Discussions de vol libre au Québec

1 juin 1997 au 20 août 2000

Archivées par le Front de Libération aérienne du Québec


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Date: 04 août 2000

De: Azur Parapente (32)

Sujet: Une association qui dort au gaz,the shit is going to hit the (8)

Waooh, je n'avais pas lu la liste depuis quelques jours, alors quelle

surprise de voir sur quel ton ce débat a été entamé ! Ton message Alexandre

n'est sûrement pas pour faire avancer quoi que ce soit au sein de l'

enseignement ni de l'AQVL ! Il est facile de brandir ton étendard de

justicier éhonté, mais avant de critiquer à tord et à travers et surtout

d'insulter les gens en les qualifiant publiquement, d'imbéciles, de chef des

clowns, de bande d'idiots et j'en passe, il faudrait avoir la décence de se

renseigner auprès des concernés par les incidents cités. En passant l'

insulte publique et la diffamation sont deux choses condamnables par la loi

de l'Internet ! Une liste de discussion est une tribune libre de

l'expression mais contrairement a ce que tu sembles penser, on ne peut pas y

dire n'importe quoi n'importe comment ! De plus quand on veux faire la leçon

aux autres, il vaut mieux entamer un dialogue en étant poli et avec savoir

vivre, deux mots qui ne semble pas faire parti de ton vocabulaire ! Et si

les gens qui s'exprime correctement sur la liste te dérangent, retournes

donc à l'école, si ce n'est l'écriture et la politesse, tu y apprendras

peut-être à sourire ! Pour finir, si c'était le cash était la motivation des

instructeurs Québécois, 100% auraient laissé tombé depuis longtemps.

Maintenant avant de dire la qualité de l'enseignement a dégradé au Québec

depuis les dernières années et de sous entendre que les écoles Québécoise

sont mal dirigées et qu'il y a une recrudescence des accidents au Québec par

leurs fautes, quoi dire des sketches des pilotes brevetés que l'on voit

régulièrement sur tous les sites, Québécois comme étrangers. Combien de

pilotes brevetés se sont branchés cette dernière année, ont sauté dans leur

sellette au bord du trou, ont décollé en sous vitesse ou dans le mauvais

cycle, volent sous des ailes trop performantes pour leur niveau, grattent de

la montagne sans même surveiller leur cône d'autonomie, n'ont pas respecté

les priorités, ont tourné le thermique à l'envers des autres, sont parti en

vrille à plat, se font fermer ou bardassé parce qu'il ont mal analyser la

masse d'air, ont atterri hors terrain parce qu'ils ne construisent pas

correctement l'approche ? Ha oui, j'oubliais, c'est notre faute ça, nous les

avons mal formé !

Au moins en école, l'instructeur évite 99.9 % des erreurs à ses élèves, mais

l'erreur est humaine, et aucun instructeur ne sera jamais à l'abri d'une

faute de pilotage de son élève, du non respect d'une consigne où d'une

erreur d'appréciation. Je trouve que le débat laisse de coté un fait établi;

Il n'y a très peu d'accidents occasionnant des blessures pendant la phase

d'apprentissage en école, c'est plutôt après que ça se gâte. Les

associations qui gère le vol libre à travers le monde sont unanimes sur ce

point, certain appellent même ça le syndrome du pilote intermédiaire. De

plus, on remarque que ces pilotes sont souvent incapable d'expliquer

objectivement une erreur de pilotage ou de jugement qui est attribuable la

plupart du temps à l'inexpérience où à une aile trop performante pour le

niveau de pilote. Alors, qu'est ce qu'on fait ? Oblige-t-on les pilotes

victime d'incidents à retourner en école au bout de trois fautes de

pilotage, leur retire-t-on leur certification au bout de cinq, et pourquoi

pas mettre un système de point comme pour le permis de conduire pendant qu'

on y est !

