Maxime fut étreint aux alentours des années 1860 par un descendant de Jean le Truand. C'était l'époque des débats socialistes entre français et allemands, et Maxime est resté marqué par cette période, imprégné par les idées utopiques des mortels.
Maxime est un grand ami de Villon. Les deux discutent souvent entre eux de l'avenir de l'humanité durant les receptions organisées au Louvre - de préférence avec une ravissante mortelle pour leur servir de calice. Maxime est connu de tous pour son calme exemplaire, et peu de vampires à Paris peuvent avouer l'avoir déjà vu entrer en frénésie. Cependant, il a gardé beaucoup de ses anciennes convictions socialistes, et ressemble plus aux vieux zélotes Brujah du moyen-âge qu'aux jeunes étreints tout récemment.
On voit souvent Maxime dans le cinquième arrondissement, occupé à discuter avec des étudiants mortels assez extrémistes dans leurs convictions. Maxime est un type assez séduisant, mais il reste un Brujah, même s'il a depuis longtemps délaissé les blousons de cuir et les chaines pour des vêtements plus fonctionnels - après tout, il vit à Paris, et même les Nosferatus sentent l'aura de beauté qui irradie la ville.
Ce que l'on sait sur lui...
Maxime est toujours calme et pondéré. On dit qu'il a une volonté de fer. Certains prétendent l'avoir vu affronter la lumière de soleil sans sombrer dans la frénésie.
Maxime déteste les communistes. Il est connu pour s'être écrié lors de la chute du mur de Berlin : "Karl Marx, espèce d'enfant de salaud, tu est enfin mort !".
Ce que l'on dit sur lui...
Bien que Maxime aie l'air d'être un vampire tout à fait respectable, on murmure qu'il y aurait une raison obscure à sa volonté surnaturelle.
Certains pensent que Maxime domine beaucoup d'étudiants des différents campus du Vème arrondissement, et qu'il serait pour beaucoup dans toutes les manifestations étudiantes des 100 dernières années... Cependant, nul ne sait s'il agit ainsi pour ses propres interêts, ou s'il est toujours aussi impliqué dans le destin des mortels.
