LES VACCINS :
PROTECTION OU ILLUSION?


LES VACCINS: PROTECTION OU ILLUSION?
Marjolaine Jolicoeur, AHIMSA , Ste-Rita -
(1996, revu et corrigé , avril 2001)
La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle, la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous les maux.

Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur l’humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d’autos...

Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes nous taxe le plus souvent d’irresponsables, de mal renseignés ou d’un manque de civisme (un médecin m’a déjà dit que mon fils non vacciné était une menace pour les autres enfants) Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et sociale. On prophétise à intervalles réguliers une épidémie de rougeole ou de méningite et les écoles se transforment en "piqueries"

Avant de partir pour l’étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de sept vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire avant même de partir en vacances.

Le succès , auprès du public, d’un livre comme La mafia médicale, de Guylaine Lanctôt, plonge certains médecins dans une crise d’hystérie, proche de la transe fanatique. On s’étonne presque que des bûchers ne soient pas encore prêts pour tous ces hérétiques qui osent remettre en question la validité des vaccins.

L’histoire se répète , puisque au début des années 70, le Dr. Paul-Emile Chevrefils, fut radié des cadres de sa profession par le Collège des médecins suite è son opposition aux vaccins. Il n’hésitait pas èa dire en 1965: "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".

Depuis 1885, année où on appliqua à l’humain le premier vaccin vivant atténué contre la rage, nombre de médecins et de chercheurs s’opposèrent à cette pratique. A la fin du XIXe siècle, la "Ligue universelle des antivaccineurs" dénonça avec force les théories de Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc) sont entièrement responsable de la presque majorité des affections de l’humain et des animaux.

Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques.

Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l’aide des multinationales pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la "guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical: l’agent, l’ennemi, l’identification de l’agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive. Notre corps est un immense champ de bataille.

Avec sa vision mécaniste de l’humain, la médecine guerrière a provoqué une augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites, l’asthme, l’herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus aux antibiotiques et les scientifiques, depuis les vingt dernières années, ont été confronté à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d’hépatite ainsi que des virus entraînant la leucémie et d’autres virus hémorragiques du type Ebola ont font leur apparition.

René Dubos dans son livre Mirage of Health remarque à juste titre: " Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d’infortunées victimes chaque année. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies. Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose."

On peut refuser les vaccins pour d’évidentes raisons de santé mais aussi pour des raisons philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l’expérimentation animale.

Après avoir été confrontée à la vaccination en tant que mère et voyageuse, suite à mes lectures de nombreux livres et rapports de différents points de vue, je ne vois aucun avantage réel aux vaccination x et je les refuse pour toutes les raisons évoquées. Nous avons tous la capacité et la responsabilité de se poser des questions sur les vaccins. Nous n’avons pas à remettre à d’autres notre pouvoir. La santé de notre corps et celles de nos enfants nous appartient, totalement.

IMMUNITÉ ARTIFICIELLE: RÉALITÉ OU ILLUSION?

La vaccination (ou l’immunisation, selon les termes de la médecine officielle ) est basée sur le concept que l’inoculation de bactéries. De fragments de capsules bactériennes, de toxines bactériennes, de virus ou de fragments de virus, permet de procurer au corps humain les moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu’elle ne survienne. Il s’agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène (le vaccin) qui s’exprime par la production d’anticorps (une protéine) spécifiques.

Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d’examens après les vaccins pour trouver les titrages d’anti-corps. Pour pallier ces variations immunitaires, on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois comme ce fut le cas pour la rougeole au Québec, au printemps 1996.

Avant la vaccination, on ne s’informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes peuvent survenir:" Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité variable" (Dr. Kalmar)

Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace d’épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné. Chaque automne, au Canada, 4 millions d’individus se font vacciner contre la grippe, en très grande majorité des personnes âgées , parfois de peu de résistance.

Après la vaccination, si on détectait la présence d’anticorps, cela indiquerait-il vraiment une protection contre la maladie? Dans un article de l’Australian Journal of Medical Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, malgré qu’ils démontraient une production d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80%.

Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d’agents extérieurs, d’une immunisation artificielle pour bien fonctionner? Cette immunisation artificielle renforce-t-elle notre système immunitaire? Des substances associées à la maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé?

Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymptatique, leur donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc totalement nos systèmes de défense naturelle.

Pour la médecine, c’est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu’il doit être vacciné. Mais ce bébé n’est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes des vaccins justement parce que son système immunitaire est en formation? H. Buttram et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme: " Les vaccination en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire"

Même son de cloche chez le professeur Pariente: "Stimuler sans cesse l’immunité n’est pas sans danger".

Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole l’intégrité biologique et amène l’épuisement du système immunitaire et non l’immunité. Il s’ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes microbiens plus ou moins actifs et de virus à l’état latent qui sont en équilibre entre eux et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves: des microbes jusqu’à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.

De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l’état latent dans l’organisme pendant des années et ne devenir pathogènes q qu’en présence d’un autre virus, d’un agent physique ou chimique ou tout simplement d’une déficience des défenses immunitaires. En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque là ne provoquaient que des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En 1974,le professeur Bastin déclarait que le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir pathogène des adénovirus.

POUR METTRE EN MARCHE CES MÉTHODES DE PROTECTION CONTRE LA NATURE, ON FAIT APPEL À QUOI AU JUSTE?

Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par exemple, celui pour la coqueluche provenait à l’origine, du mucus de la gorge d’enfants atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des stabilisateurs et des agents de conservation. D’autres additifs: de la gélatine hydrolysée è titre d'agent stabilisant, du phosphate d’aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.

Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur .( En 2001, on retrouve du mercure dans les vaccins contre la méningite, l'hépatite B et la grippe ). S'élimine difficilement de l'organisme. Dans un étude publiée en 1979, dans le British Medical Journal, 26 patients reçurent un sérum d’immunoglobulines contenant du thimerosal. 19 d’entre eux (soit 73%) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des analyses d’urines. (Le mercure, un métal toxique, s’accumule dans le cerveau et peut causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour atteindre le cerveau du foetus et contamine les nourrissons par le lait maternel).

L’aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.

Le formalin (solution contenant 37% de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins antipoliomyélitique, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos)

La toxicité du formaldéhyde, du thimerosal et de l’aluminium est reconnue et dûment prouvée par nombre d’études scientifiques.

Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de laboratoire, ce qui n’est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un bébé de petite taille ou même pour un adulte.

En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer.

FINIES LES ÉPIDÉMIES GRÂCE AUX VACCINS?

Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique tend à démontrer que la baisse de l’incidence des maladies est due à l’introduction des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole.

La peste, qui faisait des millions de morts autrefois n’existe presque plus et ce, sans qu’un vaccin n’y soit pour quelque chose.

La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.

Nombre de graphiques démontrent à l’évidence que le nombre de décès causés par les maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne deviennent disponibles.

Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut social plus valorisant, etc.

Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions du gros bon sens pour mettre de l’avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu’au Mali, là où les vaccins sont pratiquement inexistants, un nouveau-né à seulement une chance sur cinq de se rendre à cinq ans. En Afrique, la rougeole tue deux enfants sur cinq au même âge.

Mais ces enfants ne meurent-ils pas plutôt a cause des conditions de vie difficiles que les vaccins ne peuvent améliorer ?

Dans les années 80, l’objectif conjoint de l’Unicef et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) était qu’en 1990, tous les enfants du monde soient vaccinés contre ces 6 maladies: rougeole, poliomyélite, diphtérie, tétanos, coqueluche et tuberculose. Pourtant, des enfants affamés ou mal nourris supportent mal les vaccinations . L’objectif de ces organismes devrait plutôt être de l’eau potable et une alimentation équilibrée pour tous les enfants. Voilà un objectif plus humanitaire pour sauver ces 15 millions d’enfants de moins de cinq ans qui meurent chaque année sur notre planète. Notons que 4 millions d’entre eux meurent à cause de la diarrhée. Il est vrai que ces mesures ne rapporteraient pas grand profit aux compagnies pharmaceutiques.

D’AUTRES MALADIES EN VUE?

La vaccination ne protège pas et, fait encore plus terrible, elle donne la maladie qu’elle est supposée enrayer.

En Angleterre , en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5% de toutes la population avait été vaccinée. L’année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de variole de toute son histoire, ce qui tua 44,840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9,000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque l’un des plus vacciné du monde. En Allemagne, dans les années 1870-71, 100,000 personnes eurent la variole, dont 120, 000 succombèrent à la maladie. 96% d’entre elles avaient été vaccinées.

En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi ceux qui ne l’étaient pas. Dans on livre The Vaccination Superstition, le Dr. J.W. Hodge note: "Après une soigneuse considération de l’histoire de la vaccination ramassée à même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d’une expérience à partir du fait d’avoir vacciné 3 000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation loigque avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées."

Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole avait été vaccinés.

Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande majorité vaccinées.

En 1987, à l’Université d’Alberta, une épidémie d’oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98%.

Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58% des enfants avaient été vaccinés.

D.M. Johnson dans le Journal of the American Medical Association (1969) rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés.

En 1941, la majorité des enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n’empêcha pas les cas de diphtérie de tripler en 1943.

Les docteur Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé de l’Ecosse le fait que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d’entre eux.

Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s’avéra plus qu’inefficace: il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le groupe placebo.

