Le jardin secret de Michou 

Une pause pour le lunch pas mal active pour une amie soumise

 

Une amie rencontre mon Maître lors de sa pause pour le lunch :

"S'il te plait! Laisse-la aller!" que j'implore. "Elle va être en retard à son travail!"

Dès que je commence à supplier mon Maître de la laisser partir, ma copine intervient, en me disant:

"Ne te mèle pas de cela! Je suis capable de prendre soin de moi!"

Immédiatement, je me retourne vers le mur de ciment, me sentant dépitée et rejetée pour être intervenue dans les affaires de ma copine, en ce moment si mal choisi.

Nous nous retrouvons actuellement, tous les trois, dans un stationnement public, situé sous le magasin La Baie, de Place Laurier, le plus grand centre commercial de la ville de Québec.

Ma copine, H, qui est une vraie femme, prend place sur le siège arrière de l'auto de mon Maître. Il est en train de lui enlever de vicieuses pinces, attachées à ses mamelons, qui sont de format plutôt volumineux, vous pouvez me croire.

Je vous ai parlé de H et C dans mes aventures intitulées: et

Je me sens incapable de les regarder faire car, si je devais porter de telles pinces, je crois que j'en mourrais. Mais, H, elle, sourit à pleines dents. Elle semble vivre dans un autre monde. Si j'avais vu ce sourire plus tôt, je serais sûrement demeurée assise bien sagement sur le siège du conducteur. Si, d'ici la fin de la journée, je ne me mérite pas une sévère punition de la part de mon Maître, je pourrai me considérer chanceuse.

Je dois expliquer ici  que ma copine est venue nous rejoindre, il y a de cela environ une heure trente. Et, depuis que nous nous connaissons, H a toujours fait en sorte de me protèger, lorsque je me retrouvais dans des situations similaires. Vous pouvez me croire sur parole, à plusieurs reprises, elle s'est arrangée pour me mettre dans des situations difficiles. Je croirais même que c'est sa spécialité.

Ce matin, nous nous sommes rencontrés, tous les trois, au restaurant Cosmos Café, situé sur le boulevard Laurier, la plus longue et la plus achanlandée des artères de la ville de Québec, à environ trois kilomètres à l'est des ponts qui enjambent le fleuve St-Laurent.

Pas plus de cinq minutes après avoir commandé notre repas, C, mon Maître, a demandé à ma copine d'aller aux toilettes afin qu'elle se débarrasse de sa brassière et de ses petites culottes. Il m'a également ordonné de la suivre pour y enlever mes propres petites culottes et pour vérifier si tout se passe bien pour ma copine.

À l'intérieur de la salle de toilettes, H et moi avons choisi les cubicules situés aux deux extrémités de la pièce. Cela ne l'empêche aucunement d'entretenir la conversation avec moi. Elle me met vraiment mal à l'aise car je ne suis pas en mesure de vérifier si d'autres femmes sont présentes et je dois parler si fort que je ne peux même pas essayer d'adoucir un peu ma voix, qui n'est pas particulièrement féminine.

Lorsque nous nous extrayons, enfin, de nos cubicules, nous pouvons continuer notre conversation, mais à voix plus douce, cette fois. H me confirme qu'elle trouve que C va un peu rapidement en affaires, à son goût, mais ajoute qu'elle peut s'en accomoder. La preuve, elle n'a pas enlevé sa culotte.

De retour à notre table, je sors la mienne de mon sac-à-main pour montrer à mon Maître que je n'en porte plus. Je me sens toute gènée et j'ai de la difficulté à dévisager H. Mais, j'ai quand même l'impression que C est déjà en train de s'assurer qu'elle ne porte plus rien qui pourait entraver ses investigations entre ses cuisses et sur sa généreuse poitrine.

Cela m'apparait maintenant évident que C m'a fait sortir ma culotte de mon sac-à-main uniquement dans le but de m'humilier parce que sa main libre est déjà occupée à farfouiller sous ma jupe. Il a un don pour me faire fondre, cet homme-là! Même si des frissons parcourent mon corps en entier, je ne suis vraiment pas en position de montrer quelque réaction que ce soit car un homme, assis au bar tout près, ne manque rien de ce qui se passe entre nous trois.

Ou bien H ne s'en rend pas compte, ou bien elle ne veut rien savoir car, à en juger par le large sourire qu'affiche son visage, il m'apparait évident qu'elle s'amuse, la cochonne.