Ne vaudrait-il donc pas mieux posez des questions sur la pratique du pilote

lambda avant de polémiquer sur un mauvais enseignement. L'apparente facilité

du parapente découle souvent sur un comportement désinvolte des pilotes qui

oublient trop souvent qu'il faut réfléchir pour bien piloter. Malgré tout ce

que l'on peut dire à nos étudiant pendant leur apprentissage, ils est

certain qu'ils oublient bien vite les bases que nous essayons de leur

inculquer ! Combien décollent parce qu'ils y a d'autres pilotes en l'air,

combien calquent leur approchent uniquement en fonction de ce qu'on fait les

autres pilotes posé avant sans même vérifier la manche à air, combien ont lu

sérieusement plusieurs ouvrages sur le vol libre (aérodynamique, aérologie,

météo.etc.) et surtout, combien de pilotes prennent t-ils réellement leurs

décisions en ne tenant compte que de leur propre expériences ? La grande

majorité sont et resterons des pilotes de loisir influencés par ce que font

les autres ou qui se fient uniquement à leur intuition. Cette attitude

limite le pilote qui rencontre vite des problèmes le jour ou il veut

performer plus. La plupart du temps sa première démarche consiste à changer

son aile contre une plus performante, ensuite il va voler dans des

conditions plus fortes. C'est là que le bas blesse. A ce stade trop d'étapes

sont brûlées. Occulter l'analyse des condition de vol s'est augmenter les

risques potentiels inhérent au vol libre . L'expérience ne s'acquière pas

simplement en volant plus dans des conditions plus fortes avec une aile plus

performante, mais en s'expliquant chaque décision qui conditionnent le vol.

Autrement dit, donnez une aile débutant à un très bon pilote étranger, et il

volera encore mieux que vous simplement parce que ses décisions sont

conditionnées par son analyse de la masse d'air.

Autre chose que je remarque depuis quelques années. Au début du parapente

les pilotes avaient pratiquement tous un passé de sportif ( gens de

montagne, parachutistes.). Certaines aptitudes physique et réflexes

proprioceptifs propres aux sportifs n'étaient pas à apprendre pendant la

phase d'apprentissage. De plus ces gens avaient l'habitudes de faire face à

des situation qui demandent des réactions vives et juste simplement parce qu

'ils avaient l'habitude de dealer avec le coté émotionnel d'une situation

sportive. Aujourd'hui le pilote lambda est un citadin, souvent âgés de plus

de 35 ans (ce n'est pas un étudiant qui peux flamber 5 ou 6000 pièces dans

un été et avoir un horaire flexible lui permettant de s'absenter pour aller

prendre des cours), travaillant dans un bureau à longueur d'année. Ces gens

font peu de sport et viennent faire du parapente comme on va à la plage.

Mais ils découvrent vite qu'une erreur de pilotage ne se corrige pas aussi

tranquillement qu'une faute de frappe sur un ordinateur. Cela est un des

principaux problèmes de l'enseignement actuel. Ajoutez aussi à cela les aile

récentes beaucoup plus performante d'aujourd'hui et vous comprendrez qu'

enseigner comporte plus de risque maintenant.

Maintenant et pour satisfaire certain voici la petite histoire de ce

branchage et ce qui s'est réellement passé, si ça peut servire de leçon à d'

autre tant mieux.

Ce jour là le vent était léger variable (- de 10 Km/h) avec une petite

composante SO. Le décollage Ouest Yamaska était très bien alimenté par des

cycles thermiques réguliers (+ de 10 minutes chacun et moins de 2.5 m/s) de

10 à 15 km/h. Nous avions cinq élèves et tous étaient équipés d'une radio, d

'ailes école homologuées récentes, avaient eu des consignes claires et un

plan de vol bien établi. Chacun d'eux devaient faire deux ou trois 8 en

avant du décollage pour prendre un peu d'altitude et direction l'

atterrissage Ouest du club Yamaska. Ils étaient encadré au décollage et à l'

atterrissage. Quatre élèves ont réalisés leur plan de vol selon les

consignes.

Que sait-il passé pour le cinquième alors ? Hé bien comme souvent en vol

libre un incident découle souvent au départ d'une erreur sans conséquence.

