisfaite de sa transformation et que je passe à létape suivante. Cela faisait donc pratiquement un an et demi que ma petite Suzie vivait cloîtrée à la maison. Pendant cette période, elle navait jamais vu ni parlé à quelquun dautre que moi mais cela ne l'affectait pas. Elle était heureuse et me le disait. Elle ne se plaignait jamais, toujours souriante et radieuse. Elle aimait me servir et s'ingéniait à devancer mes désirs, juste pour le plaisir de me rendre heureuse. Elle n'était ni servile, ni brisée, et je la modelais doucement à l'image que je m'étais fixé. Elle avait à la fois hâte d'être ma femme légitime et aimait être une petite fille et traitée comme telle. Elle me demandait souvent quand elle aurait des seins et regardait toujours les miens avec envie. Je lui laissait parfois me les caresser et les téter un peu. Pour calmer ses ardeurs, j'étais encore obligée de lui administrer un bon lavement bien chaud. Je la soupçonnais aussi d'essayer de se masturber au travers de sa couche en serrant ses jambes l'une contre l'autre mais je laissais faire. Cela m'amusait en fait beaucoup car j'imaginais la frustration qu'elle devait en tirer.
Après en avoir à nouveau discuté ensemble, je soumis ma Suzie à un traitement hormonal. Nous ne nous sommes pas posé la question bien longtemps car toutes deux en avions très envie. Bientôt, de petits seins commencèrent à poindre sous ses robes et sa voix mua. Elle était très fière et demanda à porter des soutiens-gorge. Elle regardait avec avidité les pages lingerie des magazines, et je décidais alors qu'il était temps de la lancer dans le monde. Un samedi matin donc, je fis venir Suzie devant moi. Elle était adorable. Elle portait une robe chasuble de velours bleu marine qui lui arrivait jusquà mi-mollets et un chemisier blanc à col Claudine, des mocassins bleu marine, des chaussettes blanches et un serre tête de velours rouge. Les mains croisées sur la robe, les ongles faits, de petites perles dans les oreilles, on aurait dit une petite collégienne japonaise. Elle fit une petite révérence, comme je le lui avait appris. J'étais très fière delle et je voyais bien qu'elle était rayonnante. Quand je lui appris que son éducation de petite fille était terminée, elle était aux anges et un peu inquiète tout de même. Je lui expliquais que si elle devenait adulte, les punitions aussi seraient des punitions d'adultes et que les contraintes n'en seraient que plus nombreuses. Pour appuyer mes dires, je la fis mettre toute nue. Je lui cadenassais un collier de fer autour du cou et la tirait à la salle de bains par la laisse qui y était accroché. Après le rituel bain-lavement, je lassis devant la coiffeuse de la salle de bains. Tout dabord, je lui tressais ses cheveux en une longue natte que je roulais et relevais en un chignon compliqué. Je la maquillais pour la première fois comme une vrai femme et la parfumais. Puis je fis mettre debout et l'amenais devant le grand miroir. Elle était nue hormis son maquillage et son collier et paraissait délicieusement fragile. Je la trouvais magnifique, lisse et douce de la tête aux pieds, son petit sexe seul rappelant ce quelle avait été. J'avais longtemps réfléchi au problème de sa verge. Il était bien sûr impensable que je la laisse libre et ma petite femme n'était désormais plus en âge de porter des couches. D'un autre côté, ces couches m'apportaient une sécurité sans faille et l'humiliaient constamment. Elles la rendait complètement dépendante de moi et j'adorais entendre le bruissement du caoutchouc et du plastique quand elle sasseyait sur une chaise ou deviner sous ses robes d'été un derrière bien rembourré.
J'avais donc résolu le problème quelques jours plus tôt. J'avais retiré ses couches à ma Suzie pendant une semaine, pour voir si elle était propre, lui vais-je dit. Par contre je continuais à lui cadenasser une culotte large de latex transparent. Elle n'avait donc d'autre choix que de faire pipi dedans. Matin et soir, mon premier geste était de la trousser et je trouvais bien sûr une poche de pipi clapotant en haut des cuisses. Suzie était morte de honte et je me moquais d'elle en la fessant comme une gamine. Je la laissait mariner dans son jus jusqu'à la nuit, jupe et jupons troussés et épinglés au dos, les fesses rougies et irritées par son urine. Le dernier jour, je lui dis que puisqu'elle était incontinente, elle serait traitée en conséquence. Ainsi, fut-elle condamnée définitivement à porter ses couche, ses culotte de caoutchouc et ses panty.
Au porte-jarretelles dont j'avais eu soin de lui ceindre la taille , j'accrochais des bas gris fumés, puis je la perchais sur des escarpins noirs vernis. Ce n'était pas la première fois qu'elle en portait mais cela faisait plus d'un an et demi maintenant et elle était un peu gauche. Ensuite je lui passais une combinaison de satin rose, bordée de dentelles, une jupe plissée noire et un chemiser de soie rose que je boutonnais jusquau cou. La jupe lui arrivait sous le genou et je terminais en lui nouant un de ses large tablier de coton blanc à la taille. " Dorénavant, tu porteras toujours un tablier, lui dis-je. C'est une marque de la déférence et du respect que tu me portes. Il sera en coton blanc pour ton ouvrage, en plastique pour la vaisselle et en dentelle pour servir à table. Mais aussi, comme tu es maintenant ma petite femme, tu as mérité un cadeau. " Et je lui enlevais le collier de fer quelle portait au cou pour le remplacer par un rang de perles.
