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Date: 26 novembre 1999 De: Gilles Boulianne (20) Sujet: Radio amateur vs radio aviation (3) |
promotion de la radio bande aviation. Plusieurs
se sont demandé: "Qu'est-ce qui est le mieux pour le vol libre ?
Radio-aviation ou radio-amateur ?"
Il y a bien des années, la même question s'est posée, et la
radio-aviation a été éliminée rapidement (comme le CB).
Elle a trop d'inconvénients pour peu d'utilité:
1. La portée sol-sol est trop courte.
On ne peut pas communiquer entre l'école de Philippe et
l'atterrissage Nord, par exemple. Encore moins entre un
atterrissage de XC et la récupération!
2. Une seule fréquence.
Lors d'une bonne journée de XC à Yamaska,
on a déjà de la difficulté à placer un mot, et c'est avec
2 fréquences (3 ou 4 si on compte celles utilisées
une fois au sol pour la récupération). Imaginez si tout le
monde devait partager la même!
3. Interférences.
La bande aviation utilise le AM, beaucoup plus
sensible aux interférences que le FM utilisé en radio-amateur.
Même en FM, à cause des antennes sur la montagne, il y a des
jours où une fréquence devient inutilisable. S'il n'y en a
qu'une, on est cuit. Je me rappelle qu'à Chelan, en pleine
compétition internationale, on a partagé la fréquence aviation
de l'USHGA (l'association américaine) avec un chantier de
construction pendant une semaine!
4. Bande aviation peu utile.
A quand remonte la dernière fois où vous avez
eu besoin de communiquer "en bilatéral" avec un aérodrome ou
un Cessna ? Il ne faut pas oublier non plus que les petits
avions ne sont pas tous munis d'une radio. Et les
montgolfières utilisent les bandes amateur!
D'un autre côté, la radio-amateur n'a pas ces inconvénients, et
présente d'autres avantages plus intéressants pour le vol libre:
1. Portée sol-sol presqu'infinie.
Grâce aux nombreuses répétitrices réparties partout au Québec.
D'un appartement à Montréal, on peut jaser avec un(e) pilote à
la montagne. Ou d'un atterrissage à Orford, etc. Paraît même que
Luc Paquette parle à la Gaspésie... On peut même >>téléphoner<
2. Plein de fréquences.
En plus d'éviter la surcharge des ondes et
les interférences, ça permet aussi de capter les conditions
météo, et même les aérodromes pour ceux que ça intéresse.
3. FM.
Beaucoup moins sensible aux interférences, et la qualité
sonore bien meilleure. Facile à constater lorsqu'on écoute,
avec une radio amateur, les transmissions d'un aérodrome. En
vol libre, on n'a pas d'écouteurs anti-bruit comme en aviation.
Le bruit du vent nuit déjà assez à la compréhension, pas besoin
d'avoir la radio qui en rajoute...
4. Sécurité.
La communauté radio-amateur est très nombreuse. Il y toujours
quelqu'un à l'écoute quelque part, prêt à donner un coup de main
en cas d'urgence.
5. Internationale.
Le certificat de radio-amateur canadien est
valide dans la plupart des pays, ce qui nous permet d'utiliser
nos radios en vol libre n'importe où. Et vice-versa pour les
radio-amateurs en provenance d'autres pays. Quelqu'un posait
justement la question sur la liste.
5. Communications personnelles.
Rien ne s'oppose à ce qu'une fréquence amateur serve juste à
"jaser", échanger les impressions en vol, demander à quelle
hauteur quelqu'un est rendu, etc. C'est même la raison d'être
de la radio-amateur (en plus de pouvoir servir en cas d'urgence).
Bref, pour le vol libre, on peut faire avec une radio-amateur ce qui
prendrait à la fois une radio-avation et un téléphone cellulaire, et
plus encore. Depuis plusieurs années le groupe des pilotes qui utilisent
la radio-amateur n'arrête pas d'augmenter, et pour cause.
Je suis surpris que Jacques, fusioniste par excellence, fasse la
promotion d'une autre radio, ce qui risque de fractionner les pilotes
sur deux bandes. Pour moi en tout cas, la radio-amateur a multiplié
par dix mon plaisir de voler avec des amis... et j'encourage tous
les pilotes à passer leur licence radio-amateur. Ça vaut vraiment
la peine. Et plus on est de fous, plus on a du fun!