Comme elle ne peut pas passer beaucoup de temps avec nous, nous finissons notre repas rapidement et C m'ordonne de conduire sa voiture, pendant qu'ils prennent place, tous les deux, sur le siège arrière. Même si le centre commercial, où travaille ma copine, est situé tout près, C et H ont l'air d'avoir fait connaissance très rapidement car il me semble y avoir pas mal d'action qui se passe derrière moi.

Après avoir stationné l'auto, par deux ou trois fois, ma copine dit à mon Maître qu'elle doit retourner travailler mais lui ne semble aucunement se préoccuper de ces supplications.

Pendant un bon moment, je demeure bien sage, sur mon siège, jusqu'à ce que, n'en pouvant plus, je prend mon courage à deux mains et demande fermenent à C de la laisser partir.

C'est à ce moment que H me fait comprendre, d'une manière ou d'une autre, de me mêler de mes affaires.

Puis, après avoir argumenté un bon moment avec C, pour qu'il lui redonne sa brassière, elle quitte finalement. Je me sens soulagée mais pas pour longtemps. Mon Maître me jette un regard complice, me prend dans ses bras et, sans dire un mot, ouvre mon imperméable et remonte ma jupe jusqu'à ma taille. Il est environ 13:30 et il y a beaucoup de véhicules qui circulent sur le terrain de stationnement où nous nous trouvons.

Comme ce stationnement est ouvert, je ressens une bonne brise qui vient me caresser la peau. Mais, il faut que j'admette que c'est plutôt agréable comme sensation. Si j'avais le choix, j'aimerais quand même mieux pouvoir bénéficier de la protection de mes petites culottes car nous ne manquons sûrement pas d'attirer l'attention des passants. Heureusement, je crois que C est suffisamment près de moi pour que personne ne puisse suspecter à quel point je suis nue sous cet imperméable qui est maintenu grand ouvert par C. Quel salaud il est celui-là!

Malheureusement pour moi, ce genre de protection ne dure pas très longtemps. C me fait prendre position presqu'en plein milieu de la place et m'ordonne d'ouvrir mon imperméable encore plus grand, pendant qu'il prend des photos. C'est pas croyable la quantité d'adrénaline qui parcourt mon corps, en ce moment!

Je suis parfaitement consciente que je suis incapable de résister à mon Maître, dans des moments pareils. Mais je dois quand même être devenue toute une exhibitionniste également car, dès qu'il à l'air d'être fier de moi, je me sens jouir de la situation. J'ai l'impression de vivre dans un autre monde et je dois probablement lui résister d'une manière vraiment peu convainquante puisqu'il me fait prendre des poses, tout ce qu'il y a de plus indécent, si j'en juge par les photos qu'il prend habituellement. Malgré tout, en ce moment, je peux difficilement oublier que, ni ma jupe, ni mon imperméable ne cachent la moindre partie de mes jambes et de mon sexe.

La session de photographie ne dure probablement pas plus de quinze minutes mais j'ai l'impression d'avoir été exposée pendant une bonne heure. Toujours avec la caméra en main, C m'amène maintenant à l'intérieur du centre commercial et, dans une des entrées (voir la photo, au haut de la page), je dois me dénuder de nouveau, à côté d'une cabine téléphonique.

C me demande alors où se trouve la boutique où travaille H et, pendant que nous marchons dans cette direction, nous nous arrêtons dans un magasin de chaussures. Ai-je bien besoin de vous dire que je dois, de nouveau, ouvrir bien grand mon imperméable, pendant que je prend place sur un banc pour faire l'essai d'une paire de bottes?

Heureusement, le commis est occupé avec d'autres clientes et il ne m'aide pas, contrairement à ce que C devait espérer, j'en suis convaincue. Mais, je ne lui laisse pas trop de temps pour prendre des photos car je réussi à m'arranger, assez rapidement, pour qu'il se rende compte que les bottes ne me font pas. Ensuite, afin de l'occuper (et pour cacher aussi ma nudité), je lui demande de m'aider à attacher les courroies de mes chaussures qui encerclent mes chevilles. Vous pouvez sûrement vous douter à quel point je me sens soulagée lorsque nous sortons, enfin, de ce magasin.