Juste après le décollage, l'élève a tourné à gauche comme il lui a été

demandé, mais contrairement aux autres l'instructeur lui a demander de

serrer le relief un peu plus alors qu'il ne le voyait plus. A raison d'

environ 10 m/s on en parcoure du chemin, et une dizaine de seconde plus tard

l'élève était sous le décollage des Corsaires pendant que l'instructeur

essayait de se replacer pour le voir. A ce moment j'ai réalisé que mon

instructeur ne pourrait l'avoir en vue quoi qu'il fasse, j'ai tout de suite

demandé à demandé l'élève de faire un quart de tour a gauche et de prendre

la direction de l'atterrissage. Malheureusement il n'a pas réagit de suite

et j'ai du lui répéter une autre fois l'ordre de dégager le relief, à ce

moment il était trop tard ! Trois erreurs sont à retenir, 1) l'instructeur

perd son élève de vue 2) l'élève oublie la consigne qui veux qu'on vole

toujours à au moins deux ailes du relief 3) j'ai laisser un élève

instructeur s'occuper seul les décollages. Un débriefing de groupe

(Instructeurs, élèves, victime) a été fait et la leçon devrait être

profitable à tous, notre élève n'a subit aucune blessure et va continuer à

apprendre à voler, l'aile n'a subie aucun dommage et les secouristes ont

super bien fait leur boulot je les en remercie grandement.

J'en profite aussi pour dire qu'il est la responsabilité de tout pilote de

rapporter aussi chaque incident/accident à Fred T L Wilson (responsable de

ACVL du comité sur la sécurité). Rien ni personne n'annihilera totalement

les incidents, mais des statistiques fiables qui pourront servir à améliorer

les choses alors c'est important que chacun fasse leur rapport d'accident.

Mais surtout, cette première démarche permet souvent de reconstituer

objectivement les fait afin de tirer la leçon de chaque incident.

René Marion

----- Message d'origine -----

De : Alexandre Arapoglou <pirate_maboul@HOTMAIL.COM>

À : <VOL-LIBRE@LISTES.ULAVAL.CA>

Envoyé : 29 juillet, 2000 14:06

Objet : Une association qui dort au gaz,the shit is going to hit the fan

> Salut tout le monde!

>

> Ça fait longtemps que je regarde l'association évoluée pis je crois

> sincèrement qu'il y a du monde qui dorment au gaz.

>

> Je suis raide!? OUI, je le suis plus particulièrement quand des vies ou

des

> membres (ex: bras) sont mis en danger par une bande d'idiot. Des imbéciles

> qui envoient des plus que débutant dans le trou soit par une forte

dominante

> de vent plus de 90 degrés cross alors que des pilotes expériementés plient

> leurs ailes.

>

> Ou bien, on les faits volés sans radio alors qu'ils en sont à leurs

premiers

> vols

>

> Ou bien, ils les font décoller sans que ceux-ci soient capable de faire de

> simples gonflages dos à la voile, qui se lance dans leur sellette alors

> qu'ils ont le cul à trois pieds de la rampe de bois.

>

> Ou bien, faire décoller un novice en plein après-midi pour enfin réalisé

que

> le petit gars ou p'tite fille n'était pas près parce qu'il ou elle est

> maintenant rendu(e)dans un bel érable.

>

> On dirait qu'il y a une loi du silence concernant les imbécilités et

> l'incompétence de certaines écoles.

>

> Ça fait longtemps que je suis sur les brakes en espérant que l'association

> rectifie le tir. Mais mes brakes boucanent, pis c'est assé.

>

> Je désire inviter les clubs de vol libre qui autorisent ces écoles sur

leurs

> sites a aller voir se qui ce passe sur leurs décollages. Il s'agit aussi

de

> votre réputation. Fafouinville est en pleine expansion, pis ça va nuire

au

> sport.

>

> La communauté est en pleine crise parce certaines écoles forment des

pilotes

> incompétents. Il y a des instructeurs qui sont formés sur la slide et

> l'association dit rien. ZZZZZZZZZ!

>

> M'a pt'être me faire haïr par certains individus, mais ça c'est pas mon

> problème.

>

> Si vous êtes incompétents, vous n'avez pas d'affaire à enseigner.

> Si c'est de sortir des pilotes le plus possible et que le cash vous

"drive",

> vous n'avez pas d'affaire à enseigner. De plus, si la personne constate

que

> vous l'avez fafouiné, elle va passé le mot croyez-moi.

> AND THAT'S NOT GOOD FOR BUSINESS!!