-------------
Gilles Boulianne, VE2 GJK - gboulian@crim.ca
Date: 26 novembre 1999 De: Gilles Boulianne (20) Sujet: Voler au quebec (8) |
Juste une petite correction:
>
> Il vous faudra débourser un montant pour chaque remontée au sommet. Ceci
> varie d?un site à l?autre, le maximum connu est de 8$ par remontée.
>
Je dirais plutôt que la plupart des sites n'ont pas de frais de
remontée,
et s'ils en ont parfois, ce n'est pas à chaque remontée.
Au Club de vol libre Yamaska, comme à bien d'autres endroits,
la tradition veut que les pilotes se remontent entre eux, sans exiger
d'argent en retour. Même si de temps en temps les traditions se
perdent...
--
Gilles Boulianne (gboulian@crim.ca)
Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM)
550, rue Sherbrooke Ouest, bureau 100
Québec, Canada H3A 1B9
Date: 26 novembre 1999 De: Robert Cossette (57) Sujet: Enfin... (2) |
Je te souhaite une brillante carrière (et surtout l'horraire flexible pour
de petits moments de liberté...)
At 13:16 1999-11-25 -0500, you wrote:
> Salut tout le monde, Il y a quelques mois, j'avais passé un
>petit message sur cette même liste pour é Eh bien, c'est
>fait, je viens d'être embauché par une compagnie
>montré Même si aucune tierce personne ne m'a aidé
>à entrer dans cette compagnie, je tiens à remercier
>énormement tous les gens qui m'ont aidé de près ou de
>loin, qui m'ont accordé de leur temps, qui m'ont donné de
>pré Merci beaucoup!!! Stéphane Grégoire.
Robert Cossette
Bureau d'études Innovec
St-Lambert, QC
tel: (450) 465 2818 Fax (450) 465 1257
Cellulaire (514) 816 2250
Date: 26 novembre 1999 De: Martin Lavertu (39) Sujet: Radio amateur vs radio aviation (3) |
Merci de remettre les pendules à l'heure. On dirait qu'il y
beaucoup plus d'avantage à utiliser la radio amateur que
la fréquence aviation.
Il faudrait trouver un moyen de facilité ou d'encourager
les pilotes à obtenir leurs licenses. C'est facile d'obtenir
la radio mais moins évident ou *motivant* d'obtenir la license.
Des suggestions?
- martin
Gilles Boulianne wrote:
>
> Dans son annonce de cours XC, Jacques Fontaine faisait la
> promotion de la radio bande aviation. Plusieurs
> se sont demandé: "Qu'est-ce qui est le mieux pour le vol libre ?
> Radio-aviation ou radio-amateur ?"
>
> Il y a bien des années, la même question s'est posée, et la
> radio-aviation a été éliminée rapidement (comme le CB).
> Elle a trop d'inconvénients pour peu d'utilité:
>
> 1. La portée sol-sol est trop courte.
> On ne peut pas communiquer entre l'école de Philippe et
> l'atterrissage Nord, par exemple. Encore moins entre un
> atterrissage de XC et la récupération!
>
> 2. Une seule fréquence.
> Lors d'une bonne journée de XC à Yamaska,
> on a déjà de la difficulté à placer un mot, et c'est avec
> 2 fréquences (3 ou 4 si on compte celles utilisées
> une fois au sol pour la récupération). Imaginez si tout le
> monde devait partager la même!
>
> 3. Interférences.
> La bande aviation utilise le AM, beaucoup plus
> sensible aux interférences que le FM utilisé en radio-amateur.
> Même en FM, à cause des antennes sur la montagne, il y a des
> jours où une fréquence devient inutilisable. S'il n'y en a
> qu'une, on est cuit. Je me rappelle qu'à Chelan, en pleine
> compétition internationale, on a partagé la fréquence aviation
> de l'USHGA (l'association américaine) avec un chantier de
> construction pendant une semaine!
>
> 4. Bande aviation peu utile.
> A quand remonte la dernière fois où vous avez
> eu besoin de communiquer "en bilatéral" avec un aérodrome ou
> un Cessna ? Il ne faut pas oublier non plus que les petits
> avions ne sont pas tous munis d'une radio. Et les
> montgolfières utilisent les bandes amateur!
>
> D'un autre côté, la radio-amateur n'a pas ces inconvénients, et
> présente d'autres avantages plus intéressants pour le vol libre:
>
> 1. Portée sol-sol presqu'infinie.
> Grâce aux nombreuses répétitrices réparties partout au Québec.
> D'un appartement à Montréal, on peut jaser avec un(e) pilote à
> la montagne. Ou d'un atterrissage à Orford, etc. Paraît même que
> Luc Paquette parle à la Gaspésie... On peut même >>téléphoner< par l'intermédiaire d'une répétitrice.