DES EFFETS SECONDAIRES ?

A court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièevre, urticaire, gonflement des ganglions, oedèmes, troubles gastro-intertinaux, apparaissent suite à l’injection du vaccin.

Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins, vraiment le moindre mal?

Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos) , on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d’inflammation du cerveau.

Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan publiée en 1984 dans le Journal of the American Medical Association, sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16,038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT.

(Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir après la vaccination même en l’absence de réactions extrêmes)
A long terme, les vaccins , en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes.

G. Dettman dans l’Australian Nurses Journal (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoîde, la leucémie, le diabètew et la sclérose en plaques"

Un article dans le British Medical Journal (1967) par Miller abonde dans le même sens:"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose".

R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du sytème immunitaire et causer: "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".

Le pédiatre Mendelsohn m.d a raison de se demander : "Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie?"

LIÉS À L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE?

Les vaccins découlent directement de l’expérimentation animale , puisqu’en plus de contenir des sous-produits de l’abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes , par exemple, souffrent pour l’élaboration des vaccins contre le Sida et l’hépatite.

Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l’encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l’hépatite A baignent dans le serum bovin.

Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L’embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d’incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l’embryon. On laisse le virus se multiplier à l’intérieur de l’oeuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l’embryon ou l’embryon lui-même est traité vec différents produits chimiques. Cette macé.ration permet selon les fabricants de "digérer l’embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opértion permettant de ne conserver que le virus.

Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d’incubation et on peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. De l’élevage intensif dans toute son horreur. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 oeufs par semaines.

Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l’asepsie des cellules animales servant à la culture vacinale.

Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu’à 1962.

Dans la revue américaine Science (1972) le dr. Leonar Hayflick, professeur de microbiologie à l’Université de Stanford en Californie, déclarait: " Un nombre important de reins de singes (25 à 80&) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d’une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux Etats-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu’on a trouvés dans des vaccins antipolio produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses".

Le 11 mai 1987 le London Times rapportait des informations concernant un représentant de l’OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l’origine et la prolifération du virus du Sida provenait du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l’OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands: " Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l’émergence du sida et d’autres maladies"

Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d’autres vaccins contenant du sérum de boeuf/vache peuvent être l’hôte du " virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l’humain. Ce virus est semblable au VIH humain.

Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. (Le département américain de l’Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60% du bétail américain)

L’antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d’une espèce, inoffensif pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés è une espèce différente, comme l’espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante: "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l’espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes".

Bien sûr, il s’agit ici de virus connus mais il en existe une multitude qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.

En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs été malades sans qu’on puisse identifier le virus responsable.

RAISONS PHILOSOPHIQUES? RELIGIEUSES? ÉCOLOGIQUES?

Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses.

Dans les années 80, des groupes opposés è l’avortement voulaient mettre fin à l’usage d’un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un foetus obtenu lors d’un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un foetus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte -paroles de ces divers groupes trouvèrent l’usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu’au Canada, c’était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.

En Inde, on vaccine massivement des disciples de l’hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes ou contenant du serum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignorent probablement le fait et se soumettent à la technologie de l’Occident, une autre forme de colonialisme.

Les vaccins perturbent l’écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète.

Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l’élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l’intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.

Après une campagne de vaccination contre la poliomyélite au Costa Rica en 1959, les mouches véhiculaient du virus vaccinal.

Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés!!

Il peut aussi y avoir le danger qu’un virus s’échappe du lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l’Université de Birmingham est morte après la "fuite" d’un virus porteur de la variole.

EN CONCLUSION

Le respect de maladies le plus sovent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d’elles-mêmes.

Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation végétarienne et biologique , une bonne hygiène de vie, etc. - et non l’agresser avec des produits chimiques, des virus d’animaux malades , des substances toxiques et des débris d’abattoir.

En matière de microbiologie, il arrive que ce qu’on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l’on tient pour inactifs peuvent se réactiver.

Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus le l’herpès, de la poliomyélite et de la rage.

En 1937, le Canadian Medical Association Journal, décrivait cette expérience: on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l’intensité, le nombre et la durée des symptômes".

On retrouve dans la littérature médicale d’autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre thypoïde et la dysentrie

Au Québec, AUCUN vaccin n’est obligatoire.

Tout individu peut refuser un vaccin et l’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte québécoise et à l’article 7 de la Charte canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une "épidémie" de rougeole, le parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite "épidémie".

Ancun vaccin n’est obligatoire pour voyager à l’étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays (d’Afrique ou d’Amérique du sud) peuvent demander si vous venez d’une zone d’endémie.

Quelques faits sur les vaccins

En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse.

Dans les années 50, aux Etats-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite , les cas de cette maladie augmentèrent de 300% dans les états qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53% avant même l’introduction des vaccinations de masse.