>

> Si les élèves ne sont pas capables de décoller droit sur la "plate", c'est

> parce qu'ils n'ont pas d'affaire là et les instructeurs non-plus. Ces

> individus devraient être sur la pente école afin de maîtriser leurs ailes.

> THAT's IT THAT'S ALL!!

>

> De plus, ça vous évite de passer pour une bande d'idiots devant les autres

> parce que votre école est une vraie JOKE! Pis devinez quoi? Vous êtes le

> chef des clowns.

>

> La différence entre une bonne école et une mauvaise se voit immédiatement

> par la qualité de ses pilotes.

>

> Oui,mais les gens de l'association sont bénévoles. SO WHAT! Quant on

> s'engage dans quelque chose on prend le mandat et on le fait bien.

>

> Cette situation perdure depuis plusieurs années, la communauté travail

pour

> légitimisé le sport en communiquant avec les organismes gouvernementaux et

> se donne la présomption de s'autoréglementé.

>

> C'est une belle association, elle promouvoit le vol libre mais elle ne

> s'assure aucunement de la qualité de la formation. Nous avons longtemps

> insisté pour donner des cours d'instructeurs qui ont de l'allure. Mais le

> problème est que tout est passé à la sauvette.

>

> POURQUOI?

> Parce que l'un est le chum de l'autre.

> Parce que MOÉ chu HOT pis j'ai pas besoin d'une certification pour montré

> aux autres à voler.

> Parce que j'ai trop de monde pis ça me prend n'importe qui, n'importe quoi

> pour montrer au monde à flyer.

> Parce que lui y'a 80 000heures de vol, pis il parle bien, pis y'a un beau

> sourire, fake on va y donner son senior.

>

> Je crois qu'il est grand temps de réviser les PARCE QUE afin d'avoir une

> association qui se respecte. Je fais parti de cette association et je ne

me

> vois pas faire partie de la chambre de clownerie.

>

> Cette association n'est pas un club social où il faut faire attention à ce

> que l'on dit pour ne pas froiser notre incompétent de chum. Même si c'est

> notre chum, il est du devoir de l'association d'intervenir dans ce type

de

> matière. Elle doit faire abstraction de nos belles relations amicales.

>

> Ce qui est drôle dans tout celà, c'est qu'une fois certifié l'instructeur

à

> le droit de rentrer une nombre illimité de pilotes débutants dans la

> planète. Imaginez-vous ses pauvres débutants écumant de la bouche et

> totalement inconscient ayant un numéro de victime se lancer dans le trou.

> AYOYE!

>

> Je crois que l'association devrait au moins mettre des barêmes ou des

quotas

> sur ce qu'un instructeur à le droit de faire crasher dans la planète.( Ex:

3

> élèves par année. Sinon on ferme l'école). Bonne idée NON?!

>

> Celà laissera à l'instructeur le plaisir de planter tout au plus trois

petit

> bonhomme/an.

> AH! pauvre petit bonhommes numéro 1, 2, 3. Hé! THAT'S LIFE

> VOUS ALLEZ ME DIRE T'ES FOU!!!!!

> Ben quoi! Vous pensez pas que le propriétaire de l'école qui en plante dix

> ne l'ai pas!???

>

> Sur ce, je vous laisse sur cette réflexion

>

> Pis MOÉ m'a allé SuRfer un RoTOr!

>

> Aurevoir.

> P.S. Je suis à Mont-St-Pierre le 1/08/2000

>

> Alexandre Arapoglou

> from The Death Angel Pirates of the Sky is the Limit of Charlevoix

>

> >From: robertbernier <robertb@MLINK.NET>

> >Reply-To: Vol libre au Quebec <VOL-LIBRE@LISTES.ULAVAL.CA>

> >To: VOL-LIBRE@LISTES.ULAVAL.CA

> >Subject: Nouvelle photos

> >Date: Mon, 24 Jul 2000 20:39:33 -0400

> >

> >J'ai de nouvelles photos prises hier.

> >

> >Bon vol!