>
> 2. Plein de fréquences.
> En plus d'éviter la surcharge des ondes et
> les interférences, ça permet aussi de capter les conditions
> météo, et même les aérodromes pour ceux que ça intéresse.
>
> 3. FM.
> Beaucoup moins sensible aux interférences, et la qualité
> sonore bien meilleure. Facile à constater lorsqu'on écoute,
> avec une radio amateur, les transmissions d'un aérodrome. En
> vol libre, on n'a pas d'écouteurs anti-bruit comme en aviation.
> Le bruit du vent nuit déjà assez à la compréhension, pas besoin
> d'avoir la radio qui en rajoute...
>
> 4. Sécurité.
> La communauté radio-amateur est très nombreuse. Il y toujours
> quelqu'un à l'écoute quelque part, prêt à donner un coup de main
> en cas d'urgence.
>
> 5. Internationale.
> Le certificat de radio-amateur canadien est
> valide dans la plupart des pays, ce qui nous permet d'utiliser
> nos radios en vol libre n'importe où. Et vice-versa pour les
> radio-amateurs en provenance d'autres pays. Quelqu'un posait
> justement la question sur la liste.
>
> 5. Communications personnelles.
> Rien ne s'oppose à ce qu'une fréquence amateur serve juste à
> "jaser", échanger les impressions en vol, demander à quelle
> hauteur quelqu'un est rendu, etc. C'est même la raison d'être
> de la radio-amateur (en plus de pouvoir servir en cas d'urgence).
>
> Bref, pour le vol libre, on peut faire avec une radio-amateur ce qui
> prendrait à la fois une radio-avation et un téléphone cellulaire, et
> plus encore. Depuis plusieurs années le groupe des pilotes qui utilisent
> la radio-amateur n'arrête pas d'augmenter, et pour cause.
>
> Je suis surpris que Jacques, fusioniste par excellence, fasse la
> promotion d'une autre radio, ce qui risque de fractionner les pilotes
> sur deux bandes. Pour moi en tout cas, la radio-amateur a multiplié
> par dix mon plaisir de voler avec des amis... et j'encourage tous
> les pilotes à passer leur licence radio-amateur. Ça vaut vraiment
> la peine. Et plus on est de fous, plus on a du fun!
>
> -------------
>
> Gilles Boulianne, VE2 GJK - gboulian@crim.ca
Date: 26 novembre 1999 De: Andre F. Gallant" (122) Sujet: Radio amateur vs radio aviation (3) |
les personnes qui veulent passer leur licence se fassent connaître,
établissent une date cible pour obtenir leur licence, se procurent les
manuels, étudient, se rencontrent, se posent des questions à partir des
banques de questions, se donnent des explications, prennent une couple de
bière (pour oublier les réponses) et aient beaucoup de plaisir.
André
At 17:18 99-11-26 -0500, Martin Lavertu wrote:
>Salut Gilles,
>
>Merci de remettre les pendules à l'heure. On dirait qu'il y
>beaucoup plus d'avantage à utiliser la radio amateur que
>la fréquence aviation.
>
>Il faudrait trouver un moyen de facilité ou d'encourager
>les pilotes à obtenir leurs licenses. C'est facile d'obtenir
>la radio mais moins évident ou *motivant* d'obtenir la license.
>
>Des suggestions?
>
>- martin
>
>
>
>
>
>
>
>Gilles Boulianne wrote:
>>
>> Dans son annonce de cours XC, Jacques Fontaine faisait la
>> promotion de la radio bande aviation. Plusieurs
>> se sont demandé: "Qu'est-ce qui est le mieux pour le vol libre ?
>> Radio-aviation ou radio-amateur ?"
>>
>> Il y a bien des années, la même question s'est posée, et la
>> radio-aviation a été éliminée rapidement (comme le CB).
>> Elle a trop d'inconvénients pour peu d'utilité:
>>
>> 1. La portée sol-sol est trop courte.
>> On ne peut pas communiquer entre l'école de Philippe et
>> l'atterrissage Nord, par exemple. Encore moins entre un
>> atterrissage de XC et la récupération!
>>
>> 2. Une seule fréquence.
>> Lors d'une bonne journée de XC à Yamaska,
>> on a déjà de la difficulté à placer un mot, et c'est avec
>> 2 fréquences (3 ou 4 si on compte celles utilisées
>> une fois au sol pour la récupération). Imaginez si tout le
>> monde devait partager la même!