En 1992 , en Grande-Bretagne ,deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité, la paralysie et des troubles de la vision.

En 1995, selon une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, la vaccination contre la rougeole pourait jouer un rôle dans la survenue de maladies inflammatoires des intestins comme la maladie de Croh. Le risque de maladie de Crohn est 3 fois supérieur parmi les vaccinés et 2 fois supérieur pour la rectocolite hémorragique, selon un groupe témoin.

Le New England Journal of Medecine (1987) dans un article de Tracy Gustafson, écrit qu’entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se déclarèrent aux Etats-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des anticorps contre la maladie

Dans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (Etats-Unis) en 1985, 99% des enfants atteints avaient été vaccinés; 12% d’entre eux avaient même reçu un 2e rappel.

Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l’Hôpital de Vancouver a découvert que 30% des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d’arthrite allant de jointures endolories jusqu’à un handicap sévère, deux ou quatre semaines suivant la vaccination .

En 197l, à Casper, Wyoming (Etats-Unis) une épidémie de rubéole éclata un an après que 83% des enfants en âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie.

A Birmingham , en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu’un groupe similaire non vacciné.

Pour diagnostiquer la tuberculose, on a recours au "test cutané à la tuberculine" (cuti-réaction) . Selon le Dr. J. Pilette, ce test peut déclencher des réactions allergiques, de l’asthme, des atteintes oculaires, de la cécité et même le décès, ainsi que des tuberculoses nouvelles ou réactives (surtout en période de croissance ou en cas de tests répétés) .

Un nombre impressionnant d’articles publiés dans des revues scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l’hépatite B: nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vison, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas d’arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d’asthme et même des décès.

Le vaccin contre le méningocoque groupe A,CY et W-113 (méningite) combinés comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises, frissons et fièvre. Celui de l’Haemophilus influenzae (type B/Hib) peut induire des crises convulsives, douleurs au point d’injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures. Une étude réalisée au Minnesota (Etats-Unis) démontre le que le H.I.B augmente les risques de développer une méningite.

CE QU’ILS ONT DIT SUR LA VACCINATION....

"Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même."
Dr. William Frosehaver

"C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui"
Dr. Moskowitz

"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite... Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux Etats-Unis et dans d’autres pays... Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie... Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts".
Dr. Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)

"Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaque, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer."
Professeur R. Simpson, de l’American Cancer Society

"La rubéole est une maladie bénigne qui ne requiert aucun traitement médical. Le traitement consiste en repos et en absorption de liquide"..."Les oreillons ne requièrent pas de traitement médical: du repos, une diète légère, beaucoup de boisson et des compresses glacées pour diminuer le gonflement. Les cas d’orchite (atteinte du testicule causant la stérilité) sont extrêmement rares"..."Votre enfant a , aujourd’hui, à peu près autant de chance d’attraper la diphtérie que d’être mordu par un cobra".
Robert Mendelsohn m.d-pédiatre

"Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population"
Medical Journal of Australia (1978)

"L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés"
Center for Control Diseases (1977)

"C’est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations".
Dr. Bernard Rimland, directeur et fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego

"Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers n’ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres"
Philip Incao, médecin

"Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même."
Dr. Anthony Morris - anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis.

"J’appelle ça de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité"
Nicholas Regush, journaliste médical

"La présence d’un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante... Les enfants en bas de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie"
Jane Orient, médecin, directrice de L’Assocaiton des Médecins américains et des chirurgiens

"Les parents d’enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques immédiatement après l’inoculation avec le RRO (Rougeole, rubéole, oreillons) et le DCaT (Diphtérie, Coqueluche1acellulaire et tétanos)
Dr. Vijendra Singh, professeur d’immunologie

En 1992, une étude publiée dans The American Journal of Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné.

Une étude préliminaire du Center for Disease Control, Etats-Unis, sur le vaccin HIB(Haemophilus influenzae type b/hip) indique qu’un enfant vacciné peut 5 fois plus contracter la maladie qu’un enfant n’ayant pas reçu le vaccin.

Le New England Journal of Medecine (juillet 1994) a publié une recherche concluant que 80% des enfants en bas de 5 ans qui avaient contracté la coqueluche étaient pourtant vaccinés contre la maladie)

Au Japon, après l’introduction en 1994 d’un vaccin RRO (rougeole, rubéole, oreillons) on a vu s’accroître dans les mois suivants, une augmentation dramatique de cas de méningites chez les enfants vaccinés. Le même phénomène s’est répété en France et en Grande Bretagne. Le vaccin en cause serait celui de la rougeole.


Voir aussi: Mythes et Réalités sur les vaccins

Source: photos

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