C'est une journée
très spéciale pour moi aujourd'hui
parce que je sors magasiner avec ma
Maîtresse. Elle s'appelle Liz et je vous en ai parlé
dans une autre aventure (voir
). Je porte ma nouvelle jupe
grise fleurie et une blouse unie qui va
bien avec ma jupe. Tous mes
sous-vêtements sont blancs sauf mon
corset très serré qui est noir. Tel que
convenu avec ma Maîtresse, mes petites
culottes sont restées dans leur tiroir.
Mes pieds me font déjà terriblement
souffrir parce que je ne peux m'habituer
à marcher sur ces chaussures de cuir
verni rouge, à talons de six pouces que
je porte depuis une heure. Il m'est
impossible de les enlever pour me reposer
parce que des courroies de cuir cadenassées m'en empêche et seule ma Maîtresse
possède la clef. Elle m'a promis de me
laisser changer de chaussures mais
seulement à la fin de l'après-midi,
immédiatement avant d'entrer dans un
magasin de chaussures désigné.
Nous sommes jeudi
après-midi et les boutiques demeurent
ouvertes jusqu'en fin de soirée. Toutes
les deux, nous avons pris congé pour
toute la journée et, dans environ
quarante-cinq minutes, il est prévu que
je rencontre ma Maîtresse à sa
résidence.
Une échelle dans
mes bas
Il y a quelques
instants, un malheureux accident m'est
arrivé. J'étais en train de mettre ma
perruque châtain clair et, à cause de
la hauteur vertigineuse de mes talons,
j'ai essayé de soulager un peu mes
jambes en m'appuyant un peu trop près de
l'armoire de la salle de bain et c'est à
ce moment que j'ai tiré un fil de mes
bas blancs.
À cause des cadenas
qui retiennent mes chaussures à mes
pieds, il m'est impossible de changer de
bas. Il ne me reste donc qu'à essayer
d'arrêter la maille avec du poli à
ongles clair et à mettre une paire de
bas de rechange dans mon sac à main. Par
chance, ma jupe est suffisamment longue
pour cacher une bonne partie de la maille
de mes bas, qui monte sans arrêt.
Je suis tellement
excitée que je ne vois pas le temps
passer. Je vais sûrement être en retard
ce qui va m'obliger à me
soumettre à une ou l'autre des punitions
préférées de ma Maîtresse. De toutes
manières, je me dois de vivre cette
expérience que je souhaite vivre depuis
longtemps et qui, j'en ai bien
l'impression, je n'oublierai pas de
sitôt.
Il est déjà
presque 2:30 de l'après-midi et je
stationne mon auto dans le stationnement
d'un centre commercial de banlieu. Avant
notre départ, ma Maîtresse m'a fait
parader, pendant dix bonnes minutes, dans
le hall d'entrée de l'édifice où elle
habite. Heureusement, il n'y avait pas
tellement de personnes présentes à
cette heure de la journée. Finallement,
ma Maîtresse me permet de changer de bas
mais je dois remettre en place mes
souliers de cuir verni rouge auxquels
elle s'empresse de réapposer les petits
cadenas qui maintiennent les courroies de cuir qui
m'empêchent d'enlever mes talons hauts.
Mes pieds me font
souffrir
Rien que le fait de
me tenir sur mes pieds me fait ressentir
des douleurs atroces. Ces chaussures ne
sont définitivement pas faites pour
marcher.
Au centre
commercial, nous nous déplaçons d'une
boutique à l'autre en jetant un coup
d'oeil aux vêtements en montre et aux
nombreux magasins de chaussures. De temps
en temps, des miroirs ici et là
réfléchissent la silhouette d'une
femme, dépassant les six pieds (merci
aux talons de six pouces), avec plus de
"sex-appeal" que j'aurais pu
l'imaginer. Malgré mes
difficultés à marcher, les cadenas à mes pieds et la hauteur de mes
talons, rien de mémorable ne survient
pendant notre visite au centre
commercial. Évidemment, je ne passe pas
inaperçue et je dois admettre que cela
me procure de merveilleux frissons qui
compensent presque pour les douleurs
ressenties à mes pieds.
Il est presque
quatre heures de l'après-midi et nous nous
appêtons à nous rendre au magasin de
chaussures que ma Maîtresse a planifié
visiter. Depuis notre arrivée au centre
commercial, chaque fois que j'ai proposé
de prendre quelques minutes pour nous
assoir et prendre un café, elle a
décliné mon offre prétextant que nous
n'avons pas le temps vu que je suis
passée en retard pour la prendre chez
elle. Et, toutes mes supplications
sont restées lettre morte.
Nous nous apprêtons
maintenant à stationner mon auto en face
d'un immense magasin de chaussures,
situé dans la partie nord de la ville.
Il a l'air d'un entrepôt mais vous
devriez voir l'incroyable variété de
chaussures et de bottes qui y sont en
montre.
Ma Maîtresse me
libère des cadenas qui m'empêchent
d'enlever mes chaussures
Ma Maîtresse me
libère des cadenas qui retiennent les
courroies de cuir qui m'empêchent d'enlever mes talons aiguilles. Mais elle ne me permet pas
d'en mettre d'autres ayant des talons
moins hauts prétextant que je ne me suis
pas comportée comme une fille
obéissante, au cours de l'après-midi.
Lorsque nous faisons notre entrée dans
le magasin, les seules personnes en vue
sont des hommes susceptibles d'être des
commis.
Je m'assois sur la
première chaise disponible afin de
procurer un peu de repos à mes pieds
mais cela ne dure pas très longtemps
parce ma Maîtresse me lance un regard
dont seule elle a le secret et je me
remet immédiatement sur mes pieds pour
commencer à faire le tour des allées
avec elle.