>>
>> 3. Interférences.
>> La bande aviation utilise le AM, beaucoup plus
>> sensible aux interférences que le FM utilisé en radio-amateur.
>> Même en FM, à cause des antennes sur la montagne, il y a des
>> jours où une fréquence devient inutilisable. S'il n'y en a
>> qu'une, on est cuit. Je me rappelle qu'à Chelan, en pleine
>> compétition internationale, on a partagé la fréquence aviation
>> de l'USHGA (l'association américaine) avec un chantier de
>> construction pendant une semaine!
>>
>> 4. Bande aviation peu utile.
>> A quand remonte la dernière fois où vous avez
>> eu besoin de communiquer "en bilatéral" avec un aérodrome ou
>> un Cessna ? Il ne faut pas oublier non plus que les petits
>> avions ne sont pas tous munis d'une radio. Et les
>> montgolfières utilisent les bandes amateur!
>>
>> D'un autre côté, la radio-amateur n'a pas ces inconvénients, et
>> présente d'autres avantages plus intéressants pour le vol libre:
>>
>> 1. Portée sol-sol presqu'infinie.
>> Grâce aux nombreuses répétitrices réparties partout au Québec.
>> D'un appartement à Montréal, on peut jaser avec un(e) pilote à
>> la montagne. Ou d'un atterrissage à Orford, etc. Paraît même que
>> Luc Paquette parle à la Gaspésie... On peut même >>téléphoner<> par l'intermédiaire d'une répétitrice.
>>
>> 2. Plein de fréquences.
>> En plus d'éviter la surcharge des ondes et
>> les interférences, ça permet aussi de capter les conditions
>> météo, et même les aérodromes pour ceux que ça intéresse.
>>
>> 3. FM.
>> Beaucoup moins sensible aux interférences, et la qualité
>> sonore bien meilleure. Facile à constater lorsqu'on écoute,
>> avec une radio amateur, les transmissions d'un aérodrome. En
>> vol libre, on n'a pas d'écouteurs anti-bruit comme en aviation.
>> Le bruit du vent nuit déjà assez à la compréhension, pas besoin
>> d'avoir la radio qui en rajoute...
>>
>> 4. Sécurité.
>> La communauté radio-amateur est très nombreuse. Il y toujours
>> quelqu'un à l'écoute quelque part, prêt à donner un coup de main
>> en cas d'urgence.
>>
>> 5. Internationale.
>> Le certificat de radio-amateur canadien est
>> valide dans la plupart des pays, ce qui nous permet d'utiliser
>> nos radios en vol libre n'importe où. Et vice-versa pour les
>> radio-amateurs en provenance d'autres pays. Quelqu'un posait
>> justement la question sur la liste.
>>
>> 5. Communications personnelles.
>> Rien ne s'oppose à ce qu'une fréquence amateur serve juste à
>> "jaser", échanger les impressions en vol, demander à quelle
>> hauteur quelqu'un est rendu, etc. C'est même la raison d'être
>> de la radio-amateur (en plus de pouvoir servir en cas d'urgence).
>>
>> Bref, pour le vol libre, on peut faire avec une radio-amateur ce qui
>> prendrait à la fois une radio-avation et un téléphone cellulaire, et
>> plus encore. Depuis plusieurs années le groupe des pilotes qui utilisent
>> la radio-amateur n'arrête pas d'augmenter, et pour cause.
>>
>> Je suis surpris que Jacques, fusioniste par excellence, fasse la
>> promotion d'une autre radio, ce qui risque de fractionner les pilotes
>> sur deux bandes. Pour moi en tout cas, la radio-amateur a multiplié
>> par dix mon plaisir de voler avec des amis... et j'encourage tous
>> les pilotes à passer leur licence radio-amateur. Ça vaut vraiment
>> la peine. Et plus on est de fous, plus on a du fun!
>>
>> -------------
>>
>> Gilles Boulianne, VE2 GJK - gboulian@crim.ca
>
>
Date: 26 novembre 1999 De: Jacques Fontaine (67) Sujet: Radio amateur vs radio aviation] |
--------------A858C661400E448FAC398044
Type: text/plain; charset=iso-8859-1
Content-Transfer-Encoding: quoted-printable
> Excellent exposé de Gilles Boulianne. Remarquez que je ne faisait pas=
la "
> promotion" d'un radio plus qu'une autre. L'idée qu'on aurait été =
mieux servi
> par les fréquences aviation m'était venue suite à plusieurs dis=
cussions
> tenues avec d'autres pilotes d'avions qui m'avait permis de les infor=
mer que
> les ailes libres peuvent monter donc que la zone d'entraînement avia=
tion de
> St-Hubert qui se trouve entre Rougemont et Yamaska pouvait présenter=
un
> risque d'abordage non négligeable. De là l'idée qu'il aurait ét=
é très
> souhaitable de pouvoir communiquer entre aéronefs pour signaler nos p=
résences
> respectives en vol . J'en parlais avec l'ex président ( 1998 ) de
> l'association des pilotes de brousse du Québec qui m'as avoué qu'il=
n'avait
> aucune idée à quel point nous pouvions monter haut et aller loin.