Comme elle était belle ma petite femme ! Elle tournait devant le miroir, sadmirant en riant devant le miroir, radieuse. Puis elle se tourna vers moi en souriant. Je métais assise sur le rebord de la baignoire et Suzie se mit a genoux devant moi. Elle leva un instant les yeux vers moi, comme pour y quêter un assentiment puis sans un mot retroussa ma jupe jusquà la taille. Je portais dessous des bas noirs et une petite culotte de soie grenat. Elle commença à me lécher rapidement à travers l'étoffe devenue en un instant déjà bien humide, et de sentir sa langue au travers de la soie me rendait folle de désir et je jouis au bout de quelques dizaines de secondes à peine. Suzie fis alors glisser ma culotte et la retira puis repris son ouvrage, plus lentement cette fois, pour me laisser profiter pleinement de mon plaisir. Je sentais la jouissance monter par vagues et me cambrais pour mieux moffrir a sa bouche. Sa langue sinsinuait au plus profond de mon minou, me tirant des gémissements de plus en plus rapprochés et bientôt, une vague de jouissance sans pareil memporta, me laissant pantelante au bord de la baignoire. Enfin, Suzie me remit ma culotte, baissa ma jupe et se releva, toujours souriante.
" Jétais trop contente et jai voulu te remercier un tout petit peu, me dit-elle, jespère que je nai pas été insolente ".
A ces mots, jéclatais de rire et la serrais dans mes bras. Elle tremblait encore de désir et de frustration contenues.
" Tu es très gentille, la rassurais-je, et ta spontanéité me va droit au coeur. Tu va faire une merveilleuse petite femme, douce et attentionnée. Je nen ai jamais douté, mais quel plaisir de voir ainsi réaliser un rêve qui nous était si cher a toute les deux. " Je lembrassais tendrement et la douceur de sa peau réveilla en moi le désir. Jhésitais un instant, prête à la débarrasser de ses couches, à la trousser et à lui rendre le plaisir quelle mavait donné, mais je tiens bon. Je ne voulais pas montrer la moindre faiblesse, surtout si près du but. " Maintenant, va refaire ton maquillage et file à la cuisine, tu as du travail. " Et ma Suzie s envola dans un bruissement de jupes.
Ainsi débuta son apprentissage de femme dintérieur. Le midi, pour servir à table, Suzie avait troqué son tablier de coton pour un tablier de dentelle, piqué une coiffe dans ses cheveux et portait des gants blancs. Elle se tenait à côté de moi, les pieds parfaitement joints, les mains croisées sur le tablier, les yeux baissés. Jai toujours aimé manger en paix et Suzie moffrait une vision merveilleusement reposante. Le repas est le seul moment ou jexige une réelle attitude desclave et ma petite bonne est particulièrement vigilante sur ce point. Elle prend garde a devancer chaque désir, efficace et silencieuse et sait que faire tomber un couvert ou servir un plat trop chaud lui valent des corrections cuisantes, attachée sur la table de la cuisine, jupe et jupon troussés et les fesses a lair.
Le soir venu, à huit heures précises comme chaque soir, Suzie monta se mettre en chemise de nuit. Je lentendis pousser des cris de joie en découvrant la combinette de satin bleu marine et le long peignoir assorti que je lui avait offert et posés sur son lit.
" Et oui, lui dis-je, il est temps dabandonner le confort de tes chemises de nuit en coton. Tu es une femme, maintenant, veille a ne jamais loublier. "
Quand elle revint un peu plus tard, pomponnée, parfumée, coiffée, le peignoir ouvert sur la combinette, juchée sur ses mules a talons, jeus un véritable choc. Je maperçut alors a quel point Suzie avait changé. Ma petite fille était devenue une jeune femme très attirante. Je lui avait dis de ne pas remettre de couche, pour une fois, et dimaginer sa petite verge épilée, ballante sous le satin, me fit monter le rouge aux joues.
Ny tenant plus, je lui demandais de
me déshabiller, tout doucement, puis nue comme Eve, je la
déshabillais a mon tour et la couchais sur le canapé.
Jétais déjà toute chaude et elle toute tendue de désir.
Je la léchais sur tout son corps deurasienne puis je
minstallais sur elle. Jai toujours été très
étroite et la petite taille de sa verge est plutôt une
bénédiction. Je mempalais sur son sexe en lui pétrissant
les seins, pendant quelle caressait les miens. Nous avons
mis quelques secondes seulement à jouir, presque simultanément
et quelques minutes à peine pour reprendre notre coït. Cette
fois, Suzie était vraiment ma femme. Elle eu le droit de dormir
dans mon lit et se pelotonna dans mes bras, soumise et aimante.
