É um processo natural que surge progressivamente em torno dos 50 anos de idade. Ela se define como uma parada das menstruações durante um período de um ano, na ausência de outras condições patológicas. Os ovários contêm óvulos e produzem hormônios. Todo mês, um óvulo sofre um processo de maturação, sob a ação de hormônios, e percorre um caminho, que vai do ovário ao útero. A menopausa ocorre quando os ovários perdem suas reservas de óvulos que possam ser fecundados. Quando a mulher chega à década dos quarenta, o organismo secreta uma quantidade cada vez menor e inconstante de hormônios. Na ausência de progesterona, o intervalo entre as menstruações e sua duração podem flutuar. Estes fenômenos geram um espessamento da camada interna do útero, denominada endométrio. Algumas vezes, este espessamento se torna instável e surgem as menstruações excessivas. Com a extração do útero, cessam-se as menstruações, mas os ovários devem funcionar até que todos os óvulos se esgotem.
a) Ondas de calor: Nosso organismo mantém sua temperatura constante pela modificação do afluxo de sangue em nível de pele. Os estrogênios intervêm neste mecanismo de regulação da tem- peratura corporal. As ondas de calor, que chegam geralmene durante o sono, são causas de frequentes períodos de insônia. Trois femmes ménopausées sur quatre éprouveront des bouffées de chaleurs. Le premier signe se révèle une sensation de pression au niveau de la tête. L'intensité s'accroît progressivement et culmine pour laisser place à la bouffée de chaleur. La sensation de chaleur est suivie par une crise de sueur plus ou moins gênante surtout la nuit, qui est plus marquée au niveau de la tête, du cou et de la poitrine. L'épisode peut durer de 2 à 5 minutes et se terminer par des tremblements et des frissons. Les oestrogènes constituent actuellement le meilleur traitement que nous ayons contre celles-ci et d'ailleurs, contre les autres symptômes de la ménopause. b) Problèmes de l'humeur et de la mémoire: Certaines femmes se sentent dévalorisées et déprimées. Les oestrogènes agissent sur les neurotransmetteurs impliqués dans la dépression pour en améliorer les symptômes. Ils stabili- sent l'humeur, améliorent la sensation de bien-être et ont un effet favorable sur la mémoire verbale et la capacité d'apprentissage. c) Incontinence urinaire: La réduction d'oestrogène peut entraîner l'amincissement de la couche interne qui recouvre la vessie, provoquant l'écoulement involontaire de petites quantités d'urine lorsque l'on rie, éternue ou porte des paquets. Il est possible d'uriner plus souvent ou d'être plus susceptible de développer des infec- tions urinaires. d) Image corporelle: Le déficit en oestrogènes peut occasionner des transformations graduelles au niveau de la peau et du tissu de soutien. La quantité de liquide intracellulaire diminue, ce qui provoque un amincissement des couches sous-cutanées de même qu'une baisse d'activité des glandes de la suer. La peau devient ainsi plus sensible à la température et à l'humidité. On observe une di- minution des poils pubiens, axillaires et une perte de cheveux. e) Sexualité: La baisse du niveau d'oestrogènes entraîne une réduction du flux sanguin au niveau de la vulve et du vagin. Ce phénomène peut provoquer une réduction de la lubrification, la sécheresse vaginal et des douleurs au cours des relations sexuelles. La couche recouvrant le vagin devient mince et plus fragile, et des saignements après les relations peuvent survenir. L'amincissement et l'aplatissement de la couche interne du vagin combinés à la baisse de production d'acide lactique contribuent à augmenter l'alcalinité des sécrétions vaginales, la fréquence des irritations et des infections. Certaines femmes peuvent perdre tout intérêt pour la sexualité. f) Ostéoporose: La densité osseuse augmente jusqu'à l'âge de 30-35 ans. La femme après sa ménopause perd de 3 à 5% de sa masse osseuse annuellement. Ce taux décroît avec le temps pour se stabiliser autour de 1 a 2% par année. Ainsi, à 80 ans, la femme a perdu 50% de sa masse osseuse. Après 50 ans, une femme sur quatre présente de l'ostéoporose. Les fractures de la hanche, des côtes et des vertèbres sont les plus fréquentes. Les fractures vertébrales passent parfois inaperçues, mais elles peuvent causer des douleurs dorsales et réduire la mobilité. A la longue elles peuvent entraîner une diminution de la taille ou une courbure de la colonne vertébrale. Facteurs de risques liés a l'ostéoporose: 1. Génétiques: race blanche ou asiatique; petite taille; faible poids. 