> Précision sur le #4. Sécurité. de Gilles:
> La communauté radio-amateur est très nombreuse. Il y toujours
> quelqu'un à l'écoute quelque part, prêt à donner un coup de=
main
> en cas d'urgence.
> C'est aussi le cas en radio aviation. Transport Canada garde l'écout=
e 24h/24
> sur le territoire Canadien.
>
> et j'encourage tous les pilotes à passer leur licence radio-amateur.=
Ça vaut
> vraiment
> la peine. Et plus on est de fous, plus on a du fun!
> Parfaitement d'accord.
> J.Fontaine . VE2 YFJ
>
> Merci Gilles de ces commentaires instructifs.
>
> Martin Lavertu a écrit:
>
> > Salut Gilles,
> >
> > Merci de remettre les pendules à l'heure. On dirait qu'il y
> > beaucoup plus d'avantage à utiliser la radio amateur que
> > la fréquence aviation.
> >
> > Il faudrait trouver un moyen de facilité ou d'encourager
> > les pilotes à obtenir leurs licenses. C'est facile d'obtenir
> > la radio mais moins évident ou *motivant* d'obtenir la license.
> >
> > Des suggestions?
> >
> > - martin
--------------A858C661400E448FAC398044
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Message-ID: <383F29F7.7A63345A@sympatico.ca>
Date: Fri, 26 Nov 1999 19:46:47 -0500
From: Jacques Fontaine <Jacques.Fontaine2@sympatico.ca>
Reply-To: Jacques.Fontaine2@sympatico.ca
X-Mailer: Mozilla 4.05 [fr]C-SYMPA (Win95; I)
MIME-Version: 1.0
To: martin@hasc.com
Subject: Re: Radio amateur vs radio aviation
References: <383EBA25.57200B75@crim.ca> <383F0736.AABD5F45@hasc.com>
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Excellent exposé de Gilles Boulianne. Remarquez que je ne faisait pas l=
a "
promotion" d'un radio plus qu'une autre. L'idée qu'on aurait été mi=
eux servi
par les fréquences aviation m'était venue suite à plusieurs discu=
ssions
tenues avec d'autres pilotes d'avions qui m'avait permis de les informe=
r que
les ailes libres peuvent monter donc que la zone d'entraînement aviati=
on de
St-Hubert qui se trouve entre Rougemont et Yamaska pouvait présenter u=
n
risque d'abordage non négligeable. De là l'idée qu'il aurait été=
très
souhaitable de pouvoir communiquer entre aéronefs pour signaler nos pré=
sences
respectives en vol . J'en parlais avec l'ex président ( 1998 ) de
l'association des pilotes de brousse du Québec qui m'as avoué qu'il n=
'avait
aucune idée à quel point nous pouvions monter haut et aller loin.
Précision sur le #4. Sécurité. de Gilles:
La communauté radio-amateur est très nombreuse. Il y toujours
quelqu'un à l'écoute quelque part, prêt à donner un coup de m=
ain
en cas d'urgence.
C'est aussi le cas en radio aviation. Transport Canada garde l'écoute =
24h/24
sur le territoire Canadien.
et j'encourage tous les pilotes à passer leur licence radio-amateur. Ç=
a vaut
vraiment
la peine. Et plus on est de fous, plus on a du fun!
Parfaitement d'accord.
J.Fontaine . VE2 YFJ
Merci Gilles de ces commentaires instructifs.
Martin Lavertu a écrit:
> Salut Gilles,
>
> Merci de remettre les pendules à l'heure. On dirait qu'il y
> beaucoup plus d'avantage à utiliser la radio amateur que
> la fréquence aviation.
>
> Il faudrait trouver un moyen de facilité ou d'encourager
> les pilotes à obtenir leurs licenses. C'est facile d'obtenir
> la radio mais moins évident ou *motivant* d'obtenir la license.
>
> Des suggestions?
>
> - martin
--------------A858C661400E448FAC398044--