Depuis notre
arrivée dans le magasin, un commis
semble nous suivre pas-à-pas. Il a
environ trente ans et est très
séduisant. Il doit mesurer plus de six
pieds car nous sommes tous les deux à
peu près de la même grandeur.
Après vingt minutes de ce petit
jeu, ma Maîtresse choisi une belle paire de sandales
roses, affublée de nombreuses courroies, et demande au
commis s'il a en magasin la pointure dix. Lorsqu'il
commence à lui faire remarquer que cette pointure est trop grande pour
elle, elle lui fait remarquer que ces
chaussures sont pour moi.
Après avoir
fouillé dans la pile de boîtes, il en ressort avec la paire
de sandales roses et
m'offre un fauteuil. Il m'enlève mes
talons hauts, me complimente sur mon
choix de souliers et prend mon pied
gauche dans ses mains pour m'ajuster la
chaussure qu'il vient d'apporter. Quelle
merveilleuse sensation que d'avoir un
homme à mes pieds!
Après quelques
compliments additionnels sur l'apparence
de la sandale sur mon pied, il s'apprête
à me mettre l'autre soulier mais,
auparavant, une de ses mains s'aventure
presque sur ma cuisse.
Me faisant observer qu'il fait très
chaud dans le magasin, il m'offre de prendre ma veste avant
que je me dirige vers le miroir afin
d'apprécier l'effet des sandales sur mes
pieds. Ce que j'accepte immédiatement.
Le commis savait
depuis le début
Tout au long de cet
épisode avec le commis, ma Maîtresse
fait semblant de jeter un coup d'oeil aux
chaussures des autres rangées mais je me
rends bien compte qu'elle ne manque rien
de ce qui se passe.
Les sandales que je
suis en train d'essayer sont magnifiques.
Ils ont l'air très féminines. Les
courroies sont si fines. Les talons sont
si effilés. Mais il semblent plus hauts
que cinq pouces. Quoiqu'après avoir
porté des talons de six pouces pendant
tout l'après-midi, ils me semblent très
confortables.
Au moment où je me demande
si je dois les acheter, ma Maîtresse
revient avec une autre paire de
chaussures qu'elle voudrait me voir
essayer. Au moment où le commis
s'apprête à aller chercher la nouvelle
paire de chaussures, elle prévient
qu'elle va s'abscenter pour quelques
minutes afin d'aller acheter des
cigarettes au magasin de l'autre côté
de la rue.
Quelques instants
plus tard, le commis revient et, avant
même d'essayer de m'enlever les
chaussures que je porte aux pieds, il
porte ses mains à mes jambes afin de
leur donner un massage. Je me sens un peu
surprise et atterrée parce qu'à ce
moment précis nous sommes, à toutes
fins pratiques, seuls dans cette partie
du magasin.
Ce massage est quand même
très agréable et, au moment ou ses
mains atteignent le haut de mes cuisses,
très près de mon sexe, je sens une
grande excitation monter en moi. Je ne
sais vraiment pas comment réagir mais il
continue à me sourir ne semblant
nullement surpris par ce qu'il vient de
découvrir. C'est alors qu'il prend ma
main en me disant:
"J'ai su qui vous étiez dès le
moment où vous ètes entrées dans le magasin et j'en suis ravi.
Vous savez vous n'ètes pas la première
personne comme vous qui entre ici pour
essayer des chaussures. Voulez-vous me
donner votre numéro de téléphone afin
que je puisse communiquer avec vous et
tenter de nous rencontrer quelque
part?"
"Je ne peux pas
vous donner mon numéro de téléphone
mais ce serait merveilleux si je pouvais
vous voir de nouveau" que je lui ai
répondu.
Ma Maîtresse
avait tout planifié
C'est à ce moment
précis que ma Maîtresse fait son
entrée dans le magasin. Je suis
tellement excitée que je ne sais quoi
faire. Au moment où je reprend
possession de mes moyens, je la voie
sourire et, aussitôt qu'elle s'est
approchée suffisamment, elle me lance:
"T'es-tu bien
amusée? Comment aimes-tu les chaussures
que je t'ai choisi?"
A voir l'expression
sur son visage, je sais qu'elle est bien
consciente de ce qui se passe et que je
n'ai aucunement besoin de répondre à
ses questions. Alors, je me tourne vers
le commis et lui demande le prix de la
première paire de sandales que j'ai
essayé. Comme elles sont plutôt
dispendieuses, je l'informe que je vais y
réfléchir.
Avant de nous
diriger vers la sortie, il nous gratifie
de son plus beau sourire et, en retour,
j'arbore le sourire le plus chargé de
promesses dont je suis capable.
Tout au long du
trajet vers la résidence de ma
Maîtresse, je dois lui raconter tout ce
qui s'est passé entre le commis et moi,
pendant le temps où elle était allé
chercher son paquet de cigarettes. Au
début, quand elle a commencé à poser
ses questions, je me sentais un peu
apeurée mais, aussitôt que je me rends
compte qu'elle s'amuse bien à mes
dépens, je commence à relaxer et à
m'amuser moi aussi.
Comme je suis en train de
me re-mémorer tous les détails de cette
journée fantastique que j'ai vécu
aujourd'hui, mes pieds me font souffrir
terriblement mais je dois avouer que je
trouve cette souffrance délicieuse.
J'essaie de m'imaginer ce que me réserve
l'avenir. Une chose dont je suis sûre
c'est que je vais retourner à ce magasin
de chaussures très bientôt.