2. Habitudes: cigarette; inactivité; aucune grossesse; entraînement physique excessif; ménopause précoce; puberté retardée; cycles sans ovulation. 3. Nutrition: apport insuffisant en calcium; consommation excessive d'alcool, de la viande et de cafféine; alimentation intraveineuse prolongée. 4. Maladies: anorexie nerveuse; thyrotoxicose; malabsorption gastrique ou intesti- nale; syndrômes de Turner et de Klinefelter. 5. Médicaments: stéroïdes, anticonvulsivants; hormones thyroïdiennes; anticoagulants. g) Coeur et vaisseaux sanguins: Avant la ménopause les femmes sont moins affectées par les maladies cardiaques que les hommes. Les premiers symptômes d'angine surviennent chez elles, en moyenne, dix ans plus tard que chez l'homme et le premier infarctus, vingt ans plus tard. L'hormonothérapie de remplacement peut diminuer ce risque. Les effets bénifiques attribués à l'oestrogène reposent en grande partie sur l'amélioration du rapport du bon cholestérol (HDL) sur le mauvais cholestérol (LDL). La voie d'administration des oestrogènes demeure importante pour déterminer les effets sur les graisses. L'action favorable du HDL demeure beaucoup moindre, sinon presqu'inexistante, par voie transcutanée. h) Les risques de phlébites et de thromboses artérielles: Il n'existe aucune relation entre la prise des oestrogènes et l'apparition de thrombose chez la femme ménopausée saine. Chez celles qui ont des antécédants de thromboses, surtout pendant la grossesse ou à la suite de la prise d'anovulants, l'utilisation d'oestrogènes par la voie transcutané évite le premier passage des hormones au niveau du foie et la synthèse accrue des facteurs de coagulation. L'hormonothérapie de remplacement réduit le risque de thrombose artérielle en agissant sur les plaquettes, sur les facteurs de coagulation et par un effet vasodilatateur; mais l'effet bienfaisant de l'hormonothérapie sur les vaisseaux coronariens ne se retrouve pas au niveau des vaisseaux cérébraux.
a) Alimentation: Consommer moins de gras et plus de fibres contribue à protéger contre le cancer et les maladies cardiaques. Boire trop de café et d'alcool peut nuire à la santé. Utilisez 1.2-1.5 g par jour de calcium, pour les gens de 50 ans et plus. Les produits laitiers sont une excellente source de calcium. De plus, des suppléments de calcium peuvent être ajoutés à la diète. Plusieurs femmes nécessitent un supplément de vitamine D. Dans notre Service nous utilisons l´extrait de soja PGF2901 (SOYBEAN) deux fois par jours pour toutes les patientes, car il contient une grande quantité de calcium, des isoflavones, de fibres solubles et non solubles et bien de substances antioxydantes. Son utilisation régulière c´est sufissant pour fournir les hormones nécessaires a ce type de patiente, bien que réduire les douleurs qui sont fréquentes dans toutes les articulations du corps. b) Cesser de fumer: Le tabac cause le cancer du poumon, la principale cause de mortalité du cancer chez la femme et l'infarctus du myocarde, la première cause de décès chez la femme. c) Exercices physiques: Il aide à conserver la solidité des os et la force musculaire. De plus, il améliore l'équilibre, la souplesse et l'agilité, contribuant à prévenir les chutes et les fractures. De plus, il est bénéfique pour le coeur et les vaisseaux et peut réduire le stress, les douleurs musculaires et articulaires. L'idéal est de combiner des activités aérobi- ques, sans impact, et la musculation. d) Hormonothérapie: S'il y avait une hystérectomie, il y aura besoin d'oestrogènes seulement. Si l'utérus est intact utilisez une hormonothérapie de remplacement combinée, soit de la pro- gestérone en plus de l'oestrogène, parce que la progestérone fournit une protection partiale contre le cancer de l'endomètre.