Le jardin secret de Michou 

Une fessée qui laisse des traces

 

Cette aventure est survenue au cours de la première année pendant laquelle je fréquentait une dominatrice amateure, rencontrée par le biais des petites annonces d'un hebdomadaire spécialisé. Je demeurais, à cette époque, qui se situe au milieu de années quatre-vingt, en appartement, sur l'île de Montréal.

À la fin d'une soirée passée à me faire humilier et à servir ma dominatrice préférée, que j'appellerai Liz, pour les fins de ce récit, cette dernière m'informe que je dois me rendre porter une enveloppe, chez une de ses relations d'affaires, qui demeure près du Forum.

C'est l'été et je suis habillée, à quelques détails près, comme la femme qui accompagne une amie pour manger dans un restaurant qui, sans être très chic, nécessite de s'habiller convenablement. Dans ce restaurant où nous nous sommes rendues, j'avais remarqué, lors d'une visite antérieure, que les hommes portent veston et cravate. Pour l'occasion, je porte donc une blouse gris pâle, une jupe fleurie descendant à mi-jambe, des bas blancs et des souliers à talons de cinq pouces (voir photo plus haut) qui, même à cette époque, attirent l'attention. Mes bas sont retenus par les jarretelles d'un corset noir que ma maîtresse affectionne particulièrement et il est si serré que ma respiration s'effectue avec difficulté.

Heureusement, Liz m'a permit de remettre la petite culotte blanche qu'elle m'avait forcé d'enlever pendant que nous étions attablées au restaurant. Lorsque nous faisons ce genre de sortie, une fois sur deux, elle me remet un petit sac de plastique transparent et m'oblige à me rendre, seule, aux toilettes des dames afin d'enlever ma culotte et de la lui rapporter dans le sac. C'est très humiliant d'effectuer une telle manoeuvre en public parce que je dois porter le petit sac dans mes mains pour le lui remettre.

Au moment de quitter l'appartement de Liz, sous prétexte qu'il se fait tard et que c'est dangereux pour une femme seule de circuler à pied sur le trottoir, Maîtresse Liz demande à un ami, venu lui rendre visite, de me raccompagner jusqu'à ma voiture.

Cet ami était arrivé, sans prévenir, pendant que j'étais attachée sur une chaise, sur le balcon, avec pour tout vêtements: corset, bas et une paire de chaussures de couleur rouge vif et affublées de talons hauts de six pouces que Liz affectionne particulièrement. Lorsqu'il est arrivé sur le balcon, l'ami en question qui, de toute évidence, n'avait pas été prévenu de ma présence, s'est retrouvé presque face à face avec moi. Quelle humiliation de me faire examinée par cet inconnu, attachée sur une chaise, au beau milieu du balcon, sans avoir la possibilité de me dissimuler. Quel spectacle je devais offrir avec un baîllon (ball gag) sur la bouche, les mains attachées par des bracelets de cuirs derrière le dossier de la chaise, les jambes bien écartées, le sexe bien en évidence et les pieds suspendus par les talons de mes souliers et reliés par des cordes fixées à mes poignets. Vous auriez dû le voir converser avec Liz en tentant de faire croire qu'il ignorait tout de ma présence. Je crois qu'il était encore plus gêné de la situation que moi.

Nous quittons donc l'appartement, l'ami et moi, sans dire un mot jusqu'à ma voiture. Au cours du trajet, dans l'ascenseur, une femme d'un certain âge nous examine des pieds à la tête, l'air intriguée et dégoûtée. Rendus à l'auto, l'ami me souhaite bonsoir et me donne un baiser sur la joue en se grimpant sur le bout des pieds afin de m'atteindre, moi qui le dépasse d'une bonne tête avec mes talons hauts.

Rendue à l'adresse indiquée sur l'enveloppe, je suis accueillie par un homme d'une quarantaine d'années qui me fait signe d'entrer. Immédiatement, je suis saisie par deux gars, assez jeunes et bien bâtis, qui m'étendent à plat ventre sur une table. Je suis saisie d'une grande frayeur mais je suis incapable de leur résister. L'homme qui m'avait acceuilli relève ma jupe, caresse mes jambes et mes fesses et se met à les frapper avec ses mains nues. La peur et la douleur me font pleurer comme un petite fille et m'empêche de me retenir suffisamment pour ne pas salir mes petites culottes. À ce moment-là, l'homme s'arrête de me frapper et communique par téléphone avec Maîtresse Liz. Le combiné est maintenu sur mon oreille pendant qu'elle m'informe que je viens d'être punie parce son ami était déçu de ne pas avoir été comblé des plaisirs qu'une petite pute comme moi aurait dû lui procurer. Elle m'informe également que si mes tortionnaires ne sont pas satisfaits de mes performances, elle s'arrangera elle-même pour que mes prochaines punitions et humiliations restent gravées dans ma mémoire.

L'homme raccroche le téléphone et fait signe aux deux autres de me mettre à genoux sur la table et de m'y maintenir. Puis, chacun, à tour de rôle, se servent de ma bouche comme d'un réceptable pour leur sperme. Finalement, à mon grand soulagement, ils me laissent partir.

J'ai pu revenir à mon appartement sans salir le siège de mon auto en utilisant un sac de plastique qui se trouvait dans le coffre arrière mais j'avais vécu une soirée d'humiliations dont je me souviens dans le détail même après toutes ces années.

Épilogue:

Parmi les autres aventures publiées sur mon site internet, vous en trouverez d'autres qui se reférent à mes rencontres avec Liz, comme: .

Cette page profite de l'hospitalité de 

Dernière mise à jour: 15 janvier 2001

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