À la boutique, où travaille H, nous la retrouvons occupée à servir une cliente et, avant qu'elle puisse venir nous rejoindre, mon Maître m'ordonne d'ouvrir encore mon imperméable devant elle. Lorsqu'elle arrive près de nous, j'essaie de me placer face à un mur, pour qu'elle soit placée entre nous et je lui dis: "Je regrette de devoir te faire subir cela mais je dois me soumettre" et j'ouvre mon imperméable, en espérant qu'elle comprendra, qu'en quelque sorte, je n'ai pas le choix.

Lorsque nous quittons le centre commercial, pouvez-vous croire que je me sens soulagée? Mais, de nouveau, cette sensation ne dure pas bien bien longtemps. C m'ordonne de prendre le volant pour nous diriger vers ma demeure.

Pendant tout le trajet, d'environ quarante-cinq minutes, alors que je conduis, il ne cesse de caresser mes cuisses et mon sexe. Même pendant que je ralentis, lorsque j'ai peur de ne pas avoir suffisamment de concentration pour suivre la circulation, il ne lâche pas.

Lorsque nous arrivons chez moi, il me laisse à peine le temps d'entrer pour mettre une paire de mules à hauts talons compensés et remplacer ainsi mes chaussures à talons aiguilles. Avant de nous engager sur le terrain détrempé de la cour arrière, il prend bien soin, cependant, de m'enlever mon imper et ma blouse et il me menotte à un arbre, situé au fond du terrain.

Plusieurs photos plus tard, mes poignets toujours menottés devant moi, C m'amène dans le cabanon de la cour arrière, où il m'attache les jambes à la hauteur des genoux et les bras à une poutre au-dessus de ma tête. Mon petit pénis, lui, est attaché à la souffleuse à neige. C'est tout un spectacle que je dois donner! J'en suis convaincue! Mais je ne suis vraiment pas dans une position très confortable. Et, il me laisse là! Pour combien de temps? Lui seul le sait! Heureusement, il prend la peine de fermer la porte du cabanon afin que le voisin ne puisse pas se rendre compte de l'indécence de la position dans laquelle je me retrouve.

Lorsqu'il revient auprès de moi, mes poignets et mon sexe me font affreusement souffrir, mais je réussis quand même à me maintenir sur la pointe des pieds. Mais, ai-je vraiment la possibilité de m'appuyer sur mes talons? Juste un peu plus de pression sur l'un d'eux et j'ai l'impression que mon sexe se détachera de mon corps.

Heureusement, C ne perd pas de temps à me détacher et nous entrons enfin dans la maison où il me laisse un peu de temps pour récupérer. Quelques minutes plus tard, il commence à me servir ma récompense en me faisant l'amour tout le reste de l'après-midi. Il établit même un record personnel qui compte pour toute la période depuis que nous nous connaissons et je croirais qu'il n'est pas près de l'égaler de sitôt.

Sur le chemin du retour vers la ville de Québec, je conduis encore. Durant tout le trajet, C, cet infatigable,  ne cesse de s'occuper de mon sexe, avec ses mains et même avec sa bouche, et je me régale. En essayant de ne pas me laisser aller, pour ne pas souiller son auto, il prend à peu près tout ce qui me reste d'énergie. Mais, croiriez-vous qu'il réussi, quand même, à me faire vivre presque trois orgasmes consécutifs?

Rendus à Québec, nous nous faisons nos adieux puis je me dirige vers mon restaurant de viande fumée favori. Alors que je règle mon addition, la serveuse, qui semble fascinée par mes souliers à talons , me complimente sur mes chaussures. C'est une autre bonne raison d'être heureuse après avoir passé cette journée, somme toute, très occupée mais merveilleuse, en compagnie de mon Maître et de ma copine, en cette fin d'avril 2003.

Epilogue:

Quelques jours plus tard, alors que nous clavardons ensemble, ma copine, H, me fait savoir qu'elle est très fâchée contre moi. Elle m'indique très clairement que nous n'aurions pas dû faire ce que nous avons fait, à la boutique où elle travaille. Elle est très désappointée que je me sois exposée nue devant elle, si près de clientes et de compagnes de travail.

Je sais, que j'ai eu tort et je lui exprime mes regrets sincères. Malheureusement, je ne peux rien faire d'autre. Je peux seulement espérer que nos relations futures ne souffriront pas. Si, au moins, elle a pu s'amuser suffisamment avec nous pour qu'elle puisse me pardonner un peu!

 

Note: En rapport avec certaines parties de cette aventure, des photos sont publiées dans la partie du bas de la page "Avril 2003", des "Sorties fétishistes".

Cette page profite de l'hospitalité de  

Dernière mise à jour: 14 mai 2003

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