Le samedi suivant, enfin, ma Suzie fit sa première sortie de femme. Elle était complètement retournée et en tremblait démotion. Je lui avais acheté un long manteau de drap noir qui lui arrivait aux chevilles, des gants de cuir et une chapeau de feutre gris. " Je ne veux pas te voir mettre le nez dehors sans porter gants et chapeau, lui dis-je. Tu dois toujours être parfaite." Perchée sur ses escarpins, sanglée dans son tailleur prince de galle, dont la jupe arrivait sagement sous le genou, elle faisait très jeune fille de bonne famille, prude et réservée. Je lemmenais au restaurant, puis nous avons fait les magasins. Je lui fis essayer robes et jupes, rien que pour le plaisir dexhiber ma jolie soumise aux vendeuses. A notre retour, je découvris ses couches tachées de semence et, les mains liées au dos, elle dut me lécher pendant une éternité.
Le lendemain, je lemmenais à la messe. Nous sommes toutes deux très croyantes et je savais quêtre privée de sa messe dominicale avait été très dur pour Suzie. Endimanchée dans sa robe de velours vert, ses hauts talons claquant sur parvis de léglise, ma petite reine était ma fierté.
Le week-end suivant, nous lavons
passé toute deux habillées en robe de mariées. Ce fut très
émouvant et très beau. Nous avons échangé nos voeux, voilées
toute les deux. Suzie me jura obéissance et fidélité, me
récitant pour loccasion un petit texte très touchant. Je
lui jurais à mon tour protection et fidélité et cest les
larmes aux yeux que nous avons échangé le baiser qui scellait
notre union.
A partir de ce moment, tout alla très vite. Son éducation était terminée, et il sagissait dinstaller Suzie dans un cadre quotidien sans faille. Je lui imposais un emploi du temps des plus serré. Debout à cinq heures quinze, elle commence par se laver, après être passée au pot de chambre, puis change de couche et culotte plastique. Ensuite elle shabille, après avoir prit soin de repasser toutes ses affaires et de mettre un tablier propre et amidonné. Et je sais reconnaître un tablier repassé du matin ! Après cela elle repasse mes affaires pour la journée, sous-vêtements compris, cire mes chaussures et prépare le petit-déjeuner. A six heures quinze, elle me sert le petit déjeuner au lit, puis me donne mon bain, mhabille, me coiffe et me maquille. Jadore ce moment privilégié du matin ou, assise devant ma coiffeuse, encore un peu ensommeillée je mabandonne aux soins de ma petite femme. Elle sent bon la jeune fille sage, fraîche et pimpante, souriante et amoureuse. Elle virevolte autour de moi, dans un bruissement de jupe et de satin, précise et douce dans tous ces gestes. Jai du mal à me rappeler toutes ces années ou je courrais tous les matins, le café dans une main et la brosse dans lautre !
Suzie reçoit ses ordres ensuite pour la
matinée. Entre les courses et lentretien de la maison,
toutes ses minutes comptées. Laprès-midi, elle fait de la
couture, du jardinage et soccupe du secrétariat de la
paroisse. Et le soir, je retrouve avec un bonheur toujours égal
ma petite femme dintérieur. La maison sent bon les petits
plats mijotés et le linge frais. Encore une fois, le rituel est
bien rodé. Je maffale dans un canapé et Suzie accourt
pour me déchausser et me masser les pieds. Mon cocktail de
fruits est déjà prêt, mon courrier préparé sur un petit
plateau. Après le repas, Suzie me fera couler un bain et viendra
me laver et me sécher. Quel bonheur dêtre ainsi
chouchoutée. La nuit venue, bien confortable dans une longue
chemise de nuit et un négligé de soie, je fais le bilan de la
journée. Suzie est assise sur ses talons, à mes pieds, en
nuisette de satin. Elle porte son collier de fer et sa laisse est
attachée au pied du canapé. Il est bien rare que je ne trouve
rien a redire, que ce soit sur comportement, sa tenue ou son
travail de la journée. Sur mon ordre, Suzie va chercher les
instruments de sa pénitence et me apporte respectueusement.
Martinet, paddle, parfois même cravache, liens de toute sorte,
en cuir ou en satin, la punition dépend de la faute et de mon
humeur. Ma soumise se prête de bon gré à mes caprices, implore
mon pardon et promet de ne plus recommencer. Je la console au lit
ou létat dexcitation et de contrainte perpétuelle
ou je la fais vivre nous donnent des orgasmes dune
puissance extraordinaire.
Aujourdhui, nous sommes heureuses, le
résultat de notre expérience commune dépasse nos espérances
et nous filons un doux bonheur. A bien des égards notre couple
est exemplaire. Chez nous, pas de disputes, pas de conflits
ouverts ou larvés. Nous avons toutes deux des tâches bien
définies et nous nous y tenons. Je fais vivre le ménage et
Suzie soccupe de moi et de la maison. Malgré nos rapports
de domination/soumission, le respect est toujours présent et
même dans ses punitions les plus sévères, Suzie sait
quelle peut compter sur mon amour indéfectible.