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Mon intention initiale était de trouver une représentation des activités humaines aussi séduisante que l'était à mes yeux la "psycho- histoire" décrite par Isaac Asimov dans le cycle de romans de science fiction "Fondation".
Bien sûr, un rêve d'adolescent ne donne pas forcément une théorie.
Toutefois, un tel rêve peut vous guider, vous aider à voir autour de vous ce qui peut vous faire avancer, bref, orienter votre regard de telle sorte que l' utopie devienne envisageable.
Mais il ne suffit pas d'avoir trouvé son chemin pour qu'il soit aisé d'y conduire d'autres personnes.
La communication d'une théorie suppose en effet que les interlocuteurs partagent entre eux certaines connaissances, certaines certitudes qui fondent leur "paradigme" commun. Base sur laquelle la théorie nouvelle pourra s'appuyer.
Lorsqu'une théorie s'avère en contradiction avec les idées couramment admises, elle n'a aucune chance de s'imposer tant que ses bases mêmes ne le sont pas.
C'est le cas de la théorie qui vous est présentée ici.
C'est pourquoi, en complément d'une présentation de la "psycho-histoire" elle-même, j'ai du préciser tous les concepts auxquels elle fait appel.
Pour une telle entreprise, seul le web permet une présentation non linéaire, où le lecteur peut approfondir tel
ou tel point particulier, puis revenir en arrière pour reprendre le fil de l'exposé.
Encore un mot sur la terminologie: le terme "psycho-histoire" renvoi à un but idéal, mais avant d'y arriver, le travail réalisé jusqu'à ce jour s'inscrit dans
ce que l'on appelle "analyse
systémique".
C'est cette première étape à laquelle je vous convie. Nous pourrons ensuite envisager d'aller plus loin.
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Introduction : quelques considérations épistémologiques sur le sujet
| Stabilité et information : quelques définitions utiles sur la stabilité en physique.
| La théorie elle- même :
| Yi King : rapprochement entre la structure absolue et les hexagrammes du Yi King
| Des exemples de modélisation :
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Vous l'aurez compris, il s'agit ici de compléter cette exploration, afin d'arriver véritablement à définir enfin ce qui pourrait être regardé comme la "psycho-histoire".
Ce que j'ai présenté n'est qu'un début.
Il faudrait ensuite, sous ce nouvel éclairage, ce nouveau structuralisme, rénover notre approche des problèmes sociaux :
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Au plan théorique :
| Au plan pratique :
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Il y aurait plus encore car cette approche n'est plus humaniste : comme l'annonçait Foucault, l'homme n'y ait pas la fin, le terme du discours.
D'un côté, ceci pourrait inquiéter les tenants de "l'individu", mais d'autre part, cette perte est en fait une formidable "ouverture" sur le monde qui nous entoure et s'offre alors à nous un nouveau champ d'exploration, d'autre investigations deviennent licites :