> >

> >

> >http://geocities.datacellar.net/robertbernier_ca/

> >

> >

> >

> >Robert Bernier

>

> ________________________________________________________________________

>

>


Date: 04 août 2000

De: Claude Montpetit (56)

Sujet: Une association qui dort au gaz,the shit is going to hit the (8)

René,

Je comprend très bien que tu aies à te défendre des propos enflammés

d'Alexandre. Mais je ne crois pas que tu aies à t'attaquer à une autre gang

de pilotes pour autant. Étant un informaticien à temps plein au dessus de 35

ans, s'étant branché, ayant tombé dans le trou au décollage Sud, ayant

surement un jour tourné dans le mauvais sens, je me sens maintenant impliqué

dans un débat qui pourrait s'éterniser. Je sais que tu mentionnes souvent à

qui veut bien l'entendre que les pilotes "étrangers" (extrait de ton email)

sont bien bons et mieux formés côté théorique que nous, les pilotes du tiers

monde Québecois. Mais c'est pour ça que nous avons des instructeurs comme

vous qui veulent sans arrêt améliorer la qualité de l'enseignement.

Je m'éloigne de mon point: STP, ne transporte pas le débat en tentant de

transférer la responsabilité de tout ça sur tous les autres pilotes.

Claude


Date: 04 août 2000

De: Jerome Daoust (230)

Sujet: Une association qui dort au gaz,the shit is going to hit

Salut René,

Quand j'ai commence en 1989, j'etais au top de ma forme je l'admet.

Je pouvais changer de chaine TV au rythme de 2 a la seconde tout en

capturant l'essentiel pour optimiser la meilleure chaine a regarder.

Maintenant je ne suis que l'ombre de ce que j'etais a l'epoque.

Des reflexes ? Tu parles ! Mon seuil de tolerance a un commercial (pub)

etait tres faible et le changement de chaine etait presque instantane.

Cote emotionel, j'etais capable de supporter les films d'horreur jusqu'a

des film d'amour comme "Love Story" sans avoir l'oeil humide.

C'etait les bons jours,

Jerome

Azur Parapente wrote:

>

>

>

> Autre chose que je remarque depuis quelques années. Au début du parapente

> les pilotes avaient pratiquement tous un passé de sportif ( gens de

> montagne, parachutistes.). Certaines aptitudes physique et réflexes

> proprioceptifs propres aux sportifs n'étaient pas à apprendre pendant la

> phase d'apprentissage. De plus ces gens avaient l'habitudes de faire face à

> des situation qui demandent des réactions vives et juste simplement parce qu

> 'ils avaient l'habitude de dealer avec le coté émotionnel d'une situation

> sportive.

>

>

>

> René Marion


Date: 04 août 2000

De: Jerome Daoust (230)

Sujet: Finesse-sol a 20 km/h

Je prevois prendre le prochain pas dans ma list de chose a faire :

http://www.mindspring.com/~sylvie_jerome/Jerome/PG/Perf/AboutProject_French.htm

et calculer le finesse-sol quand sujet a un vent de face de 20 km/h

comme un facteur additionel pour determiner la note de performance d'une aile.

Pour plus d'info il y a la revue Vol Libre de Janvier 95 qui discute de

l'avantage de ce parametre.

Quelqu'un peut-il me dire commen etablir l'equation de la polaire entre le

point de taux de chute minimum et la vitesse max mesuree (je ne suis pas interesse

par la portion plus lente que le taux de chute mini) a partir de :

- Vitesse horizontale et taux de chute, pour le taux de chute minimum.

- Vitesse horizontale et taux de chute, pour la vitesse max mesuree.

sachant que pour le point de taux de chute mini, le derivee de la courbe est null,

et considerant une forme typique, je crois que l'on peut determiner une equation

de polaire correspondante (au dela du Tc mini).

Une fois l'equation de la polaire calulee, le reste me sera facile.

Prends-toi un bon thermique ce weekend,

Jerome Daoust


Date: 04 août 2000

De: Jerome Daoust (230)

Sujet: Finesse-sol avec un vent de face de 20 km/h

Je crois avoir trouve une solution:

http://www.mindspring.com/~sylvie_jerome/Jerome/PG/Perf/Definition_French.htm#Polar_Curve

Tu peux verifier par toi-meme la validite en utilisant le chiffrier Excel dans ce message :

http://ww3.web-partners.com/forums/Thread.cfm?CFApp=3&Thread_ID86&Polar%5Fequation#Message5268

Jerome


Front de Libération aérienne du